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La peinture psychologique de cette érotomane est parfaite cependant il est dommage de constater une histoire de fond qui n'est pas assez substantielle, et un dénouement dont on attend quelque chose de totalement de totalement innatendu mais où rien ne vient.
Au final ça reste un film à voir une fois, mais sans plus.
Au final ça reste un film à voir une fois, mais sans plus.
Un magnifique film qui montre bien comment une femme qui a l air tout à fais normal peut sombrer petit à petit vers la folie.
Les images sont très belles et le film est très bien mis en scène et le fait de mettre des sortes de chapitre montre les étapes de sa chute.
Je le conseille fortement ne serait ce que pour sa vision de cette pathologie qui peut au final arriver à n'importe qui.
Les images sont très belles et le film est très bien mis en scène et le fait de mettre des sortes de chapitre montre les étapes de sa chute.
Je le conseille fortement ne serait ce que pour sa vision de cette pathologie qui peut au final arriver à n'importe qui.
Malgré quelques longueurs, on suit avec un certain plaisir les actes de plus en plus désespérés auxquels en arrive Anna, refoulée par son médecin dont elle est tombée folle amoureuse. Soyez en cependant prévenu, la fin du film n'offre guère de surprise.
Atterrant ! c'est le premier adjectif qui m'est venu à l'esprit en voyant ce film. Des dialogues d'une platitude innommable, des acteurs récitant leur rôle sans donner une seule seconde l'impression qu'ils le vivent (la faute n'en incombe nullement ici à Isabelle Carré ou à Gilbert Melki, mais plutôt à un metteur en scène qui a peut-être vu "L'histoire d'Adèle H", mais qui n'a de toute évidence pas l'étoffe d'un François Truffaut). Zéro pointé donc pour ce film, qui se veut un long métrage de cinéma, alors qu'il serait plutôt à classer dans le catégorie des mauvais téléfilms.
Le film nous plonge dans la folie maladive d'une femme (interprétation forte de Isabelle Carré) prête à tout pour rendre son amour réciproque. Beau, avec un soupçon de poésie tout en restant dérangeant, Anna M. reste de très bonne augure. Cependant, on pourra regretter quelques raccords plus ou moins incohérents et une fin des plus faciles.
Malgré les efforts de son interprète principale, on reste étranger au sort de l'héroïne comme au reste du casting tant le démonstratif appuyé du jeu de Carré et la transparence de "la mise en scène" aboutisse à l'agacement ou l'indifférence.
N'est pas Polanski qui veut !
Dans le même registre, je préfère largement A la folie...pas du tout, loin d'être un chef d'oeuvre mais avec un peu plus d'idée de mise en scène et moins d'afféteries.
N'est pas Polanski qui veut !
Dans le même registre, je préfère largement A la folie...pas du tout, loin d'être un chef d'oeuvre mais avec un peu plus d'idée de mise en scène et moins d'afféteries.
Très bien, pour étudier le cas d'érotomanie, mais cinématographiquement parlant c'est pas parfait. ( désolé ma critiques c'est effacé la flemme de la réécrire )
Ce film est une peinture.... et ne plaira donc pas à tout le monde...... mais l'érotomanie est tellement bien dépeinte que le film mérite 4 étoiles et Isabelle Carré m'a vraiment bluffée, avec ses larmes au fond des yeux, son jeu est sincère, c'est une grande actrice.
Je voulais mettre 4 étoiles à ce film magnifique, mais la fin m'a plutôt déçue.
En effet, l'érotomanie est une psychopathologie très grave (mais heureusement peu répandue), qui se termine très rarement bien. Cette maladie finit bien souvent dramatiquement, c'est pourquoi je trouve la fin d'Anna M peu crédible. Mais la perforance d'Isabelle Carré est vraiment incroyable, et la mise en scène, ainsi que la musique collent parfaitement à l'histoire.
En effet, l'érotomanie est une psychopathologie très grave (mais heureusement peu répandue), qui se termine très rarement bien. Cette maladie finit bien souvent dramatiquement, c'est pourquoi je trouve la fin d'Anna M peu crédible. Mais la perforance d'Isabelle Carré est vraiment incroyable, et la mise en scène, ainsi que la musique collent parfaitement à l'histoire.
Encensé par les critiques, Anna M film sur l'erotomanie (cas psychologique ou une personne est fou d'amour d'une autre, et cela malgré tout) est encore un pavé dans la mare. Se reposant uniquement sur la prestation de son actrice Isabelle Carré qui est irréprochable (depuis la Nouvelle Vague, on a pas changé, les acteurs d'abord, le film après. On a plus des réalisateurs mais des directeurs d'acteurs.) et comme pour chaque drame francais que l'on pond par centaine chaque année, le film se repose sur une seule idée, en l'approfondissant quelques fois mais jamais en y apportant le soin necessaire. C'est a dire, une mise en scène adaptée au sujet, car elle est académique même si le travail aux lumières donnerait presque un brin d'originalité. Dire qu'on se lasse est euphémisme. Spinosa n'a pas l'envergure d'un Gilliam qui lui a le talent pour filmer les psychotiques en brouillant nottament les pistes de la narration. Le scènario lui n'est qu'une suite de dialogue, très souvent sans utilité particulière à l'intrigue. Il ne reste que la fin qui peut être interessante car amenant sur la table un sentiment qui s'avère plus fort que l'amour, qui est d'avoir celui qu'on aime heureux, par dessus tout, et surtout son simple plaisir personnel.
La ou le coeur rejoint la raison.
La ou le coeur rejoint la raison.
Lent, silencieux, ennuyeux, mou.
Un portrait d’une femme fragile psychologiquement qui tombe amoureuse, amour non réciproque et qui tombe peu à peu dans la folie. La prestation de Carré est indéniablement très forte et réaliste mais la fin du film est quelque peu irréaliste à la vue du reste. La musique est quant à elle sublime mais on reste clairement sur notre « fin »...
Un langoureux exposé sur l'érotomanie, bien ficelé, partagé en plusieurs parties montrées de façon explicites (comme des chapitres).
L'interprétation ici est savoureuse, envahissante. On arrive à croire cette histoire banale. Et c'est assez rare dans un film français...
Touchant.
L'interprétation ici est savoureuse, envahissante. On arrive à croire cette histoire banale. Et c'est assez rare dans un film français...
Touchant.
Le film, qui traite de cette maladie mentale qui est l'érotomanie, est superbement raconté par Spinosa. Le personnage d'Isabelle Carré passe par toutes les phases du délire, d'abord léger puis jusqu'à ses manifestations les plus aiguës. On suit donc au plus près cette femme qui se bat pour dire son amour à l'homme qu'elle veut. Par périodes successives, rythmées de manifestations de plus en plus graves, on assiste à la dégradation de son état ; pour la voir passer doucement de l'attraction, à l'amour puis jusqu'à la folie. La force du récit, c'est de réussir à conduire le spectateur de bout en bout, et nous faire éprouver longtemps de la compassion pour Anna M. On ressort secoués par cette brillante démonstration.
Le sujet du film est assez original, l'athmosphère du film est angoissante, les acteurs sont excellents mais qu'est ce que c'est lent! On s'ennuie assez vite car une fois qu'on a compris qu'Isabelle Carré allait tout faire pour avoir Gilbert Melki même jusqu'à le détruire il n'y a rien d'autre à attendre!!!
Dommage mais si vous voulez voir un meilleur film sur le sujet de l'érotomanie précipitez vous sur "A la folie pas du tout" qui est bien meilleur!
Dommage mais si vous voulez voir un meilleur film sur le sujet de l'érotomanie précipitez vous sur "A la folie pas du tout" qui est bien meilleur!
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