Le Canardeur
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107 critiques spectateurs

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Hotinhere
Hotinhere

600 abonnés 5 081 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 31 mai 2021
Pour son premier long-métrage, Michael Cimino réalise un road-movie picaresque et loufoque dans l'Amérique profonde des années 70, interprété par le duo Eastwood/Bridges. Pas fou mais divertissant par moments.
tomPSGcinema
tomPSGcinema

782 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2019
Premier long-métrage réalisé par Michael Cimino, "le canardeur" n'est pas une oeuvre forcément très marquante, mais l'ensemble se suit avec un certain intérêt grâce au sympathique duo que forme Clint Eastwood et Jeff Bridges, mais aussi pour la qualité de sa mise en scène.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 19 août 2019
Un buddy movie où la paire Bridges/Eastwood fait des merveilles, tout comme les superbes paysages du Montana, écrin parfait à ce genre de road movie typiquement Nouvel Hollywood. A mi-chemin, le film opère un virage vers le film de braquage, virage qui donne lieu à un ventre mou d’une bonne vingtaine de minutes, dont la suite se relève péniblement. Un excellent film d’acteurs et d’atmosphère quand même, mais le scénario, malgré ses très bons dialogues, a un (tout) petit problème de structure et de rythme à mon goût.
mazou31
mazou31

101 abonnés 1 302 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 19 juin 2019
Très chouette balade de deux potes dans l’Amérique des westerns reportée dans les années 70. On y trouve déjà les qualités des futurs films de Miachael Cimino : profondeur, humanité, humour, mise en scène nerveuse. Histoire déjantée mais captivante de quatre Pieds nickelés, deux gentils foutraques paumés et deux crétins amusants bien que brutaux. C’est aussi une belle histoire d’amitié, de ces amitiés instinctives mais indéfectibles. C’est drôle mais aussi très touchant et très « tendre dans un monde de brutes ». Les acteurs s’en donnent à cœur joie : Clint Eastwood est encore jeune macho et Jegg Bridges crève l’écran, autant en jeune allumé qu’en blonde platinée. Un film méconnu et oublié qui mérite très largement qu’on y revienne.
Ghighi19
Ghighi19

72 abonnés 1 909 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 28 mai 2019
Premier film de Cimino et totalement dans la veine des productions des années 70 . Un budy movie à part et très attachant par les personnages . Un très bon film .
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 5 octobre 2018
Une cavale entre bandits à l’ambiance comique, le jeune Jeff Bridges éblouit sa souriante prestation de pitrerie déguisée pour réussir le coup du siècle en donnant la réplique à l’infatigable complice Clint Eastwood, de la bonne vieille école du cinéma de grande classe et au rôle clé de vétéran de guerre reconverti bad guy, pour une fois qu’il ne fait pas le flic bagarreur, très bien comme film d’action.
pierrre s.
pierrre s.

459 abonnés 3 330 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 août 2018
Pour son premier film, Cimino signait un road-movie sympathique, avec de très beaux décors et une fin plutôt inattendue.
Simplicissimus
Simplicissimus

10 abonnés 201 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 8 janvier 2018
Premier film de Cimino,monté grâce au concours d'Eastwood, une oeuvre chaleureuse et attachante,même si le dénouement est tragique...
Canevas plutôt classique,au demeurant: une amitié entre deux hommes de génération différente,entraînés dans un road movie avec,cerise sur le gâteau,"le" casse.
Eastwood joue un personnage plutôt souriant et sympathique,une figure de grand frère,ce qui le change de ses personnages monolithiques de l'époque; Jeff Bridges est un jeune chien fou, pour l'une de ses premières apparitions à l'écran et Georges Kennedy en brute bourrue est un vrai sadique...
Bruno65
Bruno65

36 abonnés 808 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 29 mars 2017
Un road-movie moyen à mes yeux avec une scène de braquage spectaculaire.Mais cela reste un film anecdotique et qui ne marquera pas!
landofshit0
landofshit0

284 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 1 septembre 2016
Premier film de Cimino qui était un adorateur du cinéma de John Ford et ça se ressent ici,car ce sont les personnages qui sont l'axe central du film, l'histoire est finalement très accessoire. C'est d’ailleurs ce que l'on pourrait reprocher au réalisateur, car si tout démarre sur les chapeaux de roues, le rythme va considérablement se calmer par la suite. Enfin c'est le ton du métrage qui change,puisque entre les personnages va s'installer une amitié viril. Et c'est au travers de celle ci que nous allons suivre le parcours des deux compères sur les routes des états unis. Cimino a un vrai sens du cadrage et de l'image,mais il n’empêche que le canardeur a un rythme qui fait baisser l’intérêt. Et les choses comme les dialogues sont encrés dans une autre époque,on utilise des expressions qui étaient à la mode à l'époque et qui sont devenues totalement obsolètes aujourd'hui. Ce genre d'éléments fait sentir le poids des années sur une œuvre. Avec une histoire un peu plus étoffée et un rythme plus soutenu le film n'aurait pas été qu'un simple petit moment.
In Ciné Veritas
In Ciné Veritas

97 abonnés 922 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 30 août 2016
Le canardeur est le premier long métrage réalisé par Michael Cimino. Le premier opus d’une filmographie qui imposera le cinéaste parmi les auteurs les plus doués et originaux du Nouvel Hollywood. Également auteur du scénario, Michael Cimino parvient à enrôler Clint Eastwood comme acteur mais aussi comme producteur du film. L’acteur-producteur et Jeff Bridges forment le duo autour duquel le réalisateur déroule la trame narrative de son film. Les prestations des deux acteurs sont excellentes et complémentaires. La paire ainsi formée fonctionne parfaitement durant ce récit de près de deux heures.
Certes non dénué de quelques faiblesses, ce premier long métrage révèle une réalisation maîtrisée pleine des meilleures promesses. Ainsi, Michael Cimino manie avec un certain brio les scènes pour certaines insolentes, pour d’autres insolites spoiler: telles que ce coffre de voiture où nous nous attendons à trouver un cadavre alors qu’il est rempli de lapins blancs
! La formule fait mouche et permet de mettre en relief une belle galerie de personnages secondaires. Une revue d’effectif qui à elle seule justifie le visionnage du Canardeur qui emprunte tant aux westerns de John Huston ou de John Ford qu’aux road-movies.
Kloden
Kloden

132 abonnés 997 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 23 juin 2016
Au final, je regrette la présence un peu trop écrasante de Clint Eastwood derrière ce Thunderbolt and Lightfoot. Non pas qu'il prenne ici trop de place en tant qu'acteur ; au contraire, c'est un jeune et flamboyant Jeff Bridges qui lui vole la vedette, au plus grand plaisir d'Eastwood lui-même, qui aurait dit-on été, un peu comme son personnage, tellement rafraîchi par la fougue de Bridges qu'il se serait avec plaisir effacé derrière le petit nouveau. La relation entre ces deux-là, derrière comme devant la caméra, est d'ailleurs un bel éclairage de ce qui aurait pu marcher à merveille dans Le Canardeur. Entremêlement (plus que conflit) de deux générations, elle symbolise à elle seule, par elle-même et par la manière dont elle impacte et transforme le duo, la signature très forte d'un motif qui a toujours fasciné tant Eastwood que Michael Cimino, le très doué réalisateur débauché par Clint pour l'occasion, et futur metteur en scène du Voyage au bout de l'enfer. Ce motif, complexe et pluriel, traverse leurs deux filmographies, s'émaillant d'impressions mélancoliques très liées au passage du temps, à l'effondrement des mythes et à leur recherche dans le monde d'aujourd'hui. Cependant, comme si le jeune (Cimino) et le vieux (Eastwood) regardaient de chaque côté du miroir, aucun n'imprime fermement sa vision sur cette oeuvre, qui du coup ne décolle jamais. Certes, c'est surtout Eastwood (qui produit via sa société Malpaso) qui a le dernier mot, en tenant la bride d'un Michael Cimino qui mettra plus tard en place un style beaucoup plus lyrique, ample et choral que celui de Thunderbolt and Lightfoot. Pour autant, on sent bien qu'Eastwood n'est pas lui-même derrière la caméra, et que le classicisme relatif du film est par endroits estompé par quelques saillies que se permet Cimino, pour une direction artistique un peu bégayante. Le résultat est divertissant, mais sans plus, laissant seulement échapper une imperceptible étrangeté, que ce soit par plusieurs scènes potaches et les ruptures qu'elles amènent, que par sa retenue un peu en désaccord avec son propos libertaire très 70's (Easy Rider était passé par là). En découle un sentiment d'inachevé, tant le film parait n'appartenir à aucune époque, et d'un déjà-vu que rien ne vient sublimer. Le personnage d'Eastwood, qui regrette sa jeunesse morte et tente de la retrouver en Bridges, se heurte à la mélancolie de celui-ci, qui derrière son dynamisme apparent semble au moment du final se révéler comme déjà de longue date marqué par le temps de façon inexplicable et irréparable. Passage de témoin entre artistes ou entre personnages, Thunderbolt and Lightfoot laisse (malgré lui ?) l'image d'un geste inachevé, et d'une oeuvre rêveuse qui ne se livre pas facilement. Intriguant mais très loin des meilleures incursions d'Eastwood dans le genre (Un Monde Parfait) ou du grand cinéma de Michael Cimino (The Deer Hunter, L'année du Dragon).
Eselce
Eselce

1 463 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 14 octobre 2015
Un road movie où deux brigands changent de voiture chaque jour sans plus d'explication. Ils roulent et c'est tout ce qui semble compter. Poursuivis par des papys qui veulent leur peau, on ne sait pas pourquoi, ce film est aussi ennuyeux que ses dialogues et que l'association finale et tardive. spoiler: A la fin, ils peuvent s'acheter une voiture, wahou !
 Kurosawa
Kurosawa

601 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 13 juillet 2015
"Thunderbolt and Lightfoot" est le premier film de Michael Cimino et réuni deux immenses acteurs (Eastwood-Bridges) embarqués dans une aventure folle avec notamment au programme courses-poursuites et braquage. Grâce à une écriture inventive et subtile, on peut apprécier le film en tant qu'excellent divertissement, mais on ne peut ignorer que ce long-métrage d’exception est traversé par quelque chose de plus fort qu'une suite élaborée de situations croustillantes. La force et la beauté du film réside dans ce lien très étroit entre un mélange de genres (comédie, drame, policier), qui prouve une ambition forte dans la façon de conduire la narration, et une évolution complexe des personnages qui va permettre une émotion croissante qui atteint son point culminant dans un final remarquable de justesse. Cimino construit des personnages simples au départ, proches de clichés, avant d'être façonnés par les événements qu'ils vivent et par les liens qu'ils tissent entre eux; à cet égard, c'est bien Red Leary (George Kennedy) qui symbolise le mieux cette idée d'une simplicité qui va progressivement s'effacer devant l'incertitude et l'imprévisibilité. "Thunderbolt and Lightfoot", marqué par une influence fordienne dans la façon de filmer les grands espaces, est un film sans cesse surprenant, bouleversant d'humanité et de mélancolie, à l'image de la superbe musique de Paul Williams "Where do I go from here".
OCollus
OCollus

67 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 30 juin 2015
Premier film de Michael Cimino, ce road-movie polar nous emmène à travers l’Amérique profonde des années 70. Un humour accompagne ce film jusqu’au bout, même si celui-ci est plutôt un drame. Ne restera pas dans les annales même si le réalisateur fait le Job, Clint Eastwood toujours égal à lui même forme un bon duo avec Jeff Bridges.
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