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    Le Canardeur
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    3,7
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    106 critiques spectateurs

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    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    748 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Premier long-métrage réalisé par Michael Cimino, "le canardeur" n'est pas une oeuvre forcément très marquante, mais l'ensemble se suit avec un certain intérêt grâce au sympathique duo que forme Clint Eastwood et Jeff Bridges, mais aussi pour la qualité de sa mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 août 2019
    Un buddy movie où la paire Bridges/Eastwood fait des merveilles, tout comme les superbes paysages du Montana, écrin parfait à ce genre de road movie typiquement Nouvel Hollywood. A mi-chemin, le film opère un virage vers le film de braquage, virage qui donne lieu à un ventre mou d’une bonne vingtaine de minutes, dont la suite se relève péniblement. Un excellent film d’acteurs et d’atmosphère quand même, mais le scénario, malgré ses très bons dialogues, a un (tout) petit problème de structure et de rythme à mon goût.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 279 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2019
    Très chouette balade de deux potes dans l’Amérique des westerns reportée dans les années 70. On y trouve déjà les qualités des futurs films de Miachael Cimino : profondeur, humanité, humour, mise en scène nerveuse. Histoire déjantée mais captivante de quatre Pieds nickelés, deux gentils foutraques paumés et deux crétins amusants bien que brutaux. C’est aussi une belle histoire d’amitié, de ces amitiés instinctives mais indéfectibles. C’est drôle mais aussi très touchant et très « tendre dans un monde de brutes ». Les acteurs s’en donnent à cœur joie : Clint Eastwood est encore jeune macho et Jegg Bridges crève l’écran, autant en jeune allumé qu’en blonde platinée. Un film méconnu et oublié qui mérite très largement qu’on y revienne.
    Ghighi19
    Ghighi19

    66 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Premier film de Cimino et totalement dans la veine des productions des années 70 . Un budy movie à part et très attachant par les personnages . Un très bon film .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Une cavale entre bandits à l’ambiance comique, le jeune Jeff Bridges éblouit sa souriante prestation de pitrerie déguisée pour réussir le coup du siècle en donnant la réplique à l’infatigable complice Clint Eastwood, de la bonne vieille école du cinéma de grande classe et au rôle clé de vétéran de guerre reconverti bad guy, pour une fois qu’il ne fait pas le flic bagarreur, très bien comme film d’action.
    pierrre s.
    pierrre s.

    423 abonnés 3 300 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2018
    Pour son premier film, Cimino signait un road-movie sympathique, avec de très beaux décors et une fin plutôt inattendue.
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    8 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2018
    Premier film de Cimino,monté grâce au concours d'Eastwood, une oeuvre chaleureuse et attachante,même si le dénouement est tragique...
    Canevas plutôt classique,au demeurant: une amitié entre deux hommes de génération différente,entraînés dans un road movie avec,cerise sur le gâteau,"le" casse.
    Eastwood joue un personnage plutôt souriant et sympathique,une figure de grand frère,ce qui le change de ses personnages monolithiques de l'époque; Jeff Bridges est un jeune chien fou, pour l'une de ses premières apparitions à l'écran et Georges Kennedy en brute bourrue est un vrai sadique...
    Bruno65
    Bruno65

    30 abonnés 804 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2017
    Un road-movie moyen à mes yeux avec une scène de braquage spectaculaire.Mais cela reste un film anecdotique et qui ne marquera pas!
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2016
    Premier film de Cimino qui était un adorateur du cinéma de John Ford et ça se ressent ici,car ce sont les personnages qui sont l'axe central du film, l'histoire est finalement très accessoire. C'est d’ailleurs ce que l'on pourrait reprocher au réalisateur, car si tout démarre sur les chapeaux de roues, le rythme va considérablement se calmer par la suite. Enfin c'est le ton du métrage qui change,puisque entre les personnages va s'installer une amitié viril. Et c'est au travers de celle ci que nous allons suivre le parcours des deux compères sur les routes des états unis. Cimino a un vrai sens du cadrage et de l'image,mais il n’empêche que le canardeur a un rythme qui fait baisser l’intérêt. Et les choses comme les dialogues sont encrés dans une autre époque,on utilise des expressions qui étaient à la mode à l'époque et qui sont devenues totalement obsolètes aujourd'hui. Ce genre d'éléments fait sentir le poids des années sur une œuvre. Avec une histoire un peu plus étoffée et un rythme plus soutenu le film n'aurait pas été qu'un simple petit moment.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2016
    Le canardeur est le premier long métrage réalisé par Michael Cimino. Le premier opus d’une filmographie qui imposera le cinéaste parmi les auteurs les plus doués et originaux du Nouvel Hollywood. Également auteur du scénario, Michael Cimino parvient à enrôler Clint Eastwood comme acteur mais aussi comme producteur du film. L’acteur-producteur et Jeff Bridges forment le duo autour duquel le réalisateur déroule la trame narrative de son film. Les prestations des deux acteurs sont excellentes et complémentaires. La paire ainsi formée fonctionne parfaitement durant ce récit de près de deux heures.
    Certes non dénué de quelques faiblesses, ce premier long métrage révèle une réalisation maîtrisée pleine des meilleures promesses. Ainsi, Michael Cimino manie avec un certain brio les scènes pour certaines insolentes, pour d’autres insolites spoiler: telles que ce coffre de voiture où nous nous attendons à trouver un cadavre alors qu’il est rempli de lapins blancs
    ! La formule fait mouche et permet de mettre en relief une belle galerie de personnages secondaires. Une revue d’effectif qui à elle seule justifie le visionnage du Canardeur qui emprunte tant aux westerns de John Huston ou de John Ford qu’aux road-movies.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Au final, je regrette la présence un peu trop écrasante de Clint Eastwood derrière ce Thunderbolt and Lightfoot. Non pas qu'il prenne ici trop de place en tant qu'acteur ; au contraire, c'est un jeune et flamboyant Jeff Bridges qui lui vole la vedette, au plus grand plaisir d'Eastwood lui-même, qui aurait dit-on été, un peu comme son personnage, tellement rafraîchi par la fougue de Bridges qu'il se serait avec plaisir effacé derrière le petit nouveau. La relation entre ces deux-là, derrière comme devant la caméra, est d'ailleurs un bel éclairage de ce qui aurait pu marcher à merveille dans Le Canardeur. Entremêlement (plus que conflit) de deux générations, elle symbolise à elle seule, par elle-même et par la manière dont elle impacte et transforme le duo, la signature très forte d'un motif qui a toujours fasciné tant Eastwood que Michael Cimino, le très doué réalisateur débauché par Clint pour l'occasion, et futur metteur en scène du Voyage au bout de l'enfer. Ce motif, complexe et pluriel, traverse leurs deux filmographies, s'émaillant d'impressions mélancoliques très liées au passage du temps, à l'effondrement des mythes et à leur recherche dans le monde d'aujourd'hui. Cependant, comme si le jeune (Cimino) et le vieux (Eastwood) regardaient de chaque côté du miroir, aucun n'imprime fermement sa vision sur cette oeuvre, qui du coup ne décolle jamais. Certes, c'est surtout Eastwood (qui produit via sa société Malpaso) qui a le dernier mot, en tenant la bride d'un Michael Cimino qui mettra plus tard en place un style beaucoup plus lyrique, ample et choral que celui de Thunderbolt and Lightfoot. Pour autant, on sent bien qu'Eastwood n'est pas lui-même derrière la caméra, et que le classicisme relatif du film est par endroits estompé par quelques saillies que se permet Cimino, pour une direction artistique un peu bégayante. Le résultat est divertissant, mais sans plus, laissant seulement échapper une imperceptible étrangeté, que ce soit par plusieurs scènes potaches et les ruptures qu'elles amènent, que par sa retenue un peu en désaccord avec son propos libertaire très 70's (Easy Rider était passé par là). En découle un sentiment d'inachevé, tant le film parait n'appartenir à aucune époque, et d'un déjà-vu que rien ne vient sublimer. Le personnage d'Eastwood, qui regrette sa jeunesse morte et tente de la retrouver en Bridges, se heurte à la mélancolie de celui-ci, qui derrière son dynamisme apparent semble au moment du final se révéler comme déjà de longue date marqué par le temps de façon inexplicable et irréparable. Passage de témoin entre artistes ou entre personnages, Thunderbolt and Lightfoot laisse (malgré lui ?) l'image d'un geste inachevé, et d'une oeuvre rêveuse qui ne se livre pas facilement. Intriguant mais très loin des meilleures incursions d'Eastwood dans le genre (Un Monde Parfait) ou du grand cinéma de Michael Cimino (The Deer Hunter, L'année du Dragon).
    Eselce
    Eselce

    1 378 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2015
    Un road movie où deux brigands changent de voiture chaque jour sans plus d'explication. Ils roulent et c'est tout ce qui semble compter. Poursuivis par des papys qui veulent leur peau, on ne sait pas pourquoi, ce film est aussi ennuyeux que ses dialogues et que l'association finale et tardive. spoiler: A la fin, ils peuvent s'acheter une voiture, wahou !
     Kurosawa
    Kurosawa

    578 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juillet 2015
    "Thunderbolt and Lightfoot" est le premier film de Michael Cimino et réuni deux immenses acteurs (Eastwood-Bridges) embarqués dans une aventure folle avec notamment au programme courses-poursuites et braquage. Grâce à une écriture inventive et subtile, on peut apprécier le film en tant qu'excellent divertissement, mais on ne peut ignorer que ce long-métrage d’exception est traversé par quelque chose de plus fort qu'une suite élaborée de situations croustillantes. La force et la beauté du film réside dans ce lien très étroit entre un mélange de genres (comédie, drame, policier), qui prouve une ambition forte dans la façon de conduire la narration, et une évolution complexe des personnages qui va permettre une émotion croissante qui atteint son point culminant dans un final remarquable de justesse. Cimino construit des personnages simples au départ, proches de clichés, avant d'être façonnés par les événements qu'ils vivent et par les liens qu'ils tissent entre eux; à cet égard, c'est bien Red Leary (George Kennedy) qui symbolise le mieux cette idée d'une simplicité qui va progressivement s'effacer devant l'incertitude et l'imprévisibilité. "Thunderbolt and Lightfoot", marqué par une influence fordienne dans la façon de filmer les grands espaces, est un film sans cesse surprenant, bouleversant d'humanité et de mélancolie, à l'image de la superbe musique de Paul Williams "Where do I go from here".
    OCollus
    OCollus

    67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2015
    Premier film de Michael Cimino, ce road-movie polar nous emmène à travers l’Amérique profonde des années 70. Un humour accompagne ce film jusqu’au bout, même si celui-ci est plutôt un drame. Ne restera pas dans les annales même si le réalisateur fait le Job, Clint Eastwood toujours égal à lui même forme un bon duo avec Jeff Bridges.
    Guimzy
    Guimzy

    168 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Premier film de Michael Cimino, sorte de road-movie mélangé aux codes des films de gangsters. S'il n'a rien à envier aux films que le réalisateur fera plus tard, Le Canardeur reste un divertissement de qualité qui propose un scénario en béton porté par un duo d'acteurs excellent qui fonctionne très bien : Jeff Bridges dans son plus jeune âge et Clint Eastwood. L'histoire fonctionne en plusieurs étapes, du road movie entre nos deux protagonistes, les introduisant eux, leur personnalité, ce que crée leur différence d'âge, jusqu'aux retrouvailles des anciens compagnons d'armes "Thunderbolt", beaucoup plus hargneux et violent que le duo regroupé. Sorte de désillusion au fur et à mesure que l'on avance dans le film, le spectateur se sent davantage impliqué dans le personnage de Jeff Bridges, qui s'amuse et se moque mais dès lors qu'il entre dans la cour des grands, en particulier pour le braquage, il n'est plus vraiment sûr de lui. Cette confiance que l'on pouvait ressentir au tout début du film, où Clint Eastwod se fait plus discret. Les rôles s'inversent dès que le braquage a lieu. Ce fil fonctionne très bien car les personnages sont bien écrits et sont très ancrés dans la réalité. Les deux autres sont en revanche peut-être un peu trop caricaturaux mais ça ne fait pas tâche au film. Après, il y a quelques longueurs mais elles sont vite oubliées par la mise en scène et l'interprétation de tous les acteurs. Quant aux scènes de combats elles ont certes un peu vieillis mais restent efficaces. Le Canardeur est un bon film qui se suit sans problèmes, une première réussite de la part de Cimino qui va davantage être perçu comme une légende du 7e art dans ses prochains films. Et les quelques musiques sont un bonheur pour les oreilles et sont très bien ancrées dans l'histoire.
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