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Votre avis sur Miami vice - Deux flics à Miami ?
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Miami Vice, deux flics à Miami : Un thriller/polar assez soignée, avec une vraie ambiance et un style qui n’appartient qu’à Mickael Mann. Film adapter de la fameuse série tv du même nom, je ne pourrais pas vous dire si c’est fidèle car j’ai vu aucun épisode, je connais juste de réputation. Sinon, le film est un bon polar, avec tous ce qui va avec quoique un peu cliché mais on se laisse imprégner de tous ça : amour, trahison, mafia, meurtre. Car nos deux flics vont devoir jouer sur les deux fronts, entre flic ou voyou. Sinon, la narration du film au début est assez inhabituel et dérangeant car on entre directement dans l’action, sans générique, sans tellement mettre en scène les personnages et apprend qui sait, je me suis même demander si je n’avais pas avancé dans le film mais non, mais après, on s’y habitue et on apprend à les connaitre petit a petit. Bon après, dommage que la relation des deux flics soient pas aussi puissant et intense car ils sont des fois séparés mais bon, c’est un choix. Car sinon, coté casting, il est top et le charisme des acteurs impose. Tous comme la réalisation qui fait très Mickael Mann, il adore filmé des villes dans la nuit et tout, comme dans Collatéral… et la, il est servit et la mise en scène est assez personnel mais dommage que le rythme du film reste assez égal et manque d’intensité. Donc voila, un polar noir et assez prenant tous de même mais les acteurs tiens le film sur leurs épaules.
Voilà, je suis sorti de"Miami vice" et... que dire?
Si l'on en croit IMDB, le film est doté d'un budget estimé à 135 millions de dollars et a "à peine" rapporté 163 millions à travers le monde. Quel est la cause de cet échec ? Sans aucun doute le fait que"Miami vice" s'éloigne de l'ambiance de la série originelle ( ne l'ayant pas vu, je ne peux pas comparer), un"manque de scènes d'action" et un style visuel différent de ce que peut nous proposer les blockbusters actuels. Et pourtant, ce film est réellement bon. Passionnant, somptueux visuellement,doté d'une bonne écriture,"Miami vice" est le symbole d'un cinéma mature et tentant de donner des coups de pieds dans la fourmilière hollywoodienne. Michael Mann teste, propose des plans d'une beauté inouïe, alternant des images aussi crues qu'un documentaires et d'autres purement onirique. Le film commence de manière abrupte, sans réelle exposition des personnages et c'est couillu. Nous comprenons directement la personnalité de nos héros par l'action et ressentons aussi bien la forte amitié entre Crockett (Colin Farell) et Tubbs ( Jamie Foxx) que leur compétence sur le terrain, le tout sans les clichés du genre, ou si peu pour gâcher le film. Quand un divertissement tente de se montrer adulte, limitant les fusillades pour garder un certain"réalisme"(si ça vous rassure,les scènes d'action sont excellentes), avec des personnages aussi charismatiques et est aussi magnifique ( rien que pour la beauté des images, ce film mérite d'être vu par le plus grand nombre),il faut tenter l'expérience,essayer de s'immerger dans cette oeuvre à la plastique digne d'un tableau, pour peut-être en ressortir subjugué. Faire l'expérience "Miami vice",c'est se tourner vers un cinéma à grand budget mais différent.
Si l'on en croit IMDB, le film est doté d'un budget estimé à 135 millions de dollars et a "à peine" rapporté 163 millions à travers le monde. Quel est la cause de cet échec ? Sans aucun doute le fait que"Miami vice" s'éloigne de l'ambiance de la série originelle ( ne l'ayant pas vu, je ne peux pas comparer), un"manque de scènes d'action" et un style visuel différent de ce que peut nous proposer les blockbusters actuels. Et pourtant, ce film est réellement bon. Passionnant, somptueux visuellement,doté d'une bonne écriture,"Miami vice" est le symbole d'un cinéma mature et tentant de donner des coups de pieds dans la fourmilière hollywoodienne. Michael Mann teste, propose des plans d'une beauté inouïe, alternant des images aussi crues qu'un documentaires et d'autres purement onirique. Le film commence de manière abrupte, sans réelle exposition des personnages et c'est couillu. Nous comprenons directement la personnalité de nos héros par l'action et ressentons aussi bien la forte amitié entre Crockett (Colin Farell) et Tubbs ( Jamie Foxx) que leur compétence sur le terrain, le tout sans les clichés du genre, ou si peu pour gâcher le film. Quand un divertissement tente de se montrer adulte, limitant les fusillades pour garder un certain"réalisme"(si ça vous rassure,les scènes d'action sont excellentes), avec des personnages aussi charismatiques et est aussi magnifique ( rien que pour la beauté des images, ce film mérite d'être vu par le plus grand nombre),il faut tenter l'expérience,essayer de s'immerger dans cette oeuvre à la plastique digne d'un tableau, pour peut-être en ressortir subjugué. Faire l'expérience "Miami vice",c'est se tourner vers un cinéma à grand budget mais différent.
Transposition de la série culte des années 80 du même nom dont il était le producteur, Michael Mann a élaboré une version ciné de « Miami Vice » qui a beaucoup de peine à séduire. Bien que la mise en scène soit toujours aussi chatoyante de la part du réalisateur, le grand regret de cette adaptation se situe indéniablement au niveau du scénario. Avare en action et en intensité, l’histoire tire en longueur, manque méchamment de rythme et flirte donc souvent avec l’ennui. Sans nullement dénigrer leurs jeux respectifs, Colin Farrell et Jamie Foxx ne dégagent pas autant de charisme que les deux interprètes principaux des épisodes télévisés. Une déception.
7eme critique
Michael Mann a eu un coup de mou après ses cinq précédentes œuvres... Des scènes pas terribles, un scénario d’infiltration classique, une écriture qui manque de finesse, un casting qui laisse à désirer, "Miami Vice" ne sera pas le film à retenir de ce grand cinéaste. Un léger ennui demeure pendant deux heures, et ce même si la caméra de Mann s’illustre avec de jolis plans.
Une enquête policière avec un scénario en carton, des personnages sans profondeurs, Collin Farell avec une coiffure improbable, sans doute un hommage à celle de Don Johnson mais qui tombe totalement à plat dans une version moderne, et enfin cerise sur le gâteau l'histoire d'amour à laquelle personne ne croit, surtout pas les deux acteurs concernés. On aurait pu espérer que les scènes d'action relèvent un brin le fiasco, la scène finale est juste parodique on dirait presque du vieux rambo avec moins d'explosions
Même moyennement en forme, Michael Mann confirme sa maîtrise du polar, à nouveau décliné comme fable romantique moderne. Son scénario sacrifié n'est qu'un prétexte à une gestion du rythme étourdissante, qui sert comme dans Thief à développer une romance illusoire, aussi peu consistante qu'un rêve en terme d'avenir, de perspectives et d'espoir, et ainsi de faire éclater sa force immédiate, sa puissance pulsionnelle. En dehors de ces scènes, l'action retombe sourdement, parfois de façon abrupte ; les personnages semblent derechef rappelés à leur existence de doute et de suspicion dans un Miami trouble, où gangsters comme flics infiltrés marchent sur une corde raide et s'épient sans cesse, saisis par la caméra de Mann et ses mouvements furtifs captant les regards, les gestes, leur appréhension de l'espace. D'ailleurs, les circuits de la drogue, organisés en réseau, semblent eux aussi délimiter fermement l'existence de ses membres, pour lesquels ils faut chercher au plus vite un peu d'air, de vie, quitte à se mettre en danger. Pas de retour en arrière possible pour les deux inspecteurs (Colin Farrel très propre, Jamie Foxx un peu crispé) dans ce jeu de mouvement incessant pour échapper au temps et à une certaine forme d'emprisonnement, pleinement ressentie dans ces nuits ou le grain très prononcé du Miami nocturne semble fondre les personnages dans le décor, tandis que les lumières de la ville paraissent sourdre toujours plus pour signifier son imposante présence face à des individus résignés à leur condition mais violemment décidés à en tirer le maximum. Un très bon polar, noir et psychédélique, dominé par une Gong Li aussi belle que complexe. Toujours aussi virtuose pour dessiner avec mélancolie les soubresauts de l'homme pris dans un engrenage qui le dépasse, Michael Mann est loin de son meilleur mais pourtant déjà très inspiré. L'un des derniers auteurs à survivre dans un genre artistiquement quelque peu éteint.
Surprenant, je ne m'attendais pas du tout à un tel film. Je pensais voir un film d'action basique hors il n'est est rien la réalisation - quoique dérangeante au début- est magnifique, la musique est parfaite, les acteurs jouent très bien. Même si le film parait un peu lent, on ne s'ennuie pas une seconde et l'histoire est si bien amené qu'elle nous tient en haleine tout le long.
Extra ce film ! meme si l'histoire ne se déroule pas dans les années 80 ça reste un super film d'action et de suspens, un casting complet et pas du tout décevant !
Lorsque Michael Mann quitta la série Miami Vice, fin de saison 3, la série était encore légère. Pas autant qu’à ses débuts, mais il y avait toujours de la bonne humeur dans les épisodes. A son départ, où il fut numériquement remplacé par Dick Wolf, Miami Vice devint plus noir et nihiliste.
Etrangement, la manière dont on peut résumer Miami Vice, l’adaptation cinéma de la série éponyme par ce même Michael Mann, c’est la noirceur et le nihilisme du film. En effet, ces aventures de Crockett et Tubbs sont très noires et se résument même à Sonny Crockett qui s’enferre dans une histoire d’amour avec la copine d’un truand. Quasi muet, aussi beau que froid et aride, Miami Vice surprend aussi par la qualité de ses acteurs principaux (même Jamie Foxx) qui ne jouent absolument pas à copier Don Johnson et Philip Michael Thomas. En effet, Crockett et Tubbs ne sont plus copains comme cochons, ils sont coéquipiers et passent très peu de temps ensemble. On peut en dire autant des autres acteurs, qui brillent tous, malgré un temps d’écran plutôt court.
Le film se trouve être un drame policier jusqu’à une fusillade finale aussi belle que violente, à laquelle le numérique rend parfaitement bien hommage. Comme d’habitude chez Michael Mann, la musique prend à contre-pied tout le monde et se trouve être de la pop, même dans les scènes les plus calmes. On y retrouve le succès planétaire Numb / Encore de Linkin Park et Jay-Z dans une magnifique scène, à l’image de ce que l’on pouvait voir dans la série. Et c’est là que le point principal de Miami Vice frappe le spectateur qui connaît la série. De par son lien étroit et pourtant très différent avec la série de NBC, Miami Vice est une réussite totale tant le film est une variation plus qu’une adaptation du matériau originel, et ce, par son producteur exécutif. Tout rappelle à la série et pourtant, rien n’est pareil, rien n’est une resucée.
Miami Vice est, au premier abord, un film mineur de Michael Mann. Après réflexion, Miami Vice représente parfaitement la carrière d’un des meilleurs réalisateurs de polars de l’Histoire du cinéma. Le film est pessimiste, pop, triste et définitivement passionnant. Fabuleux.
Etrangement, la manière dont on peut résumer Miami Vice, l’adaptation cinéma de la série éponyme par ce même Michael Mann, c’est la noirceur et le nihilisme du film. En effet, ces aventures de Crockett et Tubbs sont très noires et se résument même à Sonny Crockett qui s’enferre dans une histoire d’amour avec la copine d’un truand. Quasi muet, aussi beau que froid et aride, Miami Vice surprend aussi par la qualité de ses acteurs principaux (même Jamie Foxx) qui ne jouent absolument pas à copier Don Johnson et Philip Michael Thomas. En effet, Crockett et Tubbs ne sont plus copains comme cochons, ils sont coéquipiers et passent très peu de temps ensemble. On peut en dire autant des autres acteurs, qui brillent tous, malgré un temps d’écran plutôt court.
Le film se trouve être un drame policier jusqu’à une fusillade finale aussi belle que violente, à laquelle le numérique rend parfaitement bien hommage. Comme d’habitude chez Michael Mann, la musique prend à contre-pied tout le monde et se trouve être de la pop, même dans les scènes les plus calmes. On y retrouve le succès planétaire Numb / Encore de Linkin Park et Jay-Z dans une magnifique scène, à l’image de ce que l’on pouvait voir dans la série. Et c’est là que le point principal de Miami Vice frappe le spectateur qui connaît la série. De par son lien étroit et pourtant très différent avec la série de NBC, Miami Vice est une réussite totale tant le film est une variation plus qu’une adaptation du matériau originel, et ce, par son producteur exécutif. Tout rappelle à la série et pourtant, rien n’est pareil, rien n’est une resucée.
Miami Vice est, au premier abord, un film mineur de Michael Mann. Après réflexion, Miami Vice représente parfaitement la carrière d’un des meilleurs réalisateurs de polars de l’Histoire du cinéma. Le film est pessimiste, pop, triste et définitivement passionnant. Fabuleux.
Je dois avouer que je m'attendais à mieux mais Miami Vice - Deux flics à Miami reste un bon divertissement. Les acteurs sont excellents surtout les deux principales qui sont Colin Farel et Jaimie Fox qui incarnent brillamment les deux personnages principales du film.
J'ai trouvé l'histoire prenante, sympathique et plaisante mais elle est longue à démarrer, il y a beaucoup de rebondissements et de bonnes situations. Les scènes d'actions sont réussis permettant au film d'avoir un peu de spectacle et d'éliminer un peu l'ennui présent dans ce film car certaines scènes de ce film sont légèrement longues et ennuyantes.
J'ai trouvé l'histoire prenante, sympathique et plaisante mais elle est longue à démarrer, il y a beaucoup de rebondissements et de bonnes situations. Les scènes d'actions sont réussis permettant au film d'avoir un peu de spectacle et d'éliminer un peu l'ennui présent dans ce film car certaines scènes de ce film sont légèrement longues et ennuyantes.
Un chef d’œuvre cinématographique. Parfait de la première à la dernière minute. A voir et revoir. Meilleur en director cut.
C'est certain, les fans de la série seront désarçonnés par cette version sur grand écran signé Michael Mann. Optant pour un ton résolument beaucoup plus grave et plus sombre, le réalisateur livre ici un polar stylé et fiévreux autour du thème des grands trafics internationaux. Le duo Colin Farrell/Jamie Foxx fonctionne à la perfection et la beauté de Gong Li apporte une touche glamour fraîche et bienvenue. Comme à son habitude, le réalisateur nous offre de sublimes images et des scènes d'action froide particulièrement efficaces comme en témoigne cette fusillade finale vraiment canon. Comme il l'avait fait avec Los Angeles dans « Collateral », Mann arrive à personnifier la ville de Miami en l'habillant d'un manteau noire et d'une âme obscure en parfait raccord avec l'ambiance globale du film. Le scénario tient bien la route malgré quelques légères invraisemblances liées aux unités de temps et de lieux (enchaînements un peu trop rapides, mais le film aurait bien fait dans les 3h30 s'il avait fallu tout détailler). C'est ce qui s'appelle dépoussiérer efficacement et intelligemment une vieillerie.
Les bons points, une adaptation assez honnête de l'une des séries les plus classieuses que je connaisse. Son problème ? ça sent trop le déjà vu et ça manque de dynamisme et de fun. Une vrai déception pour des acteurs qui pourtant donnent une prestation assez dans le ton
Vraiment pas terrible. Je m'attendais à beaucoup mieux venant du réalisateur du chef-d'oeuvre Révélations. Un Michael Mann mineur et sans doute son film le plus impersonnel. Je trouve le scénario poussif, convenu, et la mise en scène plate et pas très efficace. On meuble avec des dialogues complexes pour combler la manque de consistance narrative, le jeu d'acteur dans l'ensemble n'a rien de vraiment marquant (çà fait le minimum syndical quoi) et est même vraiment insipide (peut-être réaliste par contre ?) et on s'ennuie au final un peu pendant les 2h20 que dure ce Miami vice. Il y a pas mal de films de ce genre qui à défaut d'avoir une intrigue originale arrivent à compensé en s'appuyant sur une mise en scène inspirée et efficace, ainsi que sur une bonne psychologie des personnages mais là... La dimension dramatique (pour les deux principaux notamment) est ici totalement délaissée (même si c'est vrai que ce n'est pas le genre de film qui s'y prète le plus). Il ne se passe que dall à part une vieille fusillade moisie à la fin et une histoire sentimentale vue et revue.. L'ensemble manque singulièrement de personalité. Je n'ai vu aucun épisode de la série mais en tout les cas cette adaptation filmique à laquelle Mann n'a pas réussi à insuffler une vraie ambiance particulière et une quelconque audace narrative, est bien fade. Bref, il y a pas mal de Policiers qui traitent le sujet de l'infiltration nettement mieux que celui-ci à voir en priorité selon moi. 2 étoiles car assez déçu.
J'avais déjà vu ce film 2 ou 3 fois par le passé et je n'arrivais jamais à m'en rappeler, en plus de ça je le trouvais très bof et ce soir re-re-visionnage pour me faire un avis définitif et finalement c'est loin d’être aussi mauvais que dans mes souvenirs.
Michael Mann nous offre sur grand écran les aventures d'un célèbre duo du petit écran, bon je n'ai jamais regardé la série donc je ne pourrais comparer les deux.
En ce qui concerne ce film, la réalisation est excellente, comme à son habitude Mann nous sort le grand jeu, une réal toujours dynamique et originale, ainsi qu'une mise en scène très bien foutu, des décors superbes, un film à voir en HD car certaines images sont vraiment magnifiques, Colin Farrell et Jamie Foxx forment un splendide duo, ils ont la grande classe, on regrettera cependant à la version française un doublage atroce pour Foxx, la bande son est très bonne et le scénario bien que classique reste correct, c'est pas folichon, c'est même déjà vu le coup des flics qui s'infiltrent chez les ennemis, le héro qui tombe amoureux de la femme du méchant, 'fin c'est pas le truc le plus original de la terre mais avec la mise en scène de Mann ça passe.
Michael Mann nous offre sur grand écran les aventures d'un célèbre duo du petit écran, bon je n'ai jamais regardé la série donc je ne pourrais comparer les deux.
En ce qui concerne ce film, la réalisation est excellente, comme à son habitude Mann nous sort le grand jeu, une réal toujours dynamique et originale, ainsi qu'une mise en scène très bien foutu, des décors superbes, un film à voir en HD car certaines images sont vraiment magnifiques, Colin Farrell et Jamie Foxx forment un splendide duo, ils ont la grande classe, on regrettera cependant à la version française un doublage atroce pour Foxx, la bande son est très bonne et le scénario bien que classique reste correct, c'est pas folichon, c'est même déjà vu le coup des flics qui s'infiltrent chez les ennemis, le héro qui tombe amoureux de la femme du méchant, 'fin c'est pas le truc le plus original de la terre mais avec la mise en scène de Mann ça passe.
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