j'ai trouvé les dexu acteurs très prétentieux dans leur interprétation. Trop prétentieux. J'ai eu aussi l'impression de déjà vu. Et je n'avais pas aimé .. alors autant dire que c'est le naufrage total et rapide .
Un Mann moyen, mais ça n'en reste pas moins un bon film, le scénario classique trouve ici le moyen de se démarquer des autres productions grâce à un duo d'acteur efficace et un réalisme, une noirceur dans cette ville de miami qui n'est que rarement éclairée.
Pas de chance ce film arrive au pied du podium de mes films préférés de Mann. Semi-échec à sa sortie, Miami vice reste pourtant pour moi un excellent film surtout que je ne connaît pas très bien la série originale. La mise en scène est d'une maîtrise absolue et la bande son énorme. Après c'est vrai que l'histoire n'est pas des plus originale
A part deux ou trois scènes d'action mal filmés, c'est mou, c'est lent, bref soporifique ! Que ce soit les gentils ou les méchants, les personnages sont aussi charismatiques qu'une huitre. Et pour finir l'histoire est à dormir debout.
C'était la seule fois où j'étais sorti du cinéma avant la fin. Je m'en rappelle comme si c'était hier. C'est une expérience traumatisante de regarder un film aussi mauvais. Si vous tenez à votre santé mentale, ne regardez jamais ce film
un polar pas si mal que ça, avec deux bons acteurs, on est prit tout de suite dans l'histoire, les scènes d'actions spectaculaires et le coté sombre du film est passionnant !!!
Enorme déception, je n´aurais jamais pensé mettre un jour une note si faible à un Michael Mann! Tout était pourtant réuni pour faire de ce film un des sommets de sa filmographie pourtant déjà bien garnie : Mann connait par cœur les personnages, l’ambiance et l´esprit de la série qu´il a longtemps produite, il revient après trois films au polar d´action, genre qui l´a consacré avec Heat, il a prouvé avec Collateral qu´il savait filmer la nuit et ses dangers comme personne, et la ville de Miami lui offre après Los Angeles (Heat, Collateral) un nouveau terrain de jeu à sa mesure. Le résultat est cependant bien en dessous de nos attentes. On est donc en droit de se demander où, quand, et pourquoi ca a merdé. Une seule et même réponse s´impose: la love story entre Sonny Crockett et Isabella est un fiasco total, et c’est un vrai problème étant donné qu´elle occupe toute la partie centrale du film. Après un début sur les chapeaux de roues pendant lequel il nous plonge dans l’organisation d´un cartel multinational, Michael Mann essaye de donner au film une dimension tragique avec ce dilemme auquel sont confrontés les deux amants, membres de deux camps en guerre et dont l´un a faussé les cartes dès le début en cachant sa véritable identité. Pas de chance, il réussit juste à oublier son scénario d´origine (au final ont-ils trouvé la taupe ?) et à tuer le rythme du film avec une histoire inintéressante, traînant en longueur, extrêmement mal jouée (merci Colin Farrell) et dont on n´a finalement rien à foutre. Reste pour se consoler une première heure passionnante, la qualité de la réalisation (la Michael Mann´s touch), une bande son au poil, un très bon Jamie Foxx tout en retenue, et bien sûr le final, qui, sans comparaison possible avec la fusillade culte de Heat, clôt tout de même le film de manière très honorable. Ce qui fait déjà pas mal.
Bon film de Michael Mann qui réalise là,il faut le dire,un bijou de réalisme! Les fusillades sont très bien tournées,l'univers des narcos traficants bien reconstitué. Je reprocherai seulement une premiere heure un peu longue mais ce film est à conseiller aux amateurs d'actions.
Derrière les plages et les paysages de rêve, la ville de Miami reste une plaque tournante du crime. La tâche pour le combattre est fastidieuse, et les agences fédérales sont encore loin d'y parvenir. À l'issue d'une mission d'infiltration ayant tourné au carnage, deux flics -Sonny Crockett et Ricardo Tubbs- sont recrutés afin d'enquêter en première ligne... Michael Mann décide de s'attaquer à la série culte qu'il a contribué à créer dans les années 80. Qu'on ne s'y trompe pas: il ne s'agit pas d'un rétro-pédalage pour magnifier une époque révolue, mais bien d'une réactualisation s'inscrivant logiquement dans la filmo de son auteur. Les thématiques chères à Mann sont bien là: univers aux frontières morales floues, individus mélancoliques ou opposés à des forces qui les dépassent...Miami Vice évolue dans un environnement similaire à Heat et Collateral, qu'il évoque immanquablement. La principale qualité du film réside dans son contre-point permanent des codes de la série. Les tons fluos et clinquants laissent ici place à un cadre nocturne et réaliste. Par la simple puissance de sa réalisation (toujours assez frontale), Miami Vice révèle une beauté paradoxale, en cela qu'elle se fonde sur une ambiance sale et orageuse. Comme de juste, la paire Crockett/Tubbs s'adapte à cette nouvelle vision. Les deux personnages partagent peu de dialogues, mais j'ai aimé cette originalité. Le film ne raconte pas les origines de ce duo, mais nous les présente à un moment où ils n'ont plus besoin de se parler pour se comprendre. De fait, l'alchimie opère malgré tout selon moi. Colin Farrell a rarement été aussi intense et magnétique, Jamie Foxx campe avec force Ricardo Tubbs. Le premier a néanmoins l'avantage à mes yeux car il offre plus de nuances. Chose due à l'idylle formé par Crockett et l'administratrice du cartel Isabella (Gong Li, formidable). Rayon casting, c'est du top niveau et je ne peux m'empêcher de saluer la magnifique Naomie Harris ou l'excellent John Ortiz. Là où je trouve que le film pêche, c'est au niveau de son histoire. Le tournage fut émaillés par de nombreux problèmes, et le script dût être remanié de nombreuses fois. Ça explique peut être pourquoi il parait prévisible, abrupt voire maladroit (et ce même dans sa version rallongée de 7 minutes). Ces réserves mis à part, Miami Vice s'est tout de même offert un joli dépoussiérage. L'une des plus intéressantes adaptations de séries télé, qui s'inscrit parfaitement dans son époque (ambiance et bande originale en plus).
Vraiment très déçu. Je m'attendais à mieux de la part de Mann. Même si la réalisation est vraiment pas mal, les personnages sont fades, ainsi que l'histoire qui n'a rien d'inoubliable. 1 étoile juste pour la réalisation: Après Collateral, M.Mann demontre qu'il sait capter mieux que quiconque les ambiances nocturnes urbaines. A part ça, rien à voir.