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Un classique de la série B fauchée comme Roger Corman en produisait à la pèle, à voir par curiosité et pour les débuts amusants de Nicholson dans un petit rôle déjà bien barré.
La Petite Boutique des Horreurs est un film d’horreur loufoque réalisé par Roger Corman avec trois francs six sous. Le film est constitué d’un scénario complètement barré qui mets en scène une plante carnivore, un idiot, un patron juif près de ses sous, un dentiste qui tient du boucher, un mangeur de fleurs assaisonnés, un type qui adore se faire arracher des dents et une mère folle et alcoolique. Vous l’aurez compris, le film est avant tout tourné vers la comédie et propose quelques moments sympathiques dans le domaine. L’image n’est pas toujours très belle, la réalisation parfois un peu approximative et la musique plutôt insignifiante mais c’est à ça qu’on détermine son caractère de série B.
Un film léger et drôle, certes on peut le trouver nul si on ne sait pas qu'il a été tourné en deux jours.
Sûrement le film le mieux rythmé que j'ai vu du pacha de la série B Roger Corman, "La Petite Boutique des horreurs" est autant une comédie qu'un film d'horreur. D'ailleurs le réalisateur se sert de la comédie pour non pas cacher mais au contraire encore mieux montrer les invraisemblances du scénario, qui auraient été gênantes pour un simple film horrifique mais qui là donnent un côté décalé jouissif à l'ensemble (les dialogues à l'emporte-pièce des policiers sont impayables !!!). Un argument scénaristique détonnant, une galerie de personnages qui semblent tout droit sortis d'un asile psychiatrique et des trucages cheap autour de la plante affamée bizarrement agréables donnent du charme à ce film. A noter une séquence mémorable avec un jeune Jack Nicholson en croque-mort masochiste.
Film clulte réalisé par le maître de la série B Roger Corman en 1960, "La petite boutique des horreurs" est une comédie d'horreur mettant en scène des personnages délirants et presque tous plus dérangés les uns que les autres. Belle apparition de Jack Nicholson dans un de ses premiers rôle ou il jouait déjà les psychopates. Son aspect fauché et tourné à la va vite lui donne tout son charme et lui confère bien plus d'amusement qu'un film avec des effets spéciaux et une photographie niquel. L'humour est un peu couillon (le client qui sale les fleurs avant de les manger ( il joue dans tous les films de Joe Dante ) et la plante qui s'énèrve qand on ne la nourrit pas ) mais c'est une bonne humeur communicative qui donne la bananne. On en fait plus des comme ça.
C’est une parodie de film d’épouvante et un concentré d’esprit juif new-yorkais, fait d’humour noir, de délire loufoque, de névrose freudienne… avec même le personnage de mère hypocondriaque et abusive. A côté Woody Allen fait fade. Le scénario et les gags sont suffisamment efficaces pour faire oublier la misère d’une réalisation faite avec trois francs six sous et bâclée en deux jours. Ca mérite vraiment d’être vu. Dans mon souvenir le remake de Franck Oz était assez réussi.
Ce film de R.Corman est une belle réussite même s'il a mal vieilli et qui souffre de la comparaison de son remake plus reconnu. Le scénario est excellent et on s'amuse avec cette histoire de plante cannibale au doux nom d'Audrey Junior.
A l'image de son thème, ce petit film fait penser à un chaudron de sorcière dans lequel on aurait mélangé plein d'ingrédients au hasard. Le résultat est évidemment mauvais mais avec un goût unique. On ne se doute pas sans se documenter que le tournage a coûté 27 000 dollars et s'est étalé sur deux jours. C'est un élément important pour comprendre pourquoi l'oeuvre est passée à la postérité, même s'il n'en demeure pas moins pauvre et terriblement désuet. Intéressant comme symbole de la carrière de Roger Corman et des débuts de Jack Nicholson, en plus d'être ce qui se fait de mieux avec un carton et trois ficelles.
Tout a commencè en 1960, quand Roger Corman avec le directeur d'un studio, loua les dècors encore en place d'un film à petit budget! En quarante-huit heures, Corman et son scènariste, Chuck Griffith, trouvèrent l'idèe d'un film fantastique sur les mèfaits d'une plante carnivore! Le tournage dura deux jours et une nuit (le 28 et 29 dècembre 1959)! Une oeuvre sans prètention qui accède au statut de film culte avec un jeune fleuriste qui nourrit une gigantesque plante carnivore en carton pâte et qui crit à tout bout de champ "Feed Me, feed me"! On notera dans ce petit film sympathique le tout premier rôle au cinèma d'un immense acteur: Jack Nicholson! Une sèrie B fauchèe mais drôle...
Redzing
Avec ses moyens dérisoires (notons tout de même une petite apparition du débutant Jack Nicholson en masochiste), ce "Little shop of horrors" illustre très bien les méthodes de Roger Corman et passe plus pour une série Z que pour autre chose. Cependant, ceci ajoute une touche charmante, tandis l'humour noir du réalisateur ne passera pas inaperçu ; toutefois certains passages restent limite question qualité. Anodin mais assez étrange.
Cette « petite boutique des horreurs » na pas le charme de son remake, réalisé par Frank Oz, et malgré une bonne interprétation et un scénario qui tient la route, le résultat ne passionne pas et est à peine divertissant.
Un chef d'œuvre. Un grand classique du cinéma fantastique des années 1960 avec beaucoup de comédie.
Très drôle, original et frais, cette "Little shop of horror" est un bon film pour passer un agréable moment. Un des premiers films où on voit les débuts de Jack Nicholson (dans le rôle d'un patient bien dérangé). L'histoire est assez simple: un apprenti fleuriste a mélanger deux races de plantes: les bégonias et les carnivores. Résultat, le soir à minuit la plante se réveille pour demander à manger. Et bien sûr ce ne sont pas des insectes. C'est pas mal mais malheureusement la musique à certains moments est ridicule et le jeu de certains acteurs assez mauvais mais on passe un bon moment avec un des classique de la comédie horrifique.
Précédée d'une aura "culte", cette comédie horrifique n'est finalement ni très drôle, ni très horrifique. À l'exception de quelques gags ou dialogues absurdes, assez réussis, ce film hybride tombe souvent à plat. Il souffre par ailleurs d'un manque cruel de moyens (tournage en deux jours et une nuit !) qui le rend kitschissime, mais peut éveiller la sympathie.
À noter : la petite apparition de Jack Nicholson dans l'un de ses premiers rôles au cinéma.
Frank Oz tournera un remake en 1986, sous la forme d'une comédie musicale, avec notamment Rick Moranis et Steve Martin.
À noter : la petite apparition de Jack Nicholson dans l'un de ses premiers rôles au cinéma.
Frank Oz tournera un remake en 1986, sous la forme d'une comédie musicale, avec notamment Rick Moranis et Steve Martin.
On prend un certain plaisir devant ce vieux film à petit budget. Les dialogues, bien qu'un peu niais parfois, ont tout de même de très bons passages, dotés d'un humour grinçant et légèrement morbide.
Les personnages de ce film sont tous plus ou moins farfelus; on fait la rencontre de certains cas très spéciaux, comme le client qui se nourrit de fleurs ou Jack Nicholson dans le petit rôle d'un grand masochiste...
Bien sûr, le manque de moyens saute aux yeux quand on voit cette plante qui ressemble plus à un accessoire de théâtre qu'à un monstre de cinéma... Mais on ne s'ennuie vraiment pas, car le scénario est plutôt bien construit. Bon d'accord, la fin est un peu stupide, mais c'est un film pour rire après tout, il se passe donc d'une conclusion sérieuse.
Les personnages de ce film sont tous plus ou moins farfelus; on fait la rencontre de certains cas très spéciaux, comme le client qui se nourrit de fleurs ou Jack Nicholson dans le petit rôle d'un grand masochiste...
Bien sûr, le manque de moyens saute aux yeux quand on voit cette plante qui ressemble plus à un accessoire de théâtre qu'à un monstre de cinéma... Mais on ne s'ennuie vraiment pas, car le scénario est plutôt bien construit. Bon d'accord, la fin est un peu stupide, mais c'est un film pour rire après tout, il se passe donc d'une conclusion sérieuse.
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