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NeoLain
4 980 abonnés
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3,0
Publiée le 30 août 2010
Film culte qui engendrera une saga, Charles Bronson se met dans la peau d'un justicier après le viol de sa fille et le décès de sa femme qui succombe des blessures subit par trois agresseurs, dont on peut apercevoir le tout début de l'acteur Jeff Goldblum. Charles Bronson porte son rôle dans la peau, Un justicier dans la ville sans être véritablement ultra sombre et malsain, ne laisse malgré tout pas indifférent, et on comprend son attitude à vouloir supprimer ce qui le démange, retrouver les agresseurs. La fin est vraiment une fin est pas vraiment celle à laquelle on s'attendait, c'est un des meilleurs Bronson.
Bronson, pour se venger de la mort de sa femme, dézingue les voyous qu'il croise dans ses promenades nocturnes, et, comble de chance, il en rencontre à chaque coin de rue... c'est l'essentiel du scénario de ce film, donc tout cela est d'une grande platitude...
Charles Bronson est excellent dans la peau de ce personnage (il sait même être émouvant à certain moment) tombant dans une spirale de violence. La suite de cette saga est peu honorable mais ce 1er épisode est très bon.
Une mise en scéne qui a beaucoup viellit, des thèmes passéistes, aux accents "self defnece" un peu démodé..Il ne reste pas grand chose de ce genre de cinéma qui eut son heure de gloire.On s'ennuie beaucoup, on zappe, tout est très pitoyable..très lourd..
Michael Winner a réalisé un bon polar, en présentant la ville de New York rongée par la criminalité. Beaucoup de psychologie, Charles Bronson a le profil idéal pour ce genre de rôle. Le côté justicier du personnage aurait pu être plus approfondi si il menait sa propre enquête pour retrouver les auteurs du meurtre de sa femme et du viol de sa fille.
Un vieux film certes, brut, dur à certains moment, mais tout à fait respectable. Un film qui fait son age donc à un peu mal vieilli, Charles Bronson ne brille pas vraiment de par son jeu mais reste assez charismatique.
Un Justicier dans la ville est un très bon film sur l'autodéfense et où Charles Bronson tient là l'un de ses meilleurs rôles sur grand écran. L'histoire débute où une femme et la fille d'un homme d'affaires sont violées et torturées dans leur appartement par des voyous. La mère meurt alors que la fille est traumatisée par ce qu'il lui ait arriver. Le père de famille se transformera alors en justicier. Grâce un solide scénario de Wendell Mayes ( l'Aventure du Poseidon ), nous avons le droit de voir un long métrage vraiment passionnant. La mise en scène de Mickael Winner ( le très bon western l'Homme de la Loi ) est efficace et on se retrouve surpris par certains passages de meurtres qui feront de ce long métrage, un film culte pour certaines personnes. Il s'agit donc d'un film particulièrement violent dans son contenu pour l'époque, et il est d'ailleurs pas difficile de lui trouver des points en commun avec un autre film important des années 70: l'Inspecteur Harry de Don Siegel, film qui à été réaliser quelques années auparavant. Au niveau de l'interprétation, nous retrouvons un Charles Bronson, qui trouve là un rôle à la hauteur de son immense talent, surtout lors des fameuses scènes où il tue de sang froid et par vengeance tout les truand ou voleurs qui essaient de la depouiller. A ses côtés, nous retrouvons notamment Hope Lange ( vu dans Blue Velvet de Lynch ) qui joue le rôle de la fille traumatisée d'une bien belle façon. Nous pouvons également apprécier la présence de Jeff Goldblum ( qui deviendra célèbre pour son rôle dans la Mouche de Cronenberg ) qui joue ici l'un des rôles des voyoux. Précisons également la musique très accrocheur de Herbie Hancock, qui reste un autre atout du film. Voilà donc un long métrage que je trouve particulièrement réussi et que je conseil à tous les fans de Charles Bronson.
CHARLES BRONSON dans le rôle qui a fait de lui une légende, un polar musclé et expéditif sur le thème de l'auto-défense, un film tout simplement culte!!!!
13 753 abonnés
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3,5
Publiée le 7 octobre 2010
Un film violent et sauvage sur l'apologie de l'autodèfense et de la justice privèe qui rencontra un grand ècho aux Etats-Unis!A sa sortie en 1974, le film est identifiè comme une fiction de classe moyenne blanche et rèactionnaire par la critique amèricaine!Le succès de "Death Wish" est prodigieux et Charles Bronson parfait en Paul Kersey,justicier solitaire ,en marge de la police officielle!"Death Wish" est avant tout un film sur le malaise américain des années 70!Une société dèsenchantèe confrontèe aux èchecs de l'urbanisation massive,à la montèe de la violence en ville!On n'oubliera pas ce plan final de Kersey qui sourit à l'idée de ses futurs agissements en mimant son arme à l'aide de sa main!Une franche rèussite et un Bronson qui deviendra le symbole de l'autodèfense!Belle musique de Herbie Hancock...
Bien qu'un peu daté, ce film se laisse encore voir agréablement. A vrai dire, c'est sûrement un des meilleurs polars de Charles Bronson. Ce rôle de justicier lui sied à merveille.
Premier épisode d'une longue lignée de films nauséabonds sur le 'self-defence'. Le pire ce n'est pas que ce film est mauvais, le pire c'est que c'est à cause de ce genre de film que l'image de Charles Bronson, qui jusqu'alors jouait dans des grands films, s'est terni et a chuté !
Super film, vraiment! Il est trés sympathique avec son coté "western urbain" et il est trés interessant de voir progressivement la méthamorphose d'un homme plutôt tranquille en redoutable justicier mais au fond, ce film est à prendre au 2nd degré.
Classique des 70's et monument du cinéma contestataire, "Death Wish" n'est pas l'oeuvre réac si souvent décrié par tous les bien-pensants mais bel et bien un polar sombre racontant l'aliénation progressive d'un col blanc qui suite à la perte de sa femme va s'enfermer dans une spirale de violence en allant affronter tous les criminels qu'il trouve dans les bas-fonds de New-York. Michael Winner signe là un grand film au regard désenchanté sur un monde à la dérive et aux institutions vacillantes, le tout porté par la présence de l'immense Charles Bronson qui va malheureusement s'enfermer dans des suites aussi débiles que réac mais toujours fun à regarder.
Pas grand chose à sauver dans ce film qu'on croirait produit par Bruno Mégret. Les acteurs ne sont pas très crédibles. Je pense à Charles Bronson et plus encore à Jeff Goldblum. Pas de chance, chaque fois que le pauvre Bronson sort de chez lui, il tombe sur des voyous (presque toujours Noirs ou basanés) qui menacent de le zigouiller ! La délinquance existe, mais sortir sept fois le soir et se faire à chaque fois menacer de mort me semble une représentation tronquée de la réalité. A moins d'aller exprès dans des coupe-gorges. Dans ce cas, ce film n'est rien d'autre que le récit d'un type qui s'offre un carton par soir juste pour le plaisir de tuer. La recherche des assassins de sa famille n'est que prétexte à une suite de tueries sauvages. Si ça a pu rassurer des mamies terrorisées, tant mieux pour elles. Mais au-delà...