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    Un justicier dans la ville
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    100 critiques spectateurs

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    videoman29
    videoman29

    246 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    Si « Le justicier dans la ville » a quelque peu vieillit visuellement ; Le message, lui, n'a pas prit une ride ! En 1974, lorsque le film est sorti, il représentait un tournant dans l'histoire du film d'action. Cette violence extrême et ce scénario vengeur, qui fait l’apologie de l'auto-défense, était assez surprenant pour l'époque. Aujourd'hui ce genre de film est devenu courant avec, d'ailleurs, une nette surenchère dans la violence. Évidemment, on pourrait discuter longtemps sur le bien fondé du message ; Ceci dit, voir Charles Bronson faire le ménage dans les rues sombres de sa ville reste assez réjouissant. D'ailleurs, si les critiques de l'époque sont très partagées, le succès populaire est bien au rendez-vous. Il sera tel que 4 suites seront tournées, avec plus ou moins de succès. Michael Winner réalisera les trois premiers (les meilleurs) mais Bronson tournera dans les cinq. A noter également le premier rôle de Jeff Goldblum qui fait sa première apparition au cinéma. Un film étonnant à redécouvrir pour les amateurs d'action ou pour les fans de Charles Bronson.
    Acidus
    Acidus

    723 abonnés 3 710 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2014
    Premier film d'une longue série, ce "Justicier dans la ville" n'est qu'une série B peu inventive et au scénario écrit en une minute montre en main. L'histoire accumule les clichés, les exagérations et l'idéologie véhiculée (se faire justice soit même) manque clairement d'intelligence. Charles Bronson campe un rôle qui lui va comme un gant et dégage toujours ce charisme, cette aura qui lui ai propre. Il cache cependant difficilement les nombreux défauts du film à commencer par une réalisation plate et insipide. Cette faiblesse ne nous enlève heureusement pas le plaisir que nous procure les scènes d'action.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2014
    Un plaidoyer décomplexé , violent et choc pour l' autodéfense . " Un justicier dans la ville " est un film typiquement 70' s , bien mis en scène ( Michael Winner , cinéaste malheureusement trop sous estimé ) , bénéficiant d' une bonne B.O. ( Herbie Hancock ) et d' un interprété charismatique ( c' est Charles Bronson quand même ! ) ... Ce film est a 1000 lieux des suites déplorables faites pendants les années 80 et 90 .
    Bref , ce très bon " vigilante movie" , apologie de l' auto défense , est la meilleur collaboration de Michael Winner et Charles Bronson ( 6 films en commun) et l' un des meilleurs films des années 70 ....Efficace !
    Un film que je place sans hésitation dans mon top 10 !
    captainlo
    captainlo

    8 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2024
    Un film culte qui prône l'autodéfense et qui a fait débat à l'époque ,peut être encore plus aujourd'hui, pourtant il est criant de vérité,pour moi c'est le meilleur de Charles bronson la justice par ces propres moyens 👉
    leochou
    leochou

    16 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 février 2014
    Film sur l'auto justice où les citoyen non armés sont vus comme des moutons qui attendent d'être tondus. Outre le message discutable du film, le scénario n'offre pas de gros intérêt dramatique et philosophique. Effectivement on jubilera de voire des voyous se faire descendre par Mister Bronson mais à par cela on s'ennui un peu il faut bien l'avouer. Le film est également daté 40 ans tout de même.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 janvier 2014
    c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2014
    Un symbole du "vigilante movie" mais qui s’avère très décevant, malgré un début d'une violence extrême pour l’époque qui donnait le ton d'un film voulant bousculer les codes établis.
    Au final il n'en est rien, dénué de subtilité et de psychologie le film s'enfonce dans un manichéisme lourdingue où le trait est grossi un maximum.
    Ensuite dans la forme ce n'est guère mieux, avec un Charles Bronson qui ne possède pas plus de deux expressions et un montage chaotique, le film ne se hisse pas plus haut qu'une série B nanardesque qui est peut être son véritable statut.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 janvier 2014
    c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
    Max Rss
    Max Rss

    199 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2019
    Ah, ce fameux « Justicier dans la ville », le film qui depuis sa sortie ne cesse de diviser le public et qui a suscité quelques controverses à l’époque (ben ouais dans les années 70, on voyait pas souvent ce genre de films au cinéma !). Alors que peut-on penser de ce film de Michael Winner? S’agit-il vraiment d’une apologie de l’auto défense? Ce film est-il une incitation à la violence? Il s’agit là d’une question assez épineuse. D’ailleurs il y a fort à parier que les esprits bien pensants ne manqueront pas d’être secoués (voire choqués) par le côté immoral et politiquement incorrect. Pas sûr que ceux-ci soient bien emballés par les chevauchées nocturne et mortelles de Charles Bronson qui d’ailleurs grâce à son rôle de Paul Kersey va s’imposer comme une icône du cinéma d’action. En ce qui me concerne, je vois plutôt en ce film (nerveux) un état des lieux de la société américaine des années 70: une société malade, incapable de contenir l’expansion démographique et incapable de lutter contre la criminalité. De manière totalement objective, il est vrai qu’il n’y a pas vraiment d’originalité, mais sans blaguer n’est-ce pas bon de voir l’ami Charles buter tous ces petits voyous? Dans tous les cas, voilà un film qui a marqué son époque et qui a également marqué un tournant dans la carrière de son acteur principal.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 184 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2015
    Quand on évoque les films de vengeance, de Michael Winner est immanquablement cité comme le film séminal d'un genre qu'il aurait lui-même contribué à créer. "Death Wish" est devenu avec la saga des Dirty Harry le symbole de l'Amérique réactionnaire de retour après les désillusions qui minèrent le pays suite à l'enlisement vietnamien et à la fin sanglante du rêve hippie dans Cielo Drive (assassinat de Sharon Tate par les séides de Charles Bronson,) suivi la même année (1969) de la tragédie d'Altamont (un concert des Rolling Stones ayant viré au tragique à cause du service d'ordre confié aux Black Panthers). Don Siegel aurait donc ouvert la voie avec l'inspecteur Callahan et son magnum 44 qui lui tenait lieu de seul mode d'expression suivi par Michael Winner qui lui aurait emboîté le pas de manière encore plus condamnable en prônant le recours à l'auto-défense dans un pays déjà infecté par la libre circulation des armes à feu. Cette vérité est tenue pour acquise et reprise à longueur d'analyses critiques. En réalité combien ont revu le film qui date aujourd'hui de près de 40 ans pour vérifier la justesse de cette assertion ? Michael Winner et Charles Bronson se connaissent bien quand ils s'embarquent sur ce projet ayant déjà travaillé trois fois ensemble notamment sur un western datant de 1971 "Les collines de la terreur" qui abordait lui aussi le thème de la vengeance mais sur un ton plus distancié quoique tout aussi brutal. Paul Kersey le héros vengeur incarné par Bronson inspiré du roman éponyme de Brian Garfield est présenté de prime abord comme un architecte progressiste, ancien objecteur de conscience dont la vie va s'effondrer quand sa femme sera tuée par un trio de petits malfrats (au sein duquel on reconnaît un Jeff Godblum débutant) et que sa fille témoin du meurtre plongera dans une apathie irréversible. La montée jusqu'à la violence se fera progressivement dans l'esprit de Kersey qui visiblement y répugne. Winner prend aussi bien soin en évitant une classique enquête qui mènerait son héros jusqu'aux tueurs de sa femme de mettre en avant la névrose qui s'empare d'un individu ignorant tout de la violence qui sévissait en bas de sa rue jusqu'à ce que le malheur le frappe personnellement. A ce propos l'entame du film sur une vision de carte postale de Kersey et de sa femme en vacances à Hawaï montre bien dans quel monde clos vivait ce couple bourgeois. On ne peut donc de manière univoque taxer Winner de prosélytisme même si en retournant l'argument on peut considérer que le fait de montrer la folie meurtrière d'un homme à priori non violent peut participer à déculpabiliser le plus grand nombre. De la même manière laisser affirmer le commissaire en charge de l'enquête que les crimes ont fortement baissé depuis qu'un justicier sévit dans les rues de la cité peut relever de l'apologie de l'auto-défense. Le débat reste ouvert mais ne peut être tranché de manière absolue. Ce qui est sûr en revanche, c'est que devant le succès du film Winner et Bronson se sont laissés aller à l'outrance, transformant Kersey en véritable machine à tuer qui s'arroge en véritable démiurge le droit de vie ou de mort. Mais là encore on peut se poser la question de savoir si ce n'est pas surtout l'appât du gain qui a poussé les deux hommes et leurs producteurs à une surenchère de plus en plus caricaturale en voulant exploiter le filon jusqu'à la corde . Visiblement les éventuelles conséquences des aventures de Kersey ne leurs ont pas posé trop d'états d'âme et surtout pas à Bronson qui une fois que Winner aura passé la main continuera la saga sous la férule de Jack Lee Thompson, cinéaste encore plus manichéen que Winner. . Business is Business. Un film comme "La nuit des juges" de Peter Hyams en 1983 avec Michael Douglas pose certainement de manière plus directe le problème du recours à la justice expéditive en suggérant que l'on peut s'organiser pour cela plutôt que d'agir en solitaire comme un Kersey qui dans la vraie vie serait vite démasqué. A chacun de voir le film pour se faire sa propre opinion.
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 octobre 2013
    Tout a déjà été dit ou presque sur ce film culte. Premier volet (Et de loin le meilleur) de la saga "Death Wish", "Un justicier dans la ville" est un classique. LE film qui a donné naissance au genre "Vigilante movie". Une perle tournée en 1974 par Michael Winner qui nous offrait alors un de ses meilleurs films. Violent, réaliste, sans concession, "Un justicier dans la ville" a marqué et continue de marquer les esprits près de 40 ans après sa sortie. Inoubliable Charles Bronson.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    90 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2013
    Certains y voient une apologie de l’auto-défense, d’autres le débordement meurtrier d’un père anéanti parce qu’il n’était pas en mesure de protéger sa famille. Le message délivrer par le film de Michael Winner est sujet à interprétation et divise les spectateurs, ce qui sûr en revanche, c’est que ce polar sombre et violent aura inspiré plus d’un metteur en scène. Marquant le début d’une franchise rivalisant de ridicule et allant même jusqu’à s’auto-parodier, "Un justicier dans la ville" ne montre rien qui justifierait quelque engouement que ce soit. La mise en scène, violente et stylisée, est certes de qualité mais au-delà de cela il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pour incarné ce vigilente improvisé par les circonstances, Charles Bronson, véritable gueule du cinéma, garde ici les mâchoires serrées du début à la fin et transpire aucune émotion, strictement rien ne se passe à l’écran. Pire il semble s’ennuyer ferme, un comble quand l’on sait qu’il reprendre ce rôle par quatre fois. C’est sans conteste le manque de psychologie de ce personnage qui vient anéantir cette intrigue déjà dénuée d’intérêt, ça et le manque de conviction de la part de Bronson qui empêche le spectateur de véritable prendre parti dans la croisade de ce personnage. Une condition pourtant sine qua none pour ce genre de film qui repose entièrement sur une personnalité. On aurait pu avoir à faire à une série B honorable, au final elle est à peine supportable et bien souvent risible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 mai 2013
    c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 mai 2013
    c'est cru violent sans états d’âmes, politiquement incorrecte , c'est direct droit au but le pour ou contre se défendre soit même sans les forces de l'ordre alors qu'on vient de subir un drame phénoménal dans sa life .film coup de poing,sur le deuxième amendement , Bronson est charismatique
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