Mon compte
    L'Escadron noir
    Note moyenne
    3,0
    46 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Escadron noir ?

    10 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    4 critiques
    3
    4 critiques
    2
    1 critique
    1
    1 critique
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    767 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2018
    Un an après avoir tourné dans la fameuse "Chevauchée Fantastique" de John Ford, John Wayne et Claire Trevor se sont retrouvés dans ce très bon western de Raoul Walsh qui possède une histoire, inspirée d'un fait réel, qui raconte comment un instituteur devient hors-la-loi et attaque la ville de Lawrence au Texas. La mise en scène énergique de Raoul Walsh est de qualité, le casting fait très bien son travail et l'histoire qui est certes classique se suit sans ennui.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    600 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2008
    L'histoire de Will Cantrell est un sujet récurent mais ici c'est Walsh aux manettes ce qui mérite toujours le détour.De fait, même si on est loin de ses meilleurs westerns ,celui ci reste agréable à regarder grâce à la mise en scène caractéristique de l'auteur et à la présence de Walter Pidgeon qui compose un salaud à belle allure.Claire Trevor s'en tire pas mal dans un rôle difficile et John Wayne commence à imposer sa présence sans y être aussi convainquant qu'il le sera plus tard.Quelques défauts cependant surtout dans le scénario qui mélange beaucoup le vrai au faux sans avoir su nous faire comprendre ce qu'il se passait vraiment à cette époque dans l'ouest.Deux beaux moments:la plongée volontaire d'un chariot dans la rivière et le passage dans lequel Bob Seaton sort couché entre 2 chevaux tirant une carriole en feu.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 965 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2023
    Basè en partie sur des faits qui se sont rèellement passès dans la vie des protagonistes, "Dark Command"(1940) de Raoul Walsh, se dèroule dans les profondeurs du Kansas qui regorgent de yankees, à l'aube et pendant les sanglantes guerres civiles entre le Nord et le Sud! John Wayne (doublè ici en français par Raymond Loyer) incarne un cowboy du Texas sujet au coup de foudre et au poste d'un homme qui fait respecter la loi! Le « Duke » trouve un rôle inhabituel d'homme simple de l'Est, un marshal qui ne sait ècrire son propre nom! Une Claire Trevor au caractère fort et un Walter Pidgeon tout en prèsomption complètent une distribution bien attrayante! Entre bagarres, chiquès de tabac, trafic d'armes, renègats et romance, l'aficionado du western n'a pas le temps de s'ennuyer! Quoi de plus normal avec le savoir faire de Walsh et le jeu naturel de John Wayne! On to Kansas...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 189 abonnés 5 197 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    L’escadron noir apparaît à la fin. Au début du film on se demande de qui on parle. Car le sujet de la guerre apparaît effectivement en seconde partie.
    La première semble plus classique voire légèrement terne avec un JW qui ne fait pas office de héros, cela change.
    Le western est assez bon car avec ce mélange des genres, on atteint une densité assez intéressante.
    this is my movies
    this is my movies

    715 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Cette évocation très romancée des exactions de la bande à Quantrill (ici, renommé Cantrell sous les traits du génial Walter Pidgeon) reste assez plaisante à suivre, malgré un ton qui varie entre le romantisme un peu naïf façon "La piste des géants", humour simplet et grandiloquence de l'action. Production Republic Pictures, avec le duo Claire Trevor/John Wayne (Trevor étant créditée en haut de l'affiche, comme sur "La chevauchée fantastique" l'année précédente par ailleurs) assez onéreuse, "Dark command" est un western de série B avec quelques plans marquants, et un final brûlant. John Wayne y démontre un certain talent dans l'auto-dérision et le comique de situation, avec son personnage de Texan un peu niais, gauche et parfois désarmant de naïveté. En face, Trevor est très à l'aise, jouant la pimbêche du Sud avec beaucoup de talent, et se révélant impeccable en femme forte. Un film qui m'a bien plu, malgré son scénario qui se contrefiche totalement de la réalité historique, et qui n'arrive jamais à trouver le juste dosage entre ses éléments. L'abus de transparences est aussi un point négatif pour moi, mais le spectacle reste assuré, et le rythme assez trépidant. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 janvier 2013
    Pas un western des plus passionant en dépit du fait qu'il soit réalisé par Raoul Walsh. Du vu et revu en gros et la qualité ne répond pas à l'appel.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2023
    Dark Command passionne pour deux raisons. La première tient au choix d’une évolution croisée des deux protagonistes principaux, comprenons Bob Seton et William Cantrell qui respectivement passent de la brutalité à la civilité et de la culture à la sauvagerie. La figure de l’instituteur, en charge de l’éducation des enfants des pionniers, revêt une profondeur psychologique appréciable : en constante mutation, elle empêche toute caractérisation uniforme et cultive le mystère tant sur les relations qu’il entretient avec sa mère que sur ses motivations véritables. Son parcours ressemble à une descente aux Enfers motivée par l’idée que le savoir excuse tout, qu’il place l’intellectuel au-dessus des lois et des hommes ; en cela, le long métrage marche à rebours des représentations conventionnelles de l’éducation, ici synonyme de perversion et de conversion au Mal. Face à lui, le cowboy texan apprend les bonnes manières et séduit la foule par son naturel, son refus du jargon et son sens pratique.
    Raoul Walsh aime filmer les cavalcades, qu’elles soient équestres – comme c’est le cas lors des séquences de chevauchées –, sociales ou sentimentales ; il ose le mélange des tons pour représenter un temps ô combien troublé de l’histoire des États-Unis et du Kansas, adopte une écriture comique forte de personnages secondaires truculents – pensons au maire ou au dentiste, qui semble avoir influencé Quentin Tarantino dans la composition de Django Unchained (2012). Sans jamais tomber dans le burlesque, le récit aborde la petite histoire, celle qui concerne une petite ville pleine de petites gens, pour donner à voir et à vivre la grande, en l’occurrence le massacre de Lawrence, l’une des zones d’ombre de la Guerre de Sécession. Seconde raison de découvrir ce grand film méconnu, adapté du roman de W.R. Burnett, mis en scène avec talent par Walsh.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2019
    "Dark command" n'est pas un western majeur de Raoul Walsh. spoiler: Le scénario privilégie les scènes d'affrontement verbal
    dans lesquelles John Wayne n'est pas à l'aise (doux euphémisme...) et il faut reconnaître aussi que Walter Pidgeon n'est pas le meilleur choix possible pour le rôle du salaud. Le récit, inspiré d'une histoire vraie, n'est pas assez cinématographique et par trop emberlificoté pour convaincre réellement. Reste la présence de Claire Trevor, toujours à son avantage.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2023
    Un an plus tôt, en 1939, John Wayne tournait dans la formidable « Chevauchée fantastique » de John, Ford. Nous sommes en 1940 et Raoul Walsh le fait tourner dans l’honnête « escadron noir », une histoire qui mélange fiction et faits réels (la vie en résumé de Will Quantrill). Le casting est impeccable avec la poutre John Wayne, Walter Pidgeon, Claire Trevor, Roy Rodger et l’impayable George 'Gabby' Hayes. Le problème principal du film est son positionnement instable entre action/aventure et romance/trio amoureux. La première partie n’est pas franchement passionnante, on assiste à une longue mise en place qui débouche sur une seconde partie de fim où tout s’accélère avec une montée en tension et un final assez époustouflant. Walter Pidgeon, le sosie officiel de Timothy Dalton, est assez impressionnant dans une posture d’homme blessé et revanchard (trop intelligent pour devenir inspecteur) face à un John Wayne qui représente l’homme du peuple, peu instruit et terre-à-terre, mais qui sert parler au « peuple ». Insister sur cette opposition (qui n’est même pas de classe) aurait pu transcender le film (idem pour les rapports entre Quantrill et sa mère/gouvernante), mais il a fallu respecter un cahier des charges trop chargé.

    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    7 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2022
    Cette superproduction Républic bénéficie d'un scénario riche pour compter l'histoire du Texas ou des éléments de cette histoire avant et au début de la guerre de Sécession.
    Le film est riche en péripéties, riche en arcs dramatiques, riche en personnages, bien découpés pour potentialiser les antagonismes entre les différents personnages.
    Avec John Wayne qui arrive du Texas qui devient shérif et qui est sensible aux charmes de Claire Trevor. Avec Walter Pidgeon (Will Cantrell) qui fait le méchant, qui est d'abord instituteur et qui lorgne sur Claire Trevor, que John Wayne lui pique, puis est candidat pour devenir Sheriff, mais c'est John Wayne qui est élu, puis devient ensuite le commandant d'une milice qui va ravager et piller le Texas tout en se faisant passer pour l'armée des confédérés. Tout cela est librement inspiré de la réalité, mais permet de composer une histoire qui tient la route. Avec ce qu'il faut de séquence d'actions de fusillades et de poursuites très réussies.Le tout pour conter une histoire sombre, car la milice pillait, tuait et volait.
    Le film contient une énergie et une dynamique (le tout en 90 minutes) que l'on va associer au réalisateur Raoul Walsh qui arrive à faire oublier la musique sirupeuse qui est tartinée de partout comme beaucoup de films de cette époque.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top