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Franck V
25 abonnés
695 critiques
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4,0
Publiée le 16 mai 2012
Un des meilleurs films policier français. Jean-Paul Belmondo est magistral comme à son habitude. La réalisation ne laisse aucune faille et le rythme ne laisse pas une seule seconde d'ennuie. Bruno Cremer est intriguant dans son rôle de tueur froid. A voir et à revoir...
Très bon polar mené par un excellent Belmondo entouré par de très bons acteurs,il y a parfois de l'action,on passe un bon moment. Je mettrais à ce film,comme le dit si bien Belmondo,18/20.
Un polar totalement improbable. Que ce soient les péripéties, le personnage principal (un chasseur de primes employé par le gouvernement), ou le méchant (un steward tueur en série...), "L'Alpagueur" tient peu la route. Cependant, le film reste divertissant, surtout grâce à Bruno Cremer dans le rôle du tueur glacial, et à Belmondo jouant son rôle habituel de cogneur sympathique. Pas mauvais, mais loin d'être transcendant.
Dans le style qui a fait sa gloire, L'Alpagueur est un très bon bebel. L'action, les dialogues et le casting sont au rendez-vous. Le tout, porté par une bande originale magnifique.
Un plutôt bon polar aux airs de western urbain qui ne fera néanmoins pas date dans la filmographie de Belmondo. L'ambiance est soignée, les interprètes sont bons mais l'histoire, un peu décousue, ne tient que partiellement en haleine. L'intrigue ne propose pas de réelle chassé croisé entre Belmondo et son ennemi ( contrairement au réussi « Peur sur la ville»). Il n'y a pas vraiment d'enquête. Si les bagarres et fusillades sont nombreuses, il faut attendre les dernières minutes pour avoir une réelle montée d'intensité. Le final est plutôt efficace ou la mise en scène renvoie directement à Sergio Leone ( mais sans néanmoins avoir la puissance et surtout la dérision de celle du maître Sergio ).
L'Alpagueur, c'est un chasseur de prime de luxe, employé par le Gouvernement. L'Epervier est un tueur qui élimine ses complices après chacun de ses hold-ups. L'Alpagueur va devoir l'arrêter.
Loin d'être un polar brillant, L'alpagueur est un film qui a au moins le mérite d'intéresser le public grâce à un bon scénario.
Inutile de préciser que Belmondo est génial, car c'est toujours le cas.
Un Belmondo plus noir, moins gouailleur, mais diablement efficace. Les couleurs et musiques sombres s'allient merveilleusement. Cremer y est très dérangeant en jouant à la perfection son rôle. Ce film, plutôt méconnu du très grand public mérite qu'on s'y attarde.
Le film est daté mais c'est pour cela qu'on l'apprécie: plans, musique, tout pour retrouver ou découvrir l'ambiance type des années 70. Certains personnages ou certaines attitudes sont certes un peu trop clichés ou stéréotypés (le gars qui communique en sifflant !) mais c'est à voir, ça donne l'impression de passer un moment au milieu des seventies et on ne s'ennuie pas une seconde pour peu qu'on apprécié le style.
Une pure merveille de polar noir emmené par une musique inoubliable que Morricone n'aurait renié, Belmondo a moins d'humour que d'habitude, il ne cabotine pas ce qui ne rend pas le film moins déplaisant, bien au contraire, ce rôle est taillé sur mesure pour lui. Labro insuffle à son film une ambiance terne, très automnale qui accentue la dangerosité du méchant. Les apparitions de Bruno Cremer, finalement assez (trop ?) rares, sont glaçantes et l'affrontement final entre les deux héros est épique. Un des meilleurs Belmondo, beaucoup trop sous-estimé.
L’alpagueur (Belmondo), travaille en sous-main pour les autorités. Il va combattre l’épervier (Bruno Cremer), un casseur qui n’hésite pas à tuer. Comme toujours, il y a une recherche formelle chez Labro. Ici, elle consiste principalement à dilater, à la manière de Melville. Si la scène d’ouverture (lent panoramique de 360 degrés) est réussie, le reste ne l’est pas. L’impression est plus celle d’une distanciation désimpliquante, que d’une tension glaçante ; Plus proche donc de Godard que de Melville. La violence et la rapidité des actions en perdent de leurs poids, ce qui est dommage, car il y a quelques bonnes idées de séquences brutales. En plus, Labro utilise mal ses décors (par exemple le paquebot boîte de nuit « le Lydia » : une seule belle vue). Et enfin, l’ensemble donne une impression de désinvolture peu compatible avec un polar. Les autres défauts sont liés au contenu. D’abord le fait que l’on suive plusieurs actions préliminaires avant d’entrer dans le vif du sujet : cela casse le rythme. Puis l’absence de densité des protagonistes, ce qui fait que l’on n’y croit pas, malgré le jeu convenable des acteurs, qui y croient à peine plus que les spectateurs. A éviter.
Du bon Belmondo et une belle performance de Bruno Crémer. Malheureusement le film qui pourtant se déroule sur un rythme plutôt soutenu perd de son intéret devant certaines scènes complètement invressemblables.
j adore labro, c est un touche à tout et avec beaucoup de reussite tres bon scenario, je vais surement me repeter, belmondo est fort de tres beaux et bons second roles
Ultra classique : des courses-poursuites, quelques répliques viriles, des gun-fights, de vilains méchants qui font la grimace. Rien de nouveau sous le soleil donc. Le film n'a d'ailleurs rien de bien palpitant, il n'y a pas vraiment de partie enquête. Le rôle du gros méchant tenu par Cremer est pas mal, il aurait été toutefois intéressant de creuser un peu son côté grande folle. La musique est bonne, digne d'un professionnel par exemple, bien qu'un peu trop répétitive. Les scènes de baston font bien rire par leur manque de réalisme, de même les morts par balle prennent un malin plaisir à faire cinquante pirouettes sur eux-mêmes avant de claquer, on va dire que c'est ce qui fait le charme de ce genre de films.