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Alain D.
583 abonnés
3 278 critiques
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3,5
Publiée le 8 novembre 2024
Douze prisonniers maquisards ont été délivrés des nazis. Au décompte ils sont treize, quel est l'intrus, un traitre ou simplement un détenu de droit commun ? Tel est le sujet de ce film de guerre parfaitement écrit et orchestré par Costa-Gavras. Un film avec des scènes intenses, beaucoup d'action et un casting prestigieux : l'émouvante présence de Charles Vanel (à 69 ans), le charisme de Bruno Cremer, la prestance de Michel Piccoli (L'homme de trop), d'autres noms illustres comme Claude Brasseur, François Périer ou Jean-Claude Brialy ...
Films de guerre, pas comme les autres réalisé par le grand Costa Gavras , film de guerre, absolument splendide au niveau de la mise en scène, photographie, montage, direction d’acteurs. Notamment cette scène de fin qui fait absolument froid dans le dos. Chef-d’œuvre !
Un film de guerre pas comme les autres du grand Costa Gravas ! Mise en scène au top , montage , photographie absolument parfaite et direction d’acteurs excellentes ! Et cette fin qui fait absolument froid dans le dos… Chef d’œuvre !
Excellent film de Guerre (pas comme les autres) du grand Costa Gavras ! Mise en scène au top , montage , photo , direction d’acteur, tout est absolument parfait dans ce film et cette fin qui fait absolument froid dans le dos… Chef d’œuvre !
Un film de guerre pas comme les autres. Et quel claque qu’est ce film réaliser par le grand Costa Gravas , mise en scène excellente , direction d’acteur, montage…la scène d’intro est absolument incroyable et surtout la fin qui fait froid dans le dos ! Chef d’œuvre absolu !
Un chef d’œuvre de film de guerre (pas comme les autres) de Costa Gravas. Notamment cette scène d’intro qui est magistral de mise en scène et de montage ! Direction d’acteur parfaite , film tout de même très froid et cette fin qui glace le sang… Chef d’œuvre !
Excellent film de guerre !! (Pas comme les autres par ailleurs) mise en scène de Costa Gravas au petit oignons (très dynamique pour son époque) et direction d’acteur excellente ! Grand film !
Un Homme de Trop fait partie des grand chef d’œuvre de Costa-Gravas et en plus c’était seulement son premier film a ce moment la…et quelle claque absolu !! Il fait son doute partie selon moi d’un des meilleures films de guerre de tout les temps ! Et cette scène d’intro mon dieu ! Chef d’œuvre.
Un vrai bon film de résistance en mode western au cœur du maquis, à la fois tendu et spectaculaire, brillamment mis en scène et servi par un gros casting. La fin est magnifique.
Un bon film qui traite de la résistance, en prenant le parti de filmer des moments durs dans la résistance, comme celle des traitres, du renseignement et de la force de caractère de pouvoir exécuter un homme face à vous, désarmé. On y trouve une belle pléiade d'acteur, tous imprégnés de leur rôle, de leur mission. Et on droit aussi à quelques belles répliques pacifiques, un peu rare dans les films de guerre. A voir par tous les amateurs de film de guerre, plus spécialement de la 2ème.
Un excellent et curieusement rare film de Costa-Gavras, un de ses premiers (fait juste avant "Z"), avec un casting de folie et une histoire très intéressante située pendant l'Occupation. Des Résistants font évader un groupe de prisonniers destinés à la déportation ou au peloton d'exécution. Parmi eux, un inconnu, est-ce un mouchard, ou bien un simple homme n'ayant rien à se reprocher ? Et y a-t-il un traître parmi eux ? Et si oui, lequel ? Un excellent film, vraiment, à voir absolument.
C’est le deuxième long-métrage réalisé par Costa-Gavras après Compartiment tueurs (1965). Autant le premier avait connu un franc succès, autant celui-ci a fait un bide au moment de sa sortie. Le réalisateur avait pourtant, à nouveau, réuni un sacré casting et le scénario s’appuyait sur un roman de Jean-Pierre Chabrol, doté d’une matière dramatique intéressante, à défaut d’un joli titre. En découvrant le film plusieurs décennies après sa création, on se dit que l’ensemble est honnête, efficace, porté par une énergie tendue côté interprétation et côté mise en scène, avec l’écueil d’un bouillonnement un peu trop permanent, de quelques scènes et quelques notes musicales un peu trop appuyées. Mais le principal bémol réside probablement dans le traitement scénaristique de la présence de l’intrus parmi les prisonniers libérés (Michel Piccoli, parfait d’ambiguïté), du trouble et du cas de conscience que cette présence génère. Le traitement se dilue au fil de nombreuses scènes d’action, sans trouver l’épaisseur et le retentissement attendus. En tout cas, ce qui paraissait être le sujet central ne l’est pas vraiment. La trame narrative demeure toutefois captivante, avec un final spectaculaire, tragique et d’une certaine étrangeté, au sommet d’un pont surplombant un gouffre.