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Un visiteur
0,5
Publiée le 6 juin 2011
Rebecca Romijn est bien roulée, j'en ai maintenant la certitude! Merci Monsieur De Palma! Quand au film...Et bien, peut on dire que "Femme Fatale" est un film? Rien n'est moins sûr...
Avec ce thriller sulfureux à tiroirs,Brian De Palma retournait à ses éternelles obsessions hitchcokiennes."Femme Fatale"(2002)est autant un fantasme de cinéphile qu'une frustration considérable pour le tout venant.La longue intro dans les coulisses du festival de Cannes au son du Boléro rappelle à quel point De Palma n'a pas d'égal lorsqu'il s'agit de virtuosité technique et de manipulation du cadre.Il inclut ensuite ses sempiternels thèmes du double,de la trahison,du voyeurisme au coeur d'une intrigue alambiquée,mais diablement maligne lorsqu'on en démêle les fils.Ce manque de rigueur narrative a de quoi gêner,surtout avec un tel vide dans le fond.C'est clairement un exercice de style,avec splits-screens,flash-backs,substitution de femmes.C'est sur ce terrain là que De Palma épate la galerie,même s'il tombe dans la redite avec ses beaucoup plus achevés "Pulsions" ou "Body Double".Rebecca Romijn possède tous les atouts du fantasme de la femme fatale à la sexualité débridée(voir le strip-tease torride dans le night-club)et au machiavélisme élaboré.Antonio Banderas se ridiculise quelque peu.On voit des quartiers de Paris rarement montrés.De l'art cinéphilique sans aucun doute,mais inachevé.
Sans aucun doute, compte tenu des moyens et du pedigree de Brian de Palma, qui a réalisé quelques chefs d'oeuvre, le plus mauvais film de toute l'histoire du cinéma. C'est tout simplement invraisemblable qu'une telle nullité ait pu être produite, tournée et distribuée, malgré les filtres hollywoodiens... Affligeant de crétinerie, dénué du moindre intérêt excepté la beauté fatale de l'actrice principale. Un clip de 3 minutes suffisait à la mettre en valeur... Acteurs pitoyables, mise en scène indigente, dialogues parfaitement grotesques, scénario d'une stupidité hors normes. Certaines scènes semblent issues de plusieurs films (ratés) différents... Le plus étonnant est qu'une certaine critique prompte à flinguer certains films fort honorables ne se soit pas mise à hurler à la mort, mais au contraire a témoigné d'une complaisance inquiétante. Il faut le voir pour le croire !!!!!! Digne du Panthéon du navet absolu
Le film le plus improbable et le plus incompréhensible de Brian De Palma ! Imaginez la rencontre d'Alfred Hitchcock avec Luc Besson doublée d'un concentré des oeuvres maniéristes du réalisateur - Pulsions, Body Double, Obsession entre autres - et vous obtenez Femme Fatale, film noir survitaminé au style gonflé à bloc. Après un clin d'oeil à Billy Wilder et une longue séquence virtuose reconstituant une projection cannoise - relecture inattendue du cambriolage de Mission : Impossible - Femme Fatale se perd dans une intrigue incroyablement alambiquée, certainement très excitante sur le papier mais relativement indigeste à l'écran. L'ensemble du casting - métissage d'acteurs français et d'américains - n'est guère judicieux, l'interprétation globale s'avèrant bancale et peu crédible. Il y a certes beaucoup d'ambitions ainsi qu'un effort indiscutable sur pas mal de points - narration à tiroirs, esthétique propre au film noir, montage et split-screen intriguants - mais l'ensemble manque d'homogénéité et transpire même la suffisance à certains égards. Brian De Palma fait du Brian De Palma, multipliant les références, dopant gratuitement ses effets, s'offrant même le luxe d'un remake de son propre film dans le dernier quart d'heure. A la fois ultra racoleur et lourdement théorique, Femme Fatale laisse le spectateur désarmé face à cette logorrhée visuelle, avec les yeux qui piquent et le mal à la tête. Ouf !
Rythme lent, façon Mission Impossible, un thriller avec un soupçon de métaphysique. Pas exceptionnel, mais bien construit. Les acteurs sont un peu moyens (à cause de la VF ?). La musique est un peu répétitive. Le rayon surprise comprend la French Touch : Frémont ou Montoute devant la caméra ou un morceau de Saez (sur lequel Rebecca fait une sensuelle lap-dance).
Un médiocre polar tourné en France par le grand Brian De Palma, avec le mannequin Rebecca Rominj-Stamos et le piètre acteur Antonio Banderas en photographe peu convaincant. L’histoire est plutôt bancale et l’on s’ennuie rapidement malgré le savoir-faire technique évident. Dommage que ce film mineur dans la filmographie du cinéaste n’ait pas été mieux exploité et surtout plus original dans son scénario.
Un vol de bijoux audacieux durant le Festival de Cannes, Laure double ses partenaires et part avec le butin. Revenu à Paris, elle est prend la place de son sosie, jeune femme au bord du suicide. Dans lavion quil la même à New York, elle rencontre un diplomate américain. 7 ans plus tard, elle revient à Paris en tant que femme du nouvel ambassadeur des USA. Problème, un paparazzi fauché la prend en photo et voit revenir ses anciens complices et son passé trouble. Apres lincursion purement financière dans le genre de la science fiction avec Mission to Mars, Brian de Palma revient à son genre fétiche, le film noir alambiqué. Cependant avec plus ou moins de succès. Les moins, cest une histoire assez banale et pas très palpitante de casse et de super salope qui embobine tout le monde, avec un creux de 45mn à partir de la fameuse photo volée. Cest aussi laspect transparent de Rebecca Romjin-Stamos qui joue très mannequin. Ce nest pas Cindy Crawford ou Claudia Schiffer, mais la beauté nest pas tout et un film de De Palma, ce nest pas comme une pub lOréal. Comme Antonio Banderas ne se foule pas non plus, on nextasie pas sur le couple dacteurs. Ca devrait donc etre nul, oui mais ce nest pas le cas car le réalisateur de lImpasse installe des ambiances bien noires, et triturent ses scénarios dans tous les sens et le rebondissement réjouira tous ses adeptes et surtout il ne filme comme personne. Le plus bel exemple est cette scène à Belville vu sous deux angles différents, qui est un bijou de maîtrise et de fluidité. Comme les clippeurs tant à la mode à Hollywood, le disciple dHitchkock soffre un exercice de style où la forme prime sur le fond, mais avec le talent en plus. Ce ne sera donc pas son meilleur film, mais on voit quil sest fait plaisir et on se fait plaisir aussi. De toute façon un De Palme moyen faudra toujours mieux quun Micheal Bay génial.
Malgré quelques réussites visuelles évidentes (le vol, la scène de l'accident), j'ai dû mal à trouver un intérêt à ce film à l'esthètique tape à l'oeil et fourre-tout (un peu à l'image du casting très hétéroclite) et dont le scénario confond surprise finale et rebondissement hasardeux et peine à installe l'atmosphère inquiètante qu'il voudrait.
(...) De l'auto-pastiche à l'auto-parodie, la frontière est ténue : De Palma l'aperçoit mais refuse d'y attarder son regard, quand c'est là qu'aurait pu commencer l'ébauche d'un véritable film. Il préfère se complaire dans ses acquis usés et ses arguments périmés ; las, le seul mouvement de Femme fatale est celui du surplace et de la déflagration (..)
que dire de femme fatale apres visionnage?c'est un film soporifique sans interet.Meme si le cinaste maitrise toukjours son facteur sur la seduction et le mystere il le fait avec une vision bien trop academique et supperflu.tout le long du metrage femme fatale ne procure que ennui et desaroi tant le propos et anemique et le montage peu captivant.on espere pourtant neanmoin un virage plus adroit avec une certaine subtilité pendant les 110min de suppilice.Rien le film traine en longueur se perd dans un scenario myserable sans aucune conviction.POurtant le dernier quard 'heure nous laisse tout de meme faire croire a une intrigue plus soigné en relançant le theme de kidnapping .Mais ,apres une vaine motivation de retrouvé enffin notre maitre de la manipulation le film se fracasse sur un happy end laborieu .tres decevant
Brian DE PALMA signe une production portant sur le mythe de la beauté fatale. Le problème, c'est que passé les 30 premières minutes du film, tout tombe à plat et on se désintéresse très rapidement de la suite des événements.
Un bon thriller enigmatique intrigant et palpitant Un scénario, certe classique, qui nous tient en haleine jusqu'au bout malgré certaines longueurs mais riche d'un final surprenant et innatendu. Une réalisation maitrisée et réussie avec de longues scénes érotiques, des ralentis bien placés, des scénes filmées deux fois ou encore des images découpées. Un bon divertissement, a voir où l'on pourra regretter une prestation quelconque de A. Banderas.
Un thriller palpitant. Femme fatale incite au spectateur à se laisser aspirer jusqu’aux entrailles d’un scénario très improbable, si l’on le transpose dans la vie de tous les jours, mais assez réticent pour qu’on puisse l’honorer. Brian De Palma prouve une énième fois qu’il excelle dans le domaine du thriller énigmatique et donne un rôle singulier à Antonio Banderas, ainsi qu`à Rebecca Romijn. Et comme j’adore les films avec un twist final, celui-ci en contient un très bon.