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    Femme Fatale
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    119 critiques spectateurs

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    Gody G.
    Gody G.

    20 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2013
    Ne vous laissez pas séduire par cette belle affiche aux faux airs de James en est rien de tel ! navet longuet, cabotinage, mauvaise réalisation, intrigue insipide. des acteurs francais qui essaient l'anglais ...une musique horrible. bref rien pour séduire. j'ai du arrêter au bout de 45 min. j'ai été indulgent.
    Et un Antonio Banderas qui se fait complètement séduire par ce genre de projet !
    Roub E.
    Roub E.

    939 abonnés 4 977 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juillet 2018
    Un De Palma vraiment mineur qui peine à faire prendre son suspens. Il déroule juste ses quelques tics de mise en scène mais comme le scénario ne prend pas cela passe ici pour du maniérisme. Rebecca Rominjn tient en revanche le film à bout de bras et lui évite d’être franchement mauvais.
    ferdinand75
    ferdinand75

    544 abonnés 3 835 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Un policier de De Palma qui manque un peu d'inspiration. L'intrigue est en plus assez embrouillée, on ne s'y retrouve pas toujours dans cette usurpation d'identité. Le film vaut surtout pour la réunion et confrontation de Banderas , toujours surper en macho latin lover, et la très belle Rebecca Romijn.
    Ricco92
    Ricco92

    217 abonnés 2 147 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 septembre 2016
    Après l’échec critique et commercial de Mission to mars, ajouté aux conflits apparus avec Disney pendant la post-production, Brian De Palma revient vers un scénario écrit par ses soins et plus proche de son univers. Hélas, le résultat est loin d’être convaincant.
    Si le film possède des moments cinématographiques impressionnants spoiler: (essentiellement les deux premières séquences, c’est-à-dire le plan-séquence d’ouverture et la séquence du cambriolage, qui malgré un déroulé scénaristique moyennement crédible, est réalisé de manière particulièrement brillante)
    et une musique de Ryūichi Sakamoto extrêmement réussie spoiler: (son dérivé du Boléro de Ravel apporte énormément à la réussite de la séquence du casse cité ci-dessus)
    , Femme fatale fait partie des œuvres de Brian De Palma sombrant dans le ridicule. En effet, les marques de fabrique de De Palma tel que le split-screen sont loin de convaincre cette fois spoiler: (le summum étant atteint avec la séquence du meurtre de l’amie de Laure où les ralentis confinent au grotesque)
    . De même, le goût du cinéaste pour l’érotisme oscille entre une séquence plutôt réussie mais gratuite spoiler: (le strip-tease)
    et un plan de pur voyeurisme spoiler: (le plongeon de Laure nue)
    .
    Mais c’est surtout le scénario qui plombe véritablement le film. spoiler: Déjà, le fait que la presse people française fasse sa couverture sur la femme d’un ambassadeur américain est peu crédible (qui est capable en France, à l’exception des gens travaillant dans le milieu politique et peut-être de certains journalistes, de citer le nom du moindre ambassadeur se situant sur son territoire ?).
    Les personnages sont peu attachants et peu crédibles (chose renforcée par une interprétation peu convaincante, à l’exception de Rebecca Romijn-Stamos) et on ne croit jamais réellement à l’histoire. spoiler: Le scénario devient particulièrement énervant lorsque De Palma nous ressort le coup du rêve concernant une grande partie de l’histoire : on se dit que le cinéaste-scénariste se moque de nous et utilise ce cliché pour se sortir d’une histoire dont il n’arrive pas à trouver une conclusion convaincante. La lourdeur de ce retournement de situation est en plus renforcée par la présence de l’affiche publicitaire indiquant « Déjà Vue ».

    Enfin, pour les spectateurs privilégiant la version française, il faut noter que le doublage pas très réussi n’aide pas à crédibiliser le tout.
    Capable de réaliser de belles réussites (Phantom of the Paradise, Carrie, Pulsions, Blow out, Scarface, Body double, Les Incorruptibles ou bien Mission : impossible entre autres), Brian De Palma peut offrir parfois des œuvres indignes de son talent et Femme fatale est hélas à classer dans cette catégorie aux côtés d’un film comme L’Esprit de Caïn.
    Claude DL
    Claude DL

    86 abonnés 1 671 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2018
    Sans doute pas le meilleur de Palma, mais j'aime la façon dont le réalisateur nous manipule ainsi que sa façon de filmer irréprochable. Bien sûr, le scénario est particulièrement tordu et il ne faut évidemment pas chercher ici un quelconque réalisme, mais cet exercice de style est plaisant, je dirais même presque jubilatoire. Je ne suis par contre pas fan de l'héroïne féminine qui, hélas comme presque tous les mannequins d'aujourd'hui, a un côté anorexique dérangeant. De ce fait, je trouve que les scènes érotiques tombent un peu à l'eau. Bon divertissement quand même.
    Dawasta
    Dawasta

    64 abonnés 635 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 décembre 2013
    De Palma revoit pour la énième fois ses thèmes récurrents. Un début longuet à la "Mission Impossible" suivit d'une intrigue complètement absurde à la "Body Double"... le film est long et sans surprise. Banderas y est transparent. Si je mets une étoile c'est pour la plastique parfaite de la "mystique" Rebecca Romijn qui lors d'une scène joue les showgirls sur du Saez... (Très mauvais)
    Xavier D
    Xavier D

    59 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2021
    On retrouve la virtuosité de De Palma ainsi pour les intrigues erotica-policière voir fantastique. Sur les charmantes actrices et en particulier Rebecca Romijn, il y a Antonio Banderas qui de source masculin s'insinue dans cette acadabrante histoire qui joue sur le temps et l'espace. Tourné en France, le casting americano-francais est séduisant, ainsi Peter Coyote, Gregg Henry, Édouard Montoute et Ériq Ebouaney se croisent. Un film intriguant, hypnotique et curieux dans le pur du cinéaste. Captivant sans être mémorable.
    konika0
    konika0

    26 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2022
    Flamme fatale

    C’est la deuxième fois que de Palma shoote en France, 6 ans après Mission Impossible. Et ce n’est certainement pas la dernière fois qu’il tourne en Europa, signe que les temps changent. Ce Femme Fatale, je l’avais vu au ciné à sa sortie et il m’avait laissé un goût amer, le signe que les temps changent. Qu’en est-il 20 ans plus tard ?

    C’est l’histoire d’un casse qui se passe mal. Laure, en charge de choper les diamants, doit fuir seule avec le magot. Pour ses complices, c’est une trahison. Elle va devoir se planquer et s’inventer une nouvelle vie pour leur échapper. Ça dure un temps, jusqu’au jour où un paparazzi repenti va diffuser par erreur sa photo en 4x3 dans les rues de Paris.

    Un film écrit par de Palma. Il n’était pas vraiment utile de le préciser tant c’est évident. Et c’est souvent par là que Brian pèche. Comme souvent, c’est la première séquence du film qu’il faut regarder attentivement et savoir apprécier. Ici, c’est sur le boléro de Ravel, en plein festival de Cannes qu’a lieu le casse le plus chaud (au sens hot) de l’histoire, alors que sur l’écran du palais des festivals se joue le Est-Ouest de Wargnier. Tout est ample, jeu sur la perspective, illusions du faux et du vrai. Probablement la meilleure scène du film. La seule diront les mauvaises langues. Il faut reconnaître que passé le tourbillon de cette séquence, ça s’endort un peu. La faute à un scénario quelque peu brouillon fait de redites (les doubles, les troubles d’identités, autant de thèmes vus dans Blow Out, Body Double, Mission Impossible, Obsession …) et surtout à une photo qui n’est clairement pas à la hauteur et qui rappelle les productions Europacorp de l’époque, du tout venant à la française en somme. A l’interprétation, c’est cheap mais ça fonctionne assez bien. Rebecca Romijn campe le rôle de vampe toxique à merveille et Banderas, s’en sort honorablement. Du côté des seconds rôles, c’est moins la fête. Alors que reste-t-il ? Il reste la mise en scène. Et là, c’est festival depalmien ! Tout l’attirail est invoqué : le point de vue subjectif, le split-screen, la double focalisation, emboîtement des plans les uns dans les autres, le jeu du hors-champ, des transitions d’orfèvre. C’est une véritable leçon voire un exercice de style. Un exercice vain et désincarné diront certains et ils auront probablement raison. La faute, encore une fois à un scénario mal ficelé, ce qui a souvent été le talon d’Achille de de Palma.

    De ce projet, on conclura que de Palma n’est alors pas sur la bonne pente. Plus tard, Passion ou Domino confirmeront cette impression. Devenu non bankable, de Palma se tournera de plus en plus vers l’Europe, plus prompte à financer des projets d’auteur (même s’il n’est pas sûr que de Palma lui-même se reconnaisse dans ce terme). Et le Dahlia Noir ne parviendra pas à inverser la tendance. Reste que pour qui aime le travail technique, la mise en scène artisanale dans les règles de l’art et la vision bancale que proposent les obsessions de de Palma, c’est un film à voir, comme tous les autres, en sachant apprécier toutes ces petites choses d’un cinéma qui peine de plus en plus à exister.
    NeoLain
    NeoLain

    4 915 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2013
    De palma perdu (Mission to Mars) et retrouvé ? Fidèle au mouvement de balancier qui résume sa carrière, le cinéaste renoue avec le polar maniaque, terreau de ses récurrences obsédantes (le double, la manipulation sentimentale...) et terrain privilégié pour ses gambades visuelles. De Palma a toujours sublimé et chargé ses actrices, et cette fois, c'est avec Rebecca Romijn-Stamos une aura qui s'élève au delà du balconnet. Scénario prenant. Le pouvoir d'immersion sensorielle, viscérale, propre aux meilleurs De Palma, laisse ainsi place à une kyrielle de tours de force techniques, dont l'apothéose savoureuse et grandiloquente. Le jeu de dupes se résume ainsi à une séduisante mécanique dont les mordus dégusteront les rouages tout en pleurant le manque de révolution.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 décembre 2011
    Avec ce thriller sulfureux à tiroirs,Brian De Palma retournait à ses éternelles obsessions hitchcokiennes."Femme Fatale"(2002)est autant un fantasme de cinéphile qu'une frustration considérable pour le tout venant.La longue intro dans les coulisses du festival de Cannes au son du Boléro rappelle à quel point De Palma n'a pas d'égal lorsqu'il s'agit de virtuosité technique et de manipulation du cadre.Il inclut ensuite ses sempiternels thèmes du double,de la trahison,du voyeurisme au coeur d'une intrigue alambiquée,mais diablement maligne lorsqu'on en démêle les fils.Ce manque de rigueur narrative a de quoi gêner,surtout avec un tel vide dans le fond.C'est clairement un exercice de style,avec splits-screens,flash-backs,substitution de femmes.C'est sur ce terrain là que De Palma épate la galerie,même s'il tombe dans la redite avec ses beaucoup plus achevés "Pulsions" ou "Body Double".Rebecca Romijn possède tous les atouts du fantasme de la femme fatale à la sexualité débridée(voir le strip-tease torride dans le night-club)et au machiavélisme élaboré.Antonio Banderas se ridiculise quelque peu.On voit des quartiers de Paris rarement montrés.De l'art cinéphilique sans aucun doute,mais inachevé.
    stebbins
    stebbins

    497 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2011
    Le film le plus improbable et le plus incompréhensible de Brian De Palma ! Imaginez la rencontre d'Alfred Hitchcock avec Luc Besson doublée d'un concentré des oeuvres maniéristes du réalisateur - Pulsions, Body Double, Obsession entre autres - et vous obtenez Femme Fatale, film noir survitaminé au style gonflé à bloc. Après un clin d'oeil à Billy Wilder et une longue séquence virtuose reconstituant une projection cannoise - relecture inattendue du cambriolage de Mission : Impossible - Femme Fatale se perd dans une intrigue incroyablement alambiquée, certainement très excitante sur le papier mais relativement indigeste à l'écran. L'ensemble du casting - métissage d'acteurs français et d'américains - n'est guère judicieux, l'interprétation globale s'avèrant bancale et peu crédible. Il y a certes beaucoup d'ambitions ainsi qu'un effort indiscutable sur pas mal de points - narration à tiroirs, esthétique propre au film noir, montage et split-screen intriguants - mais l'ensemble manque d'homogénéité et transpire même la suffisance à certains égards. Brian De Palma fait du Brian De Palma, multipliant les références, dopant gratuitement ses effets, s'offrant même le luxe d'un remake de son propre film dans le dernier quart d'heure. A la fois ultra racoleur et lourdement théorique, Femme Fatale laisse le spectateur désarmé face à cette logorrhée visuelle, avec les yeux qui piquent et le mal à la tête. Ouf !
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2013
    Rassemblant une nouvelle fois son thème fétiche à savoir le suspense, DePalma le mélange avec l'étrange, plus spécialement en brouillant le réel et l'iréel, ou plutôt de l'avenir et du passé. C'est qui est assez déroutant lorsque le film continue après la séquence du Festival : les identités de Rebecca embrouillent le spectateur, l'enjeu n'est pas très clair, les antagonistes sont mis à l'écart, toutefois le talent de DePalma ne s'amenuise pas, s'il n'est moins impressionnant que d'habitude ; reste que le twist final tient la route, mais la phrase "J'ai l'impression de vous avoir déjà vue quelque part" est un cliché trop énorme. Le film peut être un renouvellement du genre thriller chez le cinéaste, auquel il mêle le suspense au déréglement du temps, est-ce un nouvel exercice de style après le décevant Mission to Mars ? Cela dit cet exercice est plus ou moins réussi selon les détails, mais fort intéressant et une entrée réussie de DePalma en Europe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 août 2011
    Le film rassemble tout les bons et mauvais cotés du cinéma de De Palma, bref de très belles images et une histoire mal foutue.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2008
    Femme fatale est un superbe exercice de style, une référence absolue à Hitchcock mais un film de toute façon superbe. La longue scène d'hold up lors de la projection à Cannes (une mise en abyme fort réussie) est l'une des plus belles choses qu'il m'ait été permise de voir au cinéma. Une image sublime, une utilisation culottée du boléro de Ravel, un sens du montage magnifique et l'interprétation érotique des deux superbes actrices font qu'on ne peut oublier ce film rien qu'avec cette scène. Tout le long de Femme fatale, Rebecca R Stamos tient à bout de bras le film. Elle est bonne et ambigüe. Brian De Palma montre une nouvelle fois son attirance envers Hictchcok tel Psychose (fondu enchaîné lors de la scène avec l'avion), Sueurs froides (pour le dédoublement), les oiseaux (Rebecca est un mixte entre Tippri Heddren et Grace kelly) et La main au collet (le hold up). La chambre bleue renvoie involontairement à Mulholand drive. Ce n'est pas fréquent qu'un film américain dont l'action est sise à Paris ne flirte avec le ridicule du cliché de carte postale. Les deux conclusions différentes sont filmées avec un brio non terni par un ralenti souvent mal employé. Si le film est très bon, il est quand même parfois un peu long, abscon et la prestation d'Antonio Banderas laisse à désirer.
    thalidae77
    thalidae77

    42 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2012
    Pas vraiment convaincu par ce film de De Palma qui nous avait habitué à un peu mieux (Carrie au bal de l'horreur ou encore Mission to Mars). Ici, l'histoire commence pourtant bien avec un vol en plein festival de Cannes mais la suite devient longue et un peu alambiquée. Substitution de personnages, manipulation, flash-backs, le tout se mélange et en fait un banal thriller. Même les acteurs peine à convaincre et pourtant, il ne s'agit pas de débutants: Antonio Banderas (Le masque de Zorro, Le Tombeau) et Rebecca Romijn (X-Men). Quant à la fin, on repart finalement du début sans trop savoir pourquoi le réalisateur a voulu en venir là. Bref, franchement moyen et trop long pour un scénario de cette envergure.
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