Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La splendide Rebecca Romijn-Stamos assume le cliché sans faiblir pendant deux heures. (...) Et la panoplie du film noir est au service d'un divertissement étourdissant.
(...) on préfère vraiment vous en réserver la surprise. Car un film de De Palma, même le plus cérébral et le plus tordu, reste avant tout un objet de jouissance pour le spectateur... ou du moins le cinéphile.
De Palma caricature en Laura le fantasme hétéro de base et s'adonne sans retenue à l'imaginaire craignos de la publicité sexuelle. Mais il parvient habilement à déplacer la provocation, en la situant au coeur du cliché et non à son encontre, et tous les moyens lui sont bons pour tordre le cou à l'érotisme bienséant. En revanche, les fastidieuses spéculations du récit gêne l'émergence du personnage de Laura, qui reste sans intériorité, d'un machiavélisme très convenu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Femme Fatale reste un film attachant. Parce qu'il est l'expression d'un cinéaste intègre, honnête et cohérent, arrivé au bout de lui-même, au bout de son oeuvre. A bout de souffle, serait-on tenté de dire...
Cette légèreté confine parfois au vide. Le mauvais sort fait aux acteurs, privés de vrais personnages, la frustration que provoque l'absence de vraie tension dramatique empêchent Femme fatale d'être autre chose qu'une pause rafraîchissante sur le chemin d'un réalisateur qui retombera un jour ou l'autre vers le côté obscur du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Femme fatale, opus outré, régulièrement ridicule, crevé en plein coeur par une séquence de lascivité à faire pâlir d'envie José Pinheiro du temps de Mon bel amour, ma déchirure, mais aussi, comme d'habitude, virtuose (le long introït à Cannes, le final déphasé) et sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Lorsque le film ne fonctionne plus que par sa technique sans failles, le sentiment de se faire manipuler, que De Palma a souvent élevé en un vertige angoissant, se transforme en une vague impression (et déception) : celle de s'être fait " embrouiller " par un pro. " Sacré De Palma ", se dit-on. Allez, sacré film quand même.
(...) en laissant libre cours à ses plus extrêmes obsessions, De Palma parvient surtout à étaler son mauvais goût (...). De Palma a beau filmer comme personne, il fantasme un peu trop comme tout le monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Derrière le cynisme de la façade, il y a quelque chose de déchirant. De mortuaire. Quelque chose comme le chant du cygne d'un homme qui aurait fait le tour de son art et qui, bien que revenu de ses illusions, ne pourrait s'empêcher de tourner. En rond.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Tout Brian De Palma en kit. Le fond comme la forme. Des autocitations à n'en plus finir, et un laissez-aller incroyable derrière le brio de façade. Ressorts de l'intrigue mal vissés (on se pince plusieurs fois devant les invraisemblances), personnages totalement creux (la femme fatale, échappée d'une pub pour collants, est surtout fatale au film tant elle est insipide - mais Antonio Banderas n'est pas plus crédible), astuces éventées...
(...) Brian De Palma déçoit énormément. Avec ce thriller, au scénario d'une rare faiblesse, le réalisateur américain ne parvient jamais à nous intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Malgré des plans-séquences virtuoses, l'abus de péripéties invraisemblables est fatal à Brian De Palma. (...) Laura (Rebecca Romijn-Stamos) embobine Nicolas le paparazzi (Antonio Banderas), mais aussi Brian De Palma : son omniprésence finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
La splendide Rebecca Romijn-Stamos assume le cliché sans faiblir pendant deux heures. (...) Et la panoplie du film noir est au service d'un divertissement étourdissant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) on préfère vraiment vous en réserver la surprise. Car un film de De Palma, même le plus cérébral et le plus tordu, reste avant tout un objet de jouissance pour le spectateur... ou du moins le cinéphile.
Obejctif-Cinema.com
Postulat : si Femme fatale reprise le tissu d'un pan du maniérisme actuel, Femme fatale s'entretient d'abord avec le cinéma de Brian De Palma.
Chronic'art.com
De Palma caricature en Laura le fantasme hétéro de base et s'adonne sans retenue à l'imaginaire craignos de la publicité sexuelle. Mais il parvient habilement à déplacer la provocation, en la situant au coeur du cliché et non à son encontre, et tous les moyens lui sont bons pour tordre le cou à l'érotisme bienséant. En revanche, les fastidieuses spéculations du récit gêne l'émergence du personnage de Laura, qui reste sans intériorité, d'un machiavélisme très convenu.
Cine Libre
(...) Femme Fatale reste un film attachant. Parce qu'il est l'expression d'un cinéaste intègre, honnête et cohérent, arrivé au bout de lui-même, au bout de son oeuvre. A bout de souffle, serait-on tenté de dire...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Cette légèreté confine parfois au vide. Le mauvais sort fait aux acteurs, privés de vrais personnages, la frustration que provoque l'absence de vraie tension dramatique empêchent Femme fatale d'être autre chose qu'une pause rafraîchissante sur le chemin d'un réalisateur qui retombera un jour ou l'autre vers le côté obscur du cinéma.
Libération
Femme fatale, opus outré, régulièrement ridicule, crevé en plein coeur par une séquence de lascivité à faire pâlir d'envie José Pinheiro du temps de Mon bel amour, ma déchirure, mais aussi, comme d'habitude, virtuose (le long introït à Cannes, le final déphasé) et sophistiqué.
MCinéma.com
Lorsque le film ne fonctionne plus que par sa technique sans failles, le sentiment de se faire manipuler, que De Palma a souvent élevé en un vertige angoissant, se transforme en une vague impression (et déception) : celle de s'être fait " embrouiller " par un pro. " Sacré De Palma ", se dit-on. Allez, sacré film quand même.
Première
(...) en laissant libre cours à ses plus extrêmes obsessions, De Palma parvient surtout à étaler son mauvais goût (...). De Palma a beau filmer comme personne, il fantasme un peu trop comme tout le monde.
TéléCinéObs
Derrière le cynisme de la façade, il y a quelque chose de déchirant. De mortuaire. Quelque chose comme le chant du cygne d'un homme qui aurait fait le tour de son art et qui, bien que revenu de ses illusions, ne pourrait s'empêcher de tourner. En rond.
Zurban
Un thriller qui laisse pantois, pris entre la réalisation parfois audacieuse de Brian de Palma, et un scénario et des acteurs moyens.
Aden
Tout Brian De Palma en kit. Le fond comme la forme. Des autocitations à n'en plus finir, et un laissez-aller incroyable derrière le brio de façade. Ressorts de l'intrigue mal vissés (on se pince plusieurs fois devant les invraisemblances), personnages totalement creux (la femme fatale, échappée d'une pub pour collants, est surtout fatale au film tant elle est insipide - mais Antonio Banderas n'est pas plus crédible), astuces éventées...
Le Parisien
(...) Brian De Palma déçoit énormément. Avec ce thriller, au scénario d'une rare faiblesse, le réalisateur américain ne parvient jamais à nous intéresser.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Malgré des plans-séquences virtuoses, l'abus de péripéties invraisemblables est fatal à Brian De Palma. (...) Laura (Rebecca Romijn-Stamos) embobine Nicolas le paparazzi (Antonio Banderas), mais aussi Brian De Palma : son omniprésence finit par lasser.