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klap2fin
16 abonnés
376 critiques
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3,0
Publiée le 23 juillet 2012
Attention ce film est livré sans son mode d’emploi et fait clairement partie des films qui ne laissent pas le spectateur indifférent. Il y a de la théorie du chaos dans l’air, de la prémonition, le tout fortement teinté par la pathologie étrange qui frappe le personnage principal et qu’on identifie mal, visions, schizophrénie, folie ? Le film nous entraine doucement dans cette intrigue et de spectateur passif, on devient assez rapidement très intrigué et les cinq dernières minutes ont tendance à vous faire remettre en cause tout ce que vous aviez cru comprendre du film. Sans affirmer que j’ai été emballé par l’histoire plutôt énigmatique, le film est néanmoins très accrocheur. Ceci dit, je ne me laisserai pas non plus aller à qualifier ce film de culte ou d’incontournable comme certains se sont empressés de le faire, sous prétexte qu’il est d’un abord abscons et qu’il est possible de lui appliquer plusieurs grilles de lecture tout aussi vaseuses les unes que les autres. Il restera pour moi un bon film sans plus sans comprendre cette note moyenne très élevée qu'il ne mérite pas selon moi.
‘Donnie Darko’ est un film quasi parfait dans son scénario. Une intrigue quasi insoluble qui alimente nombre d’interprétations et de mystères très longtemps après sa sortie en salles. S’agit-il de voyages spatio-temporels au cours desquels deux mondes parallèles subissent un paradoxe causé par la chute d’un réacteur d’avion, et que Donnie va devoir effacer ? Richard Kelly, comme David Lynch dans ‘Mulholland Drive’, ‘Lost Highway’ ou ‘Inland Empire’ semble s’amuser à disperser des indices et des fausses pistes dans un ordre qui n’est pas forcément chronologique, afin d’égarer son spectateur, mais avec un talent qui force l’admiration. Car oui, l’ensemble reste assez fluide, alors que l’on reproche souvent à Lynch une trop grande confusion dans l’enchaînement des scènes. Les thèmes par ailleurs – entre sujets de société, questions existentielles, peinture d’une jeunesse en proie au mal-être – sont souvent suggérés mais remarquablement exploités. Il aurait suffi que la mise en scène et la photographie soient plus soignées pour faire de ce film un chef-d’œuvre. Dommage que Kelly n’ait pas la constance talentueuse d’un Lynch, qui voit vraiment le cinéma autrement.
Le cinéma comme j'aime avec une intrigue passionnante, des ou plutôt là un acteur qui crève l'écran (pas besoin de citer son nom ), et un personnage attachant auquel je me suis attaché : Donnie Darko. Que dire de la musique, elle est sublime et accompagne magnifiquement les scènes. Le récit oscille entre la réalité et le cauchemar, et entre la raison et la folie ; il y a plusieurs interprétations possibles, c'est pour cela que ce thriller fantastique est si fascinant. Un pur bijou du 7è art, à chaque vision il peut nous surprendre et nous emmener dans des directions opposées. Un labyrinthe scénaristique qui peut laisser perplexe. Sans doute le plus beau rôle de Jake Gyllenhaal.
Long-métrage ambitieux, "Donnie Darko" marque surtout le spectateur par sa complexité. En effet, le scénario est assez difficile de compréhension et mêlé à une réalisation tantôt bonne tantôt mauvaise, le film en devient ennuyeux et perd de sa crédibilité. Néanmoins, les acteurs sont convainquants surtout Jake Gyllenhaal et sa soeur. Enfin, le final ferme le film en apothéose et remonte littéralement la note du public et il aide dans la compréhension. Ainsi, on a donc affaire à une oeuvre doté de bonnes idées mais qui n'est pas vraiment captivante malgré un dénouement très réussi.
Film intelligent et totalement métrisé. Il fait parti du groupe de film "qu'on aime ou pas en fonction de la fin" à la façon d'un "Les Autres" ou "Audition". Donc, on rentre facilement dans ce récit intelligent et bien mis en scène. Il a une atmsophère bien à lui: un peu oppressante (dû par la sensation de fin du monde), relaxante (certains moments nous rappellent les films américains pour ados) ou encore assez sombre ou tragique (la fin...). Avec un jeune Jake Gylenhall pas parfait (il réagit tout le temps de la même façon: que ça soit sa soeur qui est acceptée à Harvard ou sa copine qui a sa mère qui a disparue...), on peut lui pardonner ces quelques maladresses. Les parties musicales sont bien voir excellentes et les réflexions sur divers thèmes scientifiques (beaucoup de peine à suivre ;) ) sont intéressantes et presque réel.
Bon, les Gyllenhaal nickel. Mais alors le film lui-même..un OVNI. La première heure, c'est ultra mou. J'essayais de m'accrocher car j'ai déjà vu des films très lents à démarrer finissant en apothéose. Sauf qu'ici l'apothéose n'est jamais apparue ! Il ne se passe rien.. La fin est étrange apportant seulement 2 solutions : - Le personnage est réellement schizo - C'est un vrai film fantastique Je penche davantage pour la première solution tellement le côté fantastique du film serait pourri : les trajectoires transparentes en "image de synthèse" et le lapin-flippant.
Bref, je ne le conseille à personne sauf si vous voulez passer le temps car vous avez vu tous les autres films qui existent.
Jake Gyllenhaal est parfait dans ce rôle d'adolescent schizophrène, et le film est plein de surprises. Un des films les moins compliqués de Richard Kelly, et pourtant...
Donnie Darko est un film exceptionnel, unique, qu'il est pour moi impossible de comprendre en ne le voyant qu'une seule fois. J'ai du le regarder 2 ou 3 fois avant d'avoir tout saisi, et le résultat est... Wahou. Suprenant. Bouleversant. Déroutant. Jamais un film ne m'avait fait cet effet, je suis restée sans voix, ce film fait vraiment réfléchir sur la vie et son sens. Ce film est mon préféré, je ne me lasserais jamais de le regarder, et j'espère que les personnes qui ne l'ont pas encore vu se dépêcheront de le voir, il vaut le détour. (Mad World colle parfaitement au film !)
Donnie Darko fait partie de ces films quelque peu étranges, avec une atmosphère à la fois bizarre et mystérieuse. Il s'en dégage quelque chose de spécial, pas désagréable, lié à ce scénario original. Il ne plaira pas à tout le monde, et je suis d'ailleurs étonné que la note ne soit pas plus basse. Tant mieux.
Le personnage imaginé par Richard Kelly, Donnie Darko, est un adolescent qui a la capacité de visualiser son intentionnalité. Il est conscient de sa préconscience et peut donc anticiper ses mouvements et ses choix. Ce faisant, l’auteur a imaginé que l’adolescent pouvait par conséquent anticiper les événements, mouvements, la présence ou l’absence de ceux qui l’entourent à l’instant T 1 mais aussi, comme nous le découvrons au dénouement du film, vingt-huit jours à l’avance. Cette conception de l’intentionnalité pose la question du nombre de « futurs » possibles, question que le héros du film se pose. S’il peut voir l’avenir et qu’il n’y a qu’un seul avenir possible, ce qui sous-tend chez Donnie la vision d’un grand ordonnateur du monde, alors il pourra agir sur l’avenir.spoiler:
Ce film sans entrer trop dans la psychologie nous fais y entrer quand même, a vraie dire ce film je l'ai vue que grâce à ses bonnes critiques et la note général est correcte pour ce film.
Un film très spécial dont le scénario est décalé. Que doit-on en garder ? Quel est le principal thème abordé ? Le destin et la fatalité, la complexité des périodes de l'enfance et de l'adolescence, la métaphysique...Le moins que je puisse dire, c'est que ce film est troublant et inhabituel puisqu'on ne sait pas à quoi se raccrocher pour en faire une histoire simple à comprendre. Bien néanmoins du fait de l'intrigue qu'il suscite. Ce film, même après l'avoir vu plusieurs fois, reste pour moi un mystère. Le rythme est assez lent alors à voir en possession de tous ses moyens :p
Excellent film d'une complexité étrange. L'ambiance, l'histoire, les personnages, la photographie, tout y est fascinant. Un scénario irréprochable porté par de remarquables acteurs. C'est indéniablement un des mes films favoris.