Mon compte
    Donnie Darko
    Note moyenne
    4,0
    22618 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Donnie Darko ?

    926 critiques spectateurs

    5
    391 critiques
    4
    289 critiques
    3
    102 critiques
    2
    69 critiques
    1
    44 critiques
    0
    31 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    mahtan-ancalimon
    mahtan-ancalimon

    36 abonnés 651 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2010
    Film compliqué au premier abord, mais intelligent et percutant, l'acteur principal est très bon.
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2019
    Second visionnage après un premier plutôt concluant malgré quelques réserves, confirmées par cette redécouverte années plus tard. Et oui, j'étais curieux de savoir ce qu'allait donner ce « Donnie Darko » avec un regard plus adulte, qui plus est allongé d'une vingtaine de minutes avec ce montage « Director's Cut » faisant l'événement. Malheureusement, l'expérience n'a pas été totalement concluante. C'est parfois un peu le souci de ces films ayant différents degrés de lecture : on ne se concentre plus que sur ça, et mon intérêt s'en est fortement ressenti. Si ce n'est les premières minutes, intrigantes, j'ai décroché à plusieurs reprises, le propos souvent fumeux et le récit filandreux m'amenant à une grande perplexité. Où Richard Kelly a t-il souhaité en venir ? Malgré un potentiel évident, le mystère du lapin géant n'a donc pas été spécialement source de réjouissance pour moi, même s'il a le grand mérite de se montrer assez étonnant dans son déroulement et sa « signification ». Le réalisateur ne fait pas comme les autres, et cela a quand même quelques avantages, cette histoire réservant quelques moments assez forts, notamment lorsqu'il s'agit de décrire une société américaine malade, en proie à ses démons. Regard complexe, notamment sur la famille, et une description très singulière, très séduisante du lycée spoiler: (cette présentation sur « Head Over Heels » de Tears for Fears : magnifique)
    , incarnée notamment par une Drew Barrymore rarement aussi bonne en professeur de littérature américaine aux méthodes originales. Enfin, le rendu visuel est une merveille, sublimant certaines scènes nous restant clairement en mémoire. Reste cette fin : j'avoue que sur le coup, ça m'a limite gonflé. Je ne voyais aucune interprétation à en faire, ni même quoi que ce soit à comprendre : juste un rebondissement habile mais presque contre-productif, remettant inutilement en cause ce qui avait été fait précédemment. Et puis, la nuit aidant, j'ai fini par trouver quelque hypothèses, sans doute parmi les plus banales et les plus répandues dans la sphère « darkienne », mais ayant au moins le mérite d'exister, de m'interroger sur la signification de ce voyage dans le temps, optant a priori pour la solution la plus romantique (on ne se refait pas). Du bon et du beaucoup plus bancal, donc, pour une œuvre tellement à part qu'elle mérite clairement d'être vu, sans y trouver pour autant les bienfaits et l'excitation défendus par sa (large) communauté.
    Akamaru
    Akamaru

    3 092 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2013
    Il y a beaucoup à dire sur "Donnie Darko",1er film de Richard Kelly,instantanément entré au panthéon des oeuvres indéchiffrables et inclassables.Il suffit de consulter les forums pour s'aperçevoir de la multitude d'interprétations possibles.Sommes-nous dans le futur?Un espace-temps parallèle?Dans un rêve?Difficile à dire sachant que les nombreux indices sont souvent de fausses-pistes,mais j'ai mon idée....Kelly établit à la fois un pamphlet sur la province proprette américaine,et un impeccable kaléidoscope du fantastique."Donnie Darko"réussit à instaurer une ambiance bizarre,entre imaginaire et réalité,entre absurdité et cohérence.Assez indescriptible en vérité.Il a permis de révéler au grand jour un Jake Gyllenhall en paranoïaque schizophrène,aux réactions un peu effrayantes.Et donne un bon coup de pied dans la fourmilière,entre charlatan pédophile,maîtresse catho et directeur dépassé par les évènements.Donnie,aiguillé par un lapin imaginaire accomplit une sorte de mission,qui l'amène à une fin logique,et sujette à discussions.Le film ne craint pas les ruptures de ton,et s'autorise pas mal de délires abstraits.Cette liberté de pensée est sa plus grande réussite,en dépit d'une complexité parfois maladroite et artificielle.N'êtes-vous pas d'accord?
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 110 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2009
    Richard Kelly signe avec Donnie Darko l'un des thrillers fantastiques les plus brillants que le cinéma de genre est eu la chance de voir naître.
    Un chef-d'oeuvre qui reste gravé dans nos mémoires.
    Juliano
    Juliano

    15 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 décembre 2018
    Donnie, adolescent perturbé, donne libre cours à ses bizarreries et suit son destin. Quand le temps presse, il faut avoir la bonne réaction.
    Kiwi98
    Kiwi98

    261 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2015
    L'adolescence ...l'âge ingrat, l'âge des plaisirs, ou l'individu se cherche dans le monde qui l'entoure, développant les défauts et qualités qui le définiront à l'âge adulte. Un âge ou l'individu se cherche, confronté au désire sexuel, le désire de réussite, d'être reconnu à sa juste valeur. Il se créé un but, une raison d'être, qui lui fera ressentir joie et déception dans lesquelles il apprendra à se connaitre. Un âge naïf que Hollywood à parfaitement saisi, créant des films à succès qui vont jusqu'à chercher à toucher les adolescents, parmi lesquels le genre du teenage movie, un des genres plus codifié allant de l'horreur à la comédie, mais certain on réussi à y insuffler une pâte artistique comme Sofia Coppola et son "Virgin Suicides" ou "The Spectacular Now" récemment.

    Metteur en scène de deux cours métrages Richard Kelly n'a que 25 ans quand on lui propose de réaliser son premier film, c'est un parfait inconnu qui pourtant est en train de créer une oeuvre générationnelle, un film qui mettra le monde à ses pieds. Pourtant à sa sortie "Donnie Darko" n'attire pas grand monde et ne se rembourse même pas auprès du public alors que son budget ne s'élevait pas au plafond (4 millions de dollars). Mais "Donnie Darko" devait être un film culte.

    Imaginez que vous avez le choix, que vous pouvez changer la destinée de vos proches et du monde auquel vous êtes relié en modifiant un événement et ses conséquences pour le monde qui vous entoure. Donnie Darko -le héros du film- va avoir ce choix dans 28 jours, 6 heures, 42 minutes et 12 secondes, il va devoir résoudre une anomalie temporelle en modifiant une situation qui s'est déjà passée, qui est ici le crash d'un réacteur ce qui aura pour conséquence d'avoir des répercutions sur le présent.

    Un scénario autant complexe qu'il n'est inventif, mais qui est ici que la partie émergée d'un iceberg d'une complexité incroyable, une exploration d'une réalité parallèle pleine d'éléments de narration, celle d'une présence divine dont on ne saura jamais rien et dont Donnie n'est que le bras armé choisit pour réparer le continuum espace temps.

    Kelly parvient à saisir toute cette complexité dans une esthétique très grand public, sans aucune perte de rythme "Donnie Darko" est un film jouissif qui instaure une atmosphère incomparable, celle de la fin des temps, jouant ainsi sur les sens. Le film qui pourtant se passe dans une banlieue inondée de clichés, mère dépressive, professeur anti-conformiste ou pom-pom girl. Mais finalement que voit on à l'écran ? Le reflet d'un personnage tourmenté ? Ou un piège sur les hallucinations humaines ? Paradoxalement limpide comme un lac d'eau douce, un lac ou l'adolescence gâchée est métaphore de la fin du monde et ou ce récit schizophrénique laisse songeur. À la manière d'un David Lynch, Kelly déconstruit la narration et lui offre plusieurs interprétations indéchiffrables. L'intelligence de la mise en scène quant à elle surprend, alternant les genres avec brio, clarté et sensibilité inoubliable. Sublimée par une musique d'ambiance somptueuse.

    Magnifique allégorie sur l'adolescence, "Donnie Darko" n'en reste qu'une claque totale à tous les niveaux, un spleen ou la mélancolie gagne une force inouïe, un jeu d'ombre labyrinthique ou le lapin de "Alice au pays des Merveilles" se prend une sacrée colle.

    Brillant. Juste brillant.
    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2015
    Le premier film de Richard Kelly est devenu avec le temps un film culte. C'est tout à fait compréhensible, car le film commence sur Donnie qui se réveille en plein milieu de la route. La suite du film est caché d'indices mystérieux, comme le voyage dans le temps, la vieille dame qui écrit un livre scientifique comparable à ce que peut voir Donnie. Même si j'ai pas compris toute la fin, j'ai beaucoup apprécié le film.
    Critiques d un passionné
    Critiques d un passionné

    78 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    Si je devais faire un classement de mes 20 films préférés, ça serait un vrai casse-tête, mais Donnie Darko en ferait clairement parti.
    Mais force est de constater que le film est finalement peu connu, même si après une sortie ciné très discrète il s’est au fil des années forgé une réputation de film culte.
    Et comme souvent avec les films cultes, soit on va adorer soit on va détester (Blade runner, Mulholland drive, Fight Club…).
    Car ce qui est sûr, c’est que le réalisateur ne prend pas son public par la main ou n’offre pas un monologue explicatif débile au spectateur qui aurait oublié son cerveau.
    On a affaire ici à un film puzzle complexe. Plus l’histoire avance, plus le spectateur va se retrouver face à des faits étranges qui vont s’enchainer, sans savoir où le film va l’emmener, jusqu’à un final bluffant.
    Et une des grandes forces du film est que, même si plein de scènes aident à recoller les morceaux, au final le spectateur est laissé à son propre jugement pour créer SA propre théorie, ce qui a surement aidé Donnie Darko à gagner son rang de film culte.
    Car le film peut perdre un spectateur trop rationnel qui chercherait à tout comprendre.
    En fait, c’est un peu un test de Rorschach ce film, chacun peut y voir ce qu’il souhaite.
    D’ailleurs, je vous déconseille de regarder la version director’s cut, qui essaie d’apporter un peu plus d’explications, ce qui, à mon goût, gâche un peu le plaisir. C’est un peu comme quand on nous explique un tour de magie, il perd son intérêt. Parce que, c’est ça, Donnie Darko est un vrai tour de magie cinématographique.
    Tout cela aidé par un des thèmes majeur du film, La folie, apportant un côté décalé à cette oeuvre.
    Ce film m’a d’ailleurs permis découvrir Jake Gyllenhaal qui depuis est devenu un de mes acteurs préférés. Ce mec est un génie, il est capable de tout jouer avec à chaque fois la même justesse.
    Un dernier détail, je ne suis pas un grand défenseur de la VOST (je ne vais pas me lancer dans ce débat, car ça serait un peu long…), mais là, la VF est affligeante. On est pas loin de la pub Kinder et ça peut très vite vous faire passer à côté du film.
    Bref, si vous n’avez jamais vu, je vous conseille de tenter cette expérience et au pire découvrez la BO avec sa version de « Mad World » de Gary Jules, qui est à l’image du film : GRANDIOSE

    https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
    Arkhos
    Arkhos

    43 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Même pour la BO sympa, je n'accorderai aucune étoile à ce film que tant de monde a plébiscité.
    Peut être ne suis je pas si futé que je le pensais mais franchement c'est incompréhensible. Le réalisateur se perd dans son intrigue rocambolesque dirigé par un lapin crétin qui ne fait même pas peur, il se prend les pieds dans un scénario n'ayant ni queue ni tête. Ca pouvait partir d'un bon sentiment mais il faut dire les choses comme elles sont, Ce film est un ratage total!
    Et en plus ça traîne affreusement en longueur.
    L'ECRAN FOU
    L'ECRAN FOU

    98 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2009
    un des films les plus strange que j'ai pu voir,DONNIE DARKO nous fait voyager dans l'univers de Donnie,un ado perturbé,en proie à un somnambulisme fort,qui va se retrouver dans une situation complexe liée à un ami imaginaire de ce dernier.au début,on croit à un film teenager,l'ambiance lycée,les jeunes...et bien ça cache bien des choses,et le ton change rapidement.un scénario efficace mettant en place diverses théories (telle que le voyage dans le temps,le controle subconscient,l'effet papillon,le destin...)et expose le tout au spectateur qui doit se torturer à trouver la véritable explication.il serait pourtant facile de dire "j'ai rien compris,j'vais pas me prendre la tête!!!",mais on ne zappe pas ce film ainsi.on veut savoir.car c'est complexe.et multiples peuvent etre les interprétations.
    un casting plutot sympa.avec Jake Gyllenhale qui joue incroyablement bien,surtout dans ses dérapages (explication avec Patrick Swayze)ses maladresses (en amour)et ses moments de folies inconscientes.les mises en scènes sont très bien faites malgré un manque de qualité des FX,probablement dû au budget léger du film.mais ça ne gêne en rien.
    la bande son,ben entre Michael Andrews,Tears for Fears,et INXS,c'est que du bon.
    un film qui aura inspiré bien d'autre depuis,tels que L'EFFET PAPILLON.
    un film culte,dans un style totalement inédit.énorme
    PS:au cas où quelqu'un aurait une explication générale du film,j'achète.on n'est jamais sûr de rien.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    984 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2013
    Pour son premier long-métrage, Richard Kelly décide de prendre le taureau par les cornes et de réaliser un film dramatique teinté de fantastique osé et ambigu, quitte à être boudé du grand public. Le réalisateur-scénariste américain nous livre un film indépendant d'une rare maîtrise, mettant en scène un scénario aussi brillant qu'extrêmement complexe et qui mérite plusieurs visionnages pour n'en saisir tout du moins que l'infime sommet de l'iceberg. Car Donnie Darko est une œuvre singulière, déroutante mais aussi particulièrement hypnotisante... Donnie Darko, c'est un adolescent de seize ans perturbé, évasif, se posant de multiples questions existentielles tout en adoptant une attitude un brin désinvolte mais surtout effrayante aux yeux des gens. Somnambule, il se réveille un matin sur un terrain de golf, ce qui lui sauve la vie lorsque pendant la nuit le réacteur d'un avion mystérieusement tombé du ciel s'est écrasé pile sur sa chambre. À partir de là, Donnie va avoir des visions : Frank, un homme déguisé en lapin monstrueux, va lui prédire la fin du monde et l'obliger à accomplir quelques tâches illégales. De plus, l'adolescent va se mettre en tête qu'un voyage dans le temps est possible et va déconcerter tout son entourage de par son obnubilation. Tout va ainsi se lier dans un amas d'évènements étranges et tragiques et d'hallucinations où le destin de tous est entre les mains de Donnie... Avec une telle histoire, difficile de ne pas être intéressé. Mais là où les choses vont se compliquer, c'est dans la manière qu'a Richard Kelly de nous présenter non pas son dénouement mais bel et bien les évènements qui vont y parvenir, chamboulant nos esprit par des dialogues complexes, de petits détails auxquels il faut faire très attention, des plans anodins qui sont en réalité importants. Le réalisateur nous entraîne bel et bien dans un univers incroyablement dur à cerner où les théories fusent mais où tout devient finalement peu à peu logique pour peu que l'on s'y intéresse et que l'on use de notre matière grise. Autour d'une mise en scène soignée alliant plans simples, séquences quasi-oniriques et légers effets spéciaux ainsi qu'une interprétation extraordinaire (dont principalement la révélation Jake Gyllenhaal dans le rôle-titre), Donnie Darko marque un grand coup dans le domaine du cinéma fantastique, devenant instantanément un chef-d’œuvre du genre doublé d'une aura culte intemporelle.
    Santu2b
    Santu2b

    249 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 novembre 2014
    Visiblement, la suggestion ne semble pas être le fort de Richard Kelly. En tout cas, si l'on en juge par son premier film "Donnie Darko", réalisé en 2001 et usurpant à son tour l'étiquette facile du film culte. Surfant encore sur la vague du film d'ado mêlant schizophrénie, science-fiction et psychologie de comptoir, l'oeuvre ne constitue qu'un ersatz bête et prétentieux, éculant tous les clichés possibles ici établis sous de la prétendu philosophie de conte de lapin. Un brin de sobriété n'aurait pas été de trop mais non ; comme prévu, Kelly sort les gros sabots amenant avec eux des personnages incroyablement caricaturaux ainsi que des effets spéciaux d'une laideur repoussante. Si l'on veut bien mettre cela sur le compte de l'âge, que dire tout de même du jeu catastrophique de Jake Gyllenhaal, si ce n'est que lui comme les autres acteurs prennent également part à ce brouhaha indigeste et interminable.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 novembre 2010
    Je suis quand même a moitié étonnée de voir le nombre de personnes qui considèrent ce film comme leur préféré. Personnellement, lorsque que j'ai vu ce film, la seule envie que j'ai ressenti était de passer voir le réalisateur de cette merde speudo-intello pour lui mettre une féssée. C'est exactement ce genre de films, au même rang que GardenState d'ailleurs, qui devrait mettre la puce a l'oreille aux spectateurs. On vous prends pour des crétins, il serait temps de le comprendre. Le film n'est pas incompréhensible parce que le réalisateur est un génie, comme David lynch par exemple, qui lui est un vrai génie. Le film est incompréhensible parce que ce réalisateur pête beaucoup plus haut que son cul, il a voulu tenter un scénario intello-philosophique (tendance ScienceFiction avec des boudins transparents qui me sortent du torse) et viens que je t'embrouille....
    Mais si vous regardez bien l'histoire, les paroles,et les liens entre le réel et le fantastique, vous remarquerez qu'il n'y a absolument aucune profondeur.
    k Ce film est comme une dissert' de philo mal foutue, où le narcissisme de l'auteur prends le dessus sur son intelect. La fin n'a aucun sens, aucun message, aucune visée. Il n'a clairement pas su comment finir son film et il a du se dire 'Tiens on va faire une fin ouverte et sans réponse parce que la même moi je comprends plus...' Allez ça passe. Et vous les spectacteurs, vous acceptez sans rechigner qu'on vous fassent penser que c'est intelligent 'J'ai rien capté parce que c'est tellement subtile et profond, que je me sens submérgé par tant de génie' ALLO!! c'est une grosse daube, c'est une bouteille de champagne rempli de Coca ce film(c'est ricain donc Coca forcément...) En même temps, il faut prendre en compte que c'était son premier film "a gros budget" et que le scénario n'a pas vraiment été retravaillé, ce qui donne un résultat brouillon. Pour un premier film, avec une histoire comme Donnie Darko, et un casting de dingue (faut l'avouer), le résultat aurait pu etre bien meilleur. Moi ce qui me dérange c'est l'égo surdimentionné du réalisateur.

    Approximativement, c'était les deux phrases du film que j'ai préféré:
    -Il est ridicule ton costume de lapin
    -ton costume d'humain n'est il pas ridicule?
    (à ce moment là du film, j'ai hurlé devant ma télé...)

    Ouais, en bref j'ai pas aimé.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2014
    La perception du film de Kelly peut radicalement changer en fonction de son dénouement. Je ne m'attendais pas à une telle fin, rajouter en plus cet aspect biblique ne me semble pas être oser. C'est pas mal pour faire planer le doute, certes, mais comme je l'ai déjà dit, notre avis sur ce film peut d'un seul coup varier. C'est avec grand plaisir que l'on retrouve Jake Gyllenhaal ou bien Maggye Gyllenhaal. Le film transcende le glauque, et parviens à jouer avec nos ressentis. Je pense que Kelly avait apprécier les anciens concepts de mettre en valeur un schizophrène mais a néanmoins pousser la barre trop haut ou bien pas assez. Je ne parviens pas tellement à critiquer les " erreurs " de ce film puisqu'il n'y aucune valeurs sûres.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 juillet 2011
    Même genre de film que Virgin Suicides, qui aborde le thème du malêtre adolescent sur fond d'hermétisme facile. Ca prétend clairement faire du cinéma intello très profond, et beaucoup sont tombés dans le panneau, mais si on gratte un peu, c'est vide, incohérent, quasi-cheap et prétentieux. Bon, j'ai tenu jusqu'au bout, la preuve que tout n'est pas à jeter, et d'ailleurs je trouve ce film-ci tout de même moins insupportable, dans le même genre, que Virgin Suicides, mais on peut quand-même difficilement faire plus surestimé.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top