Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Et les plus jeunes, Stéphane Rideau (la découverte de Téchiné dans "Les Roseaux sauvages") et surtout Julie-Marie Parmentier, toute jeune comédienne déjà inoubliable dans "La ville est tranquille" de Robert Guédiguian et "Les Blessures assassines" de Jean-Pierre Denis, qui porte littéralement le film devant elle comme le bébé de son personnage, de toute son âme. Tout petit, mais joli !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Même s'il lui arrive de forcer un peu trop le trait, Martin Provost signe un second film fort et vivant, qui épuise parfois, mais émeut souvent. Deuxième essai transformé.
(...) des ressorts fictionnels bien rouillés, auxquels il manque un peu de liant et beaucoup de nouveauté. Restent des moments d'actrices : la grâce de Julie-Marie Parmentier, l'étrangeté de Nathalie Richard, la générosité d'Ariane Ascaride. Ça ne fait pas un film, mais ça contribue à notre bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Julie-Marie Parmentier assume la situation sans sentimentalisme, et Martin Provost capte cette détermination dans les milles figures de son actrice mobile. Le reste (...) est plus aléatoire.
Malgré ce caractère essentiellement contradictoire, le film peut "prendre", comme l'on dit d'une sauce qui mêle des ingrédients disparates. On ne voit plus alors les maladresses et les sautes de rythme, les clichés, mais les liens qui, d'un extrême à l'autre, tissent un monde à part.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Côté comédie débridée, ce deuxième long métrage sauve la mise, surtout grâce à l'excellent numéro de Nathalie Richard, déchaînée en grande soeur normative. Côté comédie dramatique, gare à l'épaisseur des ficelles freudiennes et à la surcharge de traumas fondateurs...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Une distribution solide, portée par Julie-Marie Parmentier, ajoute à la réussite de ce film original.
Les Echos
Et les plus jeunes, Stéphane Rideau (la découverte de Téchiné dans "Les Roseaux sauvages") et surtout Julie-Marie Parmentier, toute jeune comédienne déjà inoubliable dans "La ville est tranquille" de Robert Guédiguian et "Les Blessures assassines" de Jean-Pierre Denis, qui porte littéralement le film devant elle comme le bébé de son personnage, de toute son âme. Tout petit, mais joli !
MCinéma.com
Même s'il lui arrive de forcer un peu trop le trait, Martin Provost signe un second film fort et vivant, qui épuise parfois, mais émeut souvent. Deuxième essai transformé.
Première
(...) Martin Provost évoque joliment les aléas de la maternité pour une très jeune femme ballottée entre amour déçu et besoin d'affection (...).
Zurban
On se réjouit qu'un jeune réalisateur ait eu la hardiesse et la sensibilité de s'attaquer à ce sujet universel, à la fois heureux et dévastateur.
Aden
(...) des ressorts fictionnels bien rouillés, auxquels il manque un peu de liant et beaucoup de nouveauté. Restent des moments d'actrices : la grâce de Julie-Marie Parmentier, l'étrangeté de Nathalie Richard, la générosité d'Ariane Ascaride. Ça ne fait pas un film, mais ça contribue à notre bonheur.
Cahiers du Cinéma
Julie-Marie Parmentier assume la situation sans sentimentalisme, et Martin Provost capte cette détermination dans les milles figures de son actrice mobile. Le reste (...) est plus aléatoire.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Malgré ce caractère essentiellement contradictoire, le film peut "prendre", comme l'on dit d'une sauce qui mêle des ingrédients disparates. On ne voit plus alors les maladresses et les sautes de rythme, les clichés, mais les liens qui, d'un extrême à l'autre, tissent un monde à part.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Tout juste sauvé par Julie-Marie Parmentier, exemplaire comme toujours.
Télérama
Côté comédie débridée, ce deuxième long métrage sauve la mise, surtout grâce à l'excellent numéro de Nathalie Richard, déchaînée en grande soeur normative. Côté comédie dramatique, gare à l'épaisseur des ficelles freudiennes et à la surcharge de traumas fondateurs...