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Un visiteur
0,5
Publiée le 13 juillet 2007
Georges, voici qui résume tout le film. Georges, elle n'a que ça à la bouche. Georges, ca lui donne des envies suicidaire. Georges, elle n'a que ca en tete. Georges, elle l'aime mais pourtant, Georges la rejette. Georges n'en valait pas la peine. Georges s'en est allé voir ailleurs. Georges, elle en reve toutes les nuits. Georges, c'est la seule chose qui lui trotte dans la tete. Georges, ces amis n'entendent que ca. Georges n'est pourtant pas le seul homme sur terre. Georges seul l'intéresse. Georges, que serait sa vie sans lui. Georges n'est pourtant qu'un type comme les autres. Georges, que de questions tournent autour de lui. Georges, ah ce Georges, que serait ce film sans Georges, rien du tout mais même avec, ce film ne vaut rien.
Isabelle Adjani, Michel Blanc et Clémentine Célarié, donc rien que du beau monde... et pourtant c'est incroyablement chiant. Isabelle Adjani, moins convaincante que jamais et les autres inexistants.
Pauvre Adjani... Un mauvais rôle, terriblement casse gueule pour la jolie Isabelle qui comme prévu n'évite pas la surenchère. Le reste du casting n'est pas plus à la fête, composant avec des personnages mal foutus et mal écrits. Au niveau du scérnario c'est la bérézina. Honnetement, on ne comprend pas toujours les dialogues, et la fin (très confuse) est totalement ratée. Bon, c'est vrai, on rigole deux ou trois fois, mais à l'inssu de l'histoire le plus souvent. Quant au rapport avec le titre... mystère.
Isabelle Adjani est totalement hystérique dans ce film sans queue ni tête. Le scénario est bidon, la mise en scène est loin d'être originale. Quelques scènes arrivent péniblement à nous faire avoir un petit rictus. Le seul point positif est que pour une fois Fabrice Lucchini ne parle pas.
Regrettable film dans la filmo d'ADJANI ; film inconsistant, mauvais jeu d'actrice, mauvaise direction d'actrice. Le talent n'empêche pas qu'il faille derrière la caméra un maître pour savoir le canaliser. 10 millions de francs pour la star : un record que seule la nullité du film arrive à atteindre.
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3,0
Publiée le 3 octobre 2017
Le nez rouge, la boîte de Kleenex et les calmants à portèe de la main, la sublime Isabelle Adjani pleure, tempête et poursuit son amant enfui! De retour au cinèma après cinq ans d'absence, elle va vivre trois jours de dèsintoxication amoureuse, trois jours chocs qui font un concentrè et un accèlèrè du processus de guèrison et de recouvrement de soi, par lequel il faut passer pour sortir d'un chagrin d'amour! Construite sous forme de sketches, cette comèdie sentimentale suit l'errance dans la capitale de l'hèroïne, qui enchaîne les rencontres èphèmères et rèapprend à vivre en se cognant à d'autres larguès! Face à elle, Hippolyte Girardot joue le bel indiffèrent, Clèmentine Cèlariè, la copine nounou, et Michel Blanc, le suicidaire obsessionnel! D'abord il y a le plaisir de revoir Isabelle Adjani et puis, un ton tonique et mèlancolique de trois jours d'errance loufoque de Belleville à Barbès entre èmotions et crise de nerfs...
Un navet intersidéral hallucinant de bêtise et de prétention. Adjani n'est que l'ombre hystérisée d'elle même et en fait tant dans le narcissisme caractériel qu'on est en droit de la trouver parfaitement insupportable. A éviter!
Un film qui ne mérite pas d être oublié dans la filmographie des nineties. On suit la tranche de vie difficile et le désarroi que le personnage traverse. J aurai aimé voir plus Blanc, Celarie et Luchini mais voilà le personnage principal prend beaucoup de place.
J'ai vu ce film il y a très longtemps mais j'en ai garde un souvenir impérissable. Tout ce dont je me souviens c'est de la souffrance provoquée par une rupture et du sentiment que le monde s'écroule un sentiment de solitude insupportable que personne ne peut comprendre . Ce film n'a pas d'autre ambition que de montrer la douleur consecutive à 'une rupture sentimentale..et Isabelle Adjani joue ce rôle à la perfection. Comme disait Balavoine Quand dans l' amour tout s'effondre toute la misère du monde n'est rien à côté d'un adieu. Et le titre toxic affair est un peu décalé pour montrer la relativité de cette souffrance à long terme. Finalement ce n'est pas si terrible... A long terme cette souffrance passera. Voilà ce qu'a souhaité montrer la réalisatrice. Et Isabelle Adjani a joué avec justesse ces moments dramatique s de la vie. Lorsqu'on aime vraiment on croit toujours que c'est pour toujours. Hélas. Selon moi Adjani sauve le film.