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Nathalie P
13 abonnés
15 critiques
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2,0
Publiée le 9 septembre 2014
Film avec beaucoup trop de scene de Q gratuite, les comediennes sont belles, mais on a mal a la tête ... Trop de scene enchainées rapidement uptempo du coup aucune profondeur et on ne voit pas ou le film veut en venir. Mais beau casting..
Belle suprise avec ce film presque parfait en tout point : scénario excellent, dialogues croustillants, casting de rêves, etc... à voir très vite pour ceux qui be l'aurait pas encore vu !
Un des travers de l’époque consiste à se croire capable de tout, d’autant plus lorsque l’on a réussi (ou obtenu du succès ?) dans un domaine précis : Michel Blanc y tombe pour la quatrième fois. Comédien de talent, il n’a aucun don pour la réalisation et le prouve ici encore. Il va même jusqu’à se ridiculiser lui-même en tant qu’acteur, ce qui est pousser le zèle un peu loin. Quant au film, c’est un vaudeville des plus vulgaires, à faire hurler Feydeau. On imagine que les représentants de la ville du Touquet et tous les partenaires financiers locaux ont pu s’étrangler en découvrant le produit de leur mécénat. La brochette assez copieuse d’acteurs semble avoir vite compris qu’on allait pas faire dans la dentelle, et hormis Charlotte Rampling qui s’en sort avec les honneurs et peut-être Bruno Podalydès qui campe un raté assez crédible, tous les autres se contentent de bâcler leur interprétation tels Karin Viard en mégère survoltée, Vincent Elbaz en dragueur irrésistible, Jacques Dutronc apparemment ailleurs, Carole Bouquet qui visiblement s’ennuie, sans parler des deux nullités, la nymphomane Lou Doillon et le demeuré qui se donne des airs Gaspard Ulliel . Il semble que le réalisateur ait choisi le registre comique, mais c’est raté. Les situations sont tellement prévisibles qu’on voudrait l’aider à les terminer au plus vite. Hélas ! on ne nous fait grâce de rien, pas même de la scène de lit entre Gaspard Ulliel et Charlotte Rampling (qui heureusement a connu mieux). Pour conclure, on conseillera donc fortement à Michel Blanc de continuer à travailler avec Patrice Lecomte (Monsieur Hire) ou André Téchiné ( Les témoins) et tant d’autres, et de laisser une fois pour toutes sa caméra rangée avec ses autres jouets d’enfant.
Un très bon film français avec une pléiade d'acteurs géniaux. Les différents histoires se mêlent très biens et les nombreux personnages sont tous très attachants
Où sont passés le comique grinçant et les trouvailles scénaristiques de « Grosse fatigue » ? Quelle mouche a piqué Michel Blanc pour réaliser ce brouet indigeste quest « Embrassez qui vous voudrez » ? Jai rarement éprouvé un tel dégoût devant une comédie censée faire rire et émouvoir. Un dégoût jusquà lécoeurement devant ces quiproquos de nature non pas amoureuse mais sexuelle dont la pauvre Carole Bouquet - qui rame pour rendre crédible le perso-marionnette de Lulu - est la victime dans des situations affligeantes de bêtise. Du marivaudage, ce film, vraiment, comme cela a été dit ? Marivaux a dû se retourner dans sa tombe de voir son nom associé à cette obscénité. On touche le fond de la vulgarité, celle des dialogues, insipides à force dêtre outranciers, celle des situations, qui traînent les femmes dans la fange et accordent aux hommes un Q.I. dhuître. Michel Blanc sest attribué le rôle dun perso tellement idiot quon a envie de le gifler. Et il nous assène pour la n-ième fois la confrontation de la bourgeoise oisive vieillissante et de la jeune prolétaire qui a honte dhabiter une caravane, bref le stéréotype qui ne fait honneur ni à lune ni à lautre. On atteint le fond de ce que peut imaginer un réalisateur pour humilier ses personnages, en voyant les postures infligées à Carole Bouquet et à Charlotte Rampling. Marionnette aussi le perso de Julie (Clotilde Courau, qui doit dans son palais princier regretter de sêtre fourvoyée ainsi) Penser que ces gesticulations ont été offertes en spectacle aux ados avec le passage du film à la télé me consterne : quelle vision catastrophique du monde des adultes, quel mépris des jeunes, caricaturés outrageusement dans le film dans les personnages dEmilie et Loïc. Seule Karin Viard parvient à émouvoir, car malgré les poncifs que véhiculent son personnage elle lui confère une touche de vérité et de fragilité, qui lui ont fait mériter le César. Elle ne suffit pas à remonter le niveau. A fuir à toutes jambes!
Voilà un vaudeville plus tragique que comique et en forme de film choral uniquement basé sur la sincérité et la cruauté des sentiments humains. Alors, ce qui frappera le spectateur dès le début, c’est l’affiche et sa distribution hors du commun pour un film français, une distribution d’ailleurs à la hauteur des malentendus exposés par le réalisateur. La plupart du temps, les personnages sont présentés par paire suivant leurs affinités. Charlotte Rampling (grande dame) et Jacques Dutronc (rare de le voir dans cette situation), Carole Bouquet (femme meurtrie) et Michel Blanc (sociopathe notoire), Karin Viard (dans le déni total) et Denis Podalydès (suicidaire), Clotilde Courau (gourdasse) et Vincent Elbaz (infame et vaniteux), Lou Doillon et Sami Bouajila (paumés), Gaspard Ulliel et Mélanie Laurent (jeunes en mal de découvertes) forment une troupe formidable : Que des talents immenses à part bien sûr le couple Lou Doillon-Gaspard Ulliel qui surjoue comme c’est pas permis avec une histoire les concernant absolument nulle, décousue et sans but précis (l’action se déroule à Chicago donc rien à voir avec le reste !). En réalité, c’est le trio Rampling-Bouquet-Viard qui sert de narrateur au film et Charlotte Rampling en est le chef d’orchestre ou plutôt la maîtresse de cérémonie. Autres belles révélations, Mélanie Laurent est resplendissante et Gaspard Ulliel reste très mystérieux et touchant, tout deux tourne alors leur troisième film avec un naturel indiscutable. Inutile de développer le récit tant le scénario est en béton armé et ultra-intense. En revanche, on peut se demander si le film va fonctionner –enfin du moins tourner rond- puisque tout part un peu dans tous les sens. Les familles se déchirent ou sont déjà déchirées et on l’émotion qui vient tout de suite à l’esprit est la sympathie et la pitié. Tous ou presque (j’ai bien presque pour Doillon et Bouajila) parviennent à émouvoir grâce à des personnages complets, tantôt complémentaires, tantôt antinomiques mais toujours intéressants. Quiproquos énormissimes comme pour l’infidélité supposée par Jean-Pierre, chutes assez rudes pour les différentes histoires, on est bel et bien dans une comédie qui lorgne indubitablement vers le drame. Ajoutons tout de même que le budget alloué est impressionnant : 26 millions, rien que ça… Dommage que Blanc ne se soit pas payé une BO digne de ce nom ! Bref, un film français utile et intéressant en raison d’atouts évidents tels l’absence de temps morts ou la présence d’acteurs de talent qui donnent une dimension particulière et inattendue de prime abord.
Embrassez qui vous voudrez ou un film qui m'a bien déçue après tout le bien que j'en ai entendu dire. Les dialogues sont plats (mise à part une ou deux répliques et un quiproquo qui finit par devenir bien lourd à la fin). Les acteurs surjouent (une Lou Doillon vraiment mauvaise), à lexception du couple Karin Viard/Denis Podalydès et de leur fils Gaspard Ulliel qui sont les plus naturels et surtout crédibles. Mais pour le reste, je reste perplexe. C'est donc ça le cinéma français ?
Plusieurs situations de couples aussi compliqués les unes que les autres. On apprécie certaines séquences et la palette d'acteurs prend plaisir. Maintenant l'histoire n'est pas passionante.
Une bonne petite comédie très bien réalisée par un Michel Blanc au sommet de sa forme. D'autant plus que le casting est impressionant et le scénario très bien écrit. On passe un bon moment !!!
EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ est une comédie qui bénéficie d'un casting d'exception (C. Rampling, C. Bouquet, K. Viard, M. Blanc...) et fait du film choral un genre on ne peut plus appréciable. Chaque histoire est piquante, parfois légère et même truffée de quiproquos sans jamais être dénuée du moindre humour. L'ennui ne montre pas le bout de son nez face à une telle démonstration de talent! De nouvelles embrassades ne serait pas de refus !
Beaucoup (trop??) d'acteurs connus dans ce film chorale vraiment decevant du point de vu scenaristique ,je retiens juste Michel Blanc dans un role de mari jaloux genial et une Karin Viard comme toujours excellente au milieu d'un flot de dialogues mou et longs,je m'attendais a mieux a cause d'une reputation flatteuse de la critique tant pis pour moi.