AlloCiné
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Votre avis sur Le Téléphone sonne toujours deux fois ?
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parodie plûtot sympathique, qui à révéler les inconnus, les gags sont loufoques et les répliques déjantés, les seconds rôles ( constantin, sébastien, cowl) apportent un ton supérieur au film...
pierrre s.
Quand on voit la médiocrité de ce film on a du mal à croire qu'il émane des Inconnus. Et pourtant si... La preuve que la première impression n'est pas toujours la bonne et que tout le monde peut progresser.
Roub E.
Je me suis souvient que quand j'avais 13 ans ce film me faisait hurler de rire, à la revoyure ca ne vole pas très haut mais on on passe un bon moment. Les inconnus nous offre une comédie absurde pastiche des films noirs américains des années 50. La bande s'amuse beaucoup, certains gags sont bien trouvés.
Ce film est quand même une franche "marrade". Les répliques font mouches, et on découvre l'humour des inconnus qui fera leurs célébrités. Très bonne comédie.
un film honnête, du suspense, mais surtout beaucoup d'humour, bref un bon petit film, sans plus.
Tellement fan des Inconnus que même un vieux film comme celui-ci, où l'on sent tout de même les premiers pas cinématographiques, m'aura fait beaucoup rire ! Une petite pépite pour ceux, comme moi, très intéressés par leur humour !
magnifique comédie en forme de film noir! bourré de second rôles et de guests! Didier Bourdon est a pisser de rire dans ce rôle sur mesure de MARC ELBICHON!! parfois bete et stupide et les 2 a la fois on passe quand même un super moment!
Évidemment ce n'est pas transcendant, mais c'est une bonne dose d'humour absurde, avec entre autres le trio des Inconnus. Qui plus est le film a plutôt bien vieilli et s'inscrit dans la même lignée que "La Cité de la Peur" en présentant un thriller humoristique. Il semble néanmoins moins célèbre que celui-ci.
L'oeuvre qui suit est un film culte des annèes 80! Une parodie du film noir avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Lègitimus...et les autres qui participent de façon dèlirante à l'entreprise! Tout avait commencè un 31 fèvrier et le dètective privè Marc Elbichon en savait plus que les autres et les autres en savaient moins que lui! Un flair infaillible qui va le guider vers une enquête insolite où la police piètine grave! Et dès lors le spectateur commence à perdre pied pour trouver cet individu qui supprime les femmes en leur incrustant un cadran de tèlèphone sur le front! Par la suite, les choses se compliqueront un peu pour ce privè pas comme les autres [...] C'est souvent absurde comme il se doit dans une comèdie policière interprètèe par un trio comique qui explosera quelques annèes plus tard! Ça ne vole pas toujours très haut mais quelques gags fonctionnent (le cimetière, la boîte gay...). Notons toutefois qu'une certaine ambiance du film noir à l'amèricaine (la relecture du mythique « I wanna be loved by you » , chantèe excellemment par Clèmentine Cèlariè) imprègne cette parodie où Gabriel Yared signe une B.O remarquèe! Bref, le seul film où vous ne dècrocherez pas...
beaucoup de gag font mouche , on rit par moment , mais ça reste léger... Patrick Sébastien en aveugle est génial..... La distribution est de haute volée. Premier film des inconnus..... certe pas une chef-d'oeuvre mais une bonne petite comédie
Darry Cowl, Patrick Sébastien, on prend peur en parcourant le casting qui défile d’entrée. Oui, mais il y a surtout Les inconnus, qui le sont vraiment alors, à tel point qu’ils n’ont même pas encore de nom. Enfin, si, Les cinq, un alias qu’on devine trouvé dans les coulisses d’une première et qui n’a même pas les honneurs du générique. Mais au fait, pourquoi ce chiffre ? Pardi, c’est que parmi cette joyeuse petite troupe de transfuges du Théâtre de Bouvard se trouvent non seulement les désormais légendaires Bourdon, Campan et Légitimus, mais encore Seymour Brussel, étrangement reconverti en magnétiseur, et l’indécrottable Smaïn, qui optera pour une carrière solo dès la fin du tournage. Tout ça pour dire que si ce bon vieux Téléphone qui sonne toujours deux fois a le délire absurde fort maladroit, il n’en reste pas moins d’une valeur historique pour l’humour franchouille. Ainsi le cinéphile se fait stand-up-lover, et découvre, derrière l’incontestable lourdeur d’ensemble, une curieuse et non moins manifeste source d’inspiration pour diverses et nombreuses rigolades sur nos écrans. Une lecture instructive, donc.
Ce film est un peu débile, mais qu'est-ce qu'il est drôle !^^ L'un des meilleurs films des Inconnus.
Artriste
Comédie policière, réalisée par Jean-Pierre Vergne, Le Téléphone Sonne Toujours Deux Fois est un long-métrage sacrément divertissant. L'histoire nous fait suivre un détective privé en quête de notoriété se lançant avec quatre autre personnes dans la traque d'un tueur en série assassinant des femmes en les assommant avec le combiné d'un téléphone et signant ses forfaits en plantant le cadran sur le front des victimes. Ce scénario est franchement sympathique à visionner pendant toute sa durée d'une heure et demie. L'enquête parodique utilise les codes du genre pour les tourner en dérisions dans des situations loufoques très bien trouvées, comportant quelques références bien senties. Le ton absurde est particulièrement drôle, décrochant de nombreux éclats de rires tout du long. Cela est rendu possible à la faveur de personnages saugrenues, parfaitement interprétés par la bande des Cinq comportant Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Légitimus, Seymour Brussel et Smaïn. Ils sont entourés par d'autres comédiens tout aussi appréciables, bénéficiant de plus ou moins de temps à l'écran, certains ne faisant qu'une apparition furtive, entre Henri Courseaux, Jean Claude Brialy, Clémentine Célarié, Michel Galabru, Jean Reno ou encore Patrick Sébastien pour n'en citer qu'une partie. Tous ces rôles entretiennent des échanges franchement amusants, notamment grâce aux dialogues savoureux écrits par le collectif d'humoristes, dont on reconnaît aisément la patte. Mais en plus du fond, l'aspect comique provient également de la forme à travers la réalisation de Jean-Pierre Vergne. En effet, sa mise en scène comporte pas mal d'idées, donnant vie à de nombreuses blagues via le visuel. Seul regret, que celui-ci soit assez terne. L'humour se retrouve même dans les bruitages sonores décalés afin de provoquer des sourires. La b.o. utilise elle des compositions dans le ton de ce genre cinématographique et s'avère agréable. Ce grand n'importe quoi se termine sur une révélation et des motivations hilarantes, avant de s'achever sur une fin satisfaisante. En conclusion, Le Téléphone Sonne Toujours Deux Fois est un très bon film méritant grandement d'être découvert.
Le premier long métrage des futurs Inconnus n'est pas autre chose qu'une balade en absurdie totale. C'est plutôt bien écrit et bourrée d'idées ( " J'ai deux amours : mon pays et Bruce Lee !") et on sent dés le départ qu'on est dans un bon délire bien potache, avec, pour le plaisir, quelques guests qui viennent s'encanailler chez les jeunots... ( Jean Yanne, Darry Cowl, Galabru...). Pour les références, j'ai pensé entre autre au film "les cadavres ne portent pas de costard" avec Steve Martin, mais en bien plus déjanté... En conséquence, ce film a visiblement inspiré beaucoup de monde (les Nuls, entre autres...) Bref, plutôt très sympa sans être génial mais prometteur.
Avant "Les 3 frères", peu de gens se souviennent qu'il y a eu "Le téléphone sonne toujours deux fois". Les Inconnus s'appelaient alors les Cinq, comptaient dans leur rang Smaïn et Seymour Brussel et sortaient à peine du Petit Théâtre de Bouvard. Et, même si ce premier film n'est pas aussi abouti que leur futur chef d'oeuvre, c'est avec un plaisir certain qu'on découvre cette petite pépite méconnue, certes bourrée d'imperfections mais presque touchante. Le scénario, sous forme de pastiche d'enquête policière, est souvent maladroit et ses références sont aujourd'hui particulièrement datées (le bar de banlieue où on sert du viandox, les radios libres, le détective privé à imper...) mais l'essentiel est ailleurs, Car l'intérêt du film réside clairement dans l'originalité de ses gags (l'identification du suspect entouré de flic, le pistage du tueur et les indications sur les murs, les scènes chez le vétérinaire, le commissaire imitant Gabin...) et de ses dialogues délicieusement décalés ("parlez plus fort, monsieur, je suis aveugle", "le coup était bien combiné"...). La mise en scène de Jean-Pierre Vergne est un peu molle (pour ne pas dire kitsch, avec sa BO très 80's et son rythme pas franchement soutenu) mais elle peut s'appuyer sur le talent de ses comédiens avec Didier Bourdon en détective frimeur, Seymour Brussel en barman nerveux, Pascal Légitimus en animateur radio dynamique, Smaïn en neuneu du groupe, Bernard Campan en photographe chasseur de scoop mais également des 2nds rôles épatants (Jean-Claude Brialy hilarant en commissaire borné, Henry Courseaux en psy pur animaux, Clémentine Célarié en chanteuse...) et une pléiade de caméo délicieux (Patrick Sébastien, Michel Galabru, Darry Cowl, Jean Yanne, Michel Constantin...). Un film imparfait donc mais étonnant que tout fan des Inconnus se doit de découvrir.
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