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La force du film réside dans cette capacité de suggestion, cette lente érotisation des lieux (...) et des corps, à la fois communs et glorieux, abîmés par le travail et magnifiés par sa soudaine absence, traversés puis délaissés par lui, littéralement en manque.
Ce vieux rêve qui bouge est l'un des meilleurs et en tout cas le plus dense film français de l'année. En 50 minutes, Alain Guiraudie confirme qu'il est déjà un grand metteur en scène. Son monde, moderne mais intemporel, emprunte autant au western qu'à la mythologie ouvrière.
Fantasmatique et utopie avancent main dans la main pour projeter le réalisme ailleurs, lui ouvrir un champ d'investigation qui dépasse le simple rendu d'un présent hypothétique, l'amener vers un au-delà social et sensuel. Le constat d'une fin rencontre l'espoir d'une renaissance ; le corps ouvrier hétérosexuel, massif, rugueux, rencontre la douceur, l'homosexualité.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le nouveau moyen métrage d'Alain Guiraudie est (...) remarquable par l'économie de son temps et de ses moyens, installant une atmosphère étrange et saisissante en un peu moins d'une heure (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le film garde toujours une distance vis-à-vis de ce qu'il montre ou de ce qu'il révèle, une délicatesse dans le regard le tient aussi loin du naturalisme astucieux que de la fable trop généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) ce que filme Guiraudie, ce n'est pas tant la nostalgie (camarade) que les termes d'une désarticulation sociale, la qualité d'un désossement général, comme l'enregistrement d'un cycle économique et historique saisi dans une étape provisoire: ce moment où tout retourne à la poussière mais où, de la poussière, rien de tangible n'est encore revenu. Restent donc les hommes, dont Guiraudie a le goût infini.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nous voilà certes très loin des habituels films communautaires, qui en rajoutent soit dans le kitsch et le glamour déluré, soit dans la difficulté de vivre son homosexualité sans être dépressif. Bon (...) A part ça, y atil vraiment de quoi se relever la nuit ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Je croyais, à lire le dossier de presse qu'Alain Guiraudie voulait, à la demande expresse de Kierkegaard, "créer du possible". Or, là, il n'en est rien. Ou alors il faut que je retourne fissa revoir le film. Tout en me demandant comment Pasolini aurait filmé ce désir entre hommes et cette perte du travail. Pas vraiment comme ça en tout cas. Multi récompensé, Ce vieux rêve qui bouge n'est pourtant pas Accattone.
Une mise en scène singulière qui a de quoi séduire pourvu que l'on accepte le jeu de l'inachèvement mais qui, pour cette raison, semble chercher son plein accomplissement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cinéaste hard et d'essai de l'insatisfaction érigée en règle créative, Alain Guiraudie voit dans sa fiction l'effondrement du monde industriel dans les villes moyennes face à la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
La force du film réside dans cette capacité de suggestion, cette lente érotisation des lieux (...) et des corps, à la fois communs et glorieux, abîmés par le travail et magnifiés par sa soudaine absence, traversés puis délaissés par lui, littéralement en manque.
MCinéma.com
Ce vieux rêve qui bouge est l'un des meilleurs et en tout cas le plus dense film français de l'année. En 50 minutes, Alain Guiraudie confirme qu'il est déjà un grand metteur en scène. Son monde, moderne mais intemporel, emprunte autant au western qu'à la mythologie ouvrière.
Urbuz
Fantasmatique et utopie avancent main dans la main pour projeter le réalisme ailleurs, lui ouvrir un champ d'investigation qui dépasse le simple rendu d'un présent hypothétique, l'amener vers un au-delà social et sensuel. Le constat d'une fin rencontre l'espoir d'une renaissance ; le corps ouvrier hétérosexuel, massif, rugueux, rencontre la douceur, l'homosexualité.
Chronic'art.com
Le nouveau moyen métrage d'Alain Guiraudie est (...) remarquable par l'économie de son temps et de ses moyens, installant une atmosphère étrange et saisissante en un peu moins d'une heure (...)
Chronic'art.com
Le film garde toujours une distance vis-à-vis de ce qu'il montre ou de ce qu'il révèle, une délicatesse dans le regard le tient aussi loin du naturalisme astucieux que de la fable trop généreuse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
(...) ce que filme Guiraudie, ce n'est pas tant la nostalgie (camarade) que les termes d'une désarticulation sociale, la qualité d'un désossement général, comme l'enregistrement d'un cycle économique et historique saisi dans une étape provisoire: ce moment où tout retourne à la poussière mais où, de la poussière, rien de tangible n'est encore revenu. Restent donc les hommes, dont Guiraudie a le goût infini.
Télérama
Alain Guiraudie signe une chronique sociale et amoureuse tout en finesse.
Zurban
Une mise en scène originale pour un film d'une grande humanité.
Aden
Nous voilà certes très loin des habituels films communautaires, qui en rajoutent soit dans le kitsch et le glamour déluré, soit dans la difficulté de vivre son homosexualité sans être dépressif. Bon (...) A part ça, y atil vraiment de quoi se relever la nuit ?
Cine Libre
Je croyais, à lire le dossier de presse qu'Alain Guiraudie voulait, à la demande expresse de Kierkegaard, "créer du possible". Or, là, il n'en est rien. Ou alors il faut que je retourne fissa revoir le film. Tout en me demandant comment Pasolini aurait filmé ce désir entre hommes et cette perte du travail. Pas vraiment comme ça en tout cas. Multi récompensé, Ce vieux rêve qui bouge n'est pourtant pas Accattone.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Une mise en scène singulière qui a de quoi séduire pourvu que l'on accepte le jeu de l'inachèvement mais qui, pour cette raison, semble chercher son plein accomplissement.
Première
Cinéaste hard et d'essai de l'insatisfaction érigée en règle créative, Alain Guiraudie voit dans sa fiction l'effondrement du monde industriel dans les villes moyennes face à la mondialisation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com