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Le cinéphile
701 abonnés
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2,5
Publiée le 10 novembre 2013
Un des premiers vrais film catastrophe! Huit clos terrible dans cette tour qui prend feu paisiblement et tranquillement! Porté par deux légendes du cinéma! Mais le problème c'est que 2h45 c'est long quoi, trop long... Et on se souviendra d'un plan au ralenti sublime d'un mec en feu cherchant une échappatoire filmé depuis un hélicoptère!
Le film est grand, inoubliable, ce qui s'est fait de mieux dans ces années 70-80 ou le film "catastrophe" avait la cote. La catastrophe suivante aura été le redoublage du film pour sa sortie DVD.... Voix mal choisies, travail de doublage bâclé (enregistrement en une seule prise...?), balance audio consternante (on passe son temps à jongler avec la télécommande tant le delta entre dialogues et musique est énorme), les sons "d'ambiance" ont été écrasés.... Enfin bref, une honte, un scandale, un véritable foutage de tronche, tout ça pour sortir une piste audio stéréo (en 192 kbits sur le BluRay.... pitoyable) au lieu de la piste mono d'origine (datée, forcément, mais qui s'en soucie sur un film aussi vieux ?).
Salut a tous j'ai vu ce film et pour moi je l'ai trouvé super (sinon j'aurai pas mis 5/5)! J'etais un peu stressé quand je l'ai vu mais après ca allait c super pour l'epoque!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Surement la référence des films catastrophes... Un grand spectacle, du suspens, une terrible intensité dramatique et un duo Paul Newman et Steve McQueen légendaire...
"La tour infernale" est peut-être le plus grand film catastrophe de l'histoire du Cinema avec "Titanic" (dans un autre style). D'ailleurs, sur la fin, les dialogues du genre "les femmes et les enfants d'abord" pour gérer au mieux le sauvetage établit un lien flagrant entre les 2 films. Ici, point d'iceberg et point d'eau, malheureusement... Un incendie démarre et finit par embraser un building d'une hauteur quasi-infini et ainsi mettre en danger une grosse partie de la haute société qui était en train de tranquillement fêter l'inauguration de cet ouvrage immense. Même si on peut être par moment un petit peu lassé par ce scénario qui se déroule sans forcément apporter quelque-chose de bien croustillant (l'action tournant parfois un peu en rond), le film est quand même dans l'ensemble très abouti. Ce huis-clos enflammé nous rend parfois claustrophobe tant la mise en scène est épurée et nous rapproche un maximum de l'action. Action menée à tambour battant par un Steve McQueen des grands jours, mais aussi et surtout, par un Paul Newman toujours aussi charismatique. Assurément l'un des plus grand acteurs de tous les temps, il le confirme une nouvelle fois ici. Un classique à voir pour l'immensité du projet pour l'époque (peut-être encore plus vertigineux que le film de James Cameron en 1997, car beaucoup moins de moyens techniques), mais aussi pour voir l'alliance de 2 très grands noms du 7ème art.
L'un des plus grands films catastrophes. John Guillermin, solide artisan d'Hollywood, et son casting 6 étoiles pour un classique. Le film vieillit bien. 4,5/5
La Tour Infernale est un des maîtres du film catastrophe, le film est devenu un grand classique du genre. Avec son histoire spectaculaire: un feu se déclare dans la tour la plus haute du monde, 135 étages, lors de sa soirée d’inauguration où toute sorte de célébrités se sont rassemblées pour l’évènement, son casting impressionnant et ses effets spéciaux spectaculaire, La Tour Infernale se hisse sur le podium des meilleurs films catastrophe du cinéma et ce qui fait de se long métrage un chef d’œuvre c’est d’abord son scénario sans temps mort et surtout ses acteurs formidables: Paul Newman et Steve McQueen sont plus qu’excellent dans leur rôles, Newman joue l’architecte qui a conçus la tour et McQueen joue le colonel des pompiers (mon personnage préféré du film) et sans oublier la flopée de second rôle allant de Faye Dunaway, Fred Astaire, Robert Vaughn, Robert Wagner et à William Holden qui complète se casting prestigieux et La Tour Infernale ne serai pas La Tour Infernale sans ses séquences d’action spectaculaire à savoir: cascades, explosions, incendies. Parmi elles se trouvent l’explosion des réservoirs d’eau de la tour qui doivent éteindre toutes les flammes, une scène spectaculaire, où la séquence quand Newman sauve la gouvernante et des enfants après qu’un escalier ai exploser et celle où McQueen qui escalade l’ascenseur extérieur pour sauver les personnes présente dedans, bref des séquences de suspens et d’action démentes. Mais ce qui reste le plus beau et le plus impressionnant dans le film se sont les vues de la tour en feu qui sont magnifique de réalisme et très bien filmées et réalisés. Grâce ses décors et effets spéciaux géniaux La Tour Infernale n’a pas pris une ride aujourd’hui. Avec ce film le cinéma développait un nouveau genre: le film catastrophe avec ce classique et donc chef d’œuvre.
La Tour infernale (1974) réalisé par John Guillermin, spécialiste du cinéma à grand spectacle, est l'un des plus grand succès du film catastrophe des années 70. Le film se passe à San Francisco, lors de l'inauguration de la plus haute tour du monde, un petit court-circuit va provoquer un gigantesque incendie où plus de 3000 invités seront piégés dans ce cauchemar vertical. La Tour infernale renoue ainsi avec la tradition du grand spectacle qui était un moment délaissé par Hollywood : c'est ici une immense tour de verre qui devient l'objet de la catastrophe, un scénario habile et qui bénéficie aussi d'effets spéciaux excellents qui ont, depuis, légèrement vieillis. La Tour infernale affiche d'autres ambitions, en plus d'être un suspense efficace, en racontant plusieurs destins individuels dans des circonstances dramatiques et nous pouvons facilement nous identifier aux personnages tout en se demandant comment nous pourrions réagir dans pareille situation. Ce film dénonce la mégalomanie et la négligence des architectes et des promoteurs immobiliers. Un casting de grandes stars de l'époque complètent le tout : Paul Newman, William Holden, Faye Dunaway, mention spéciale à Fred Astaire qui est tout simplement touchant et génial tout en style, classe et raffinement et Steve McQueen en capitaine des pompiers est le porte-parole du spectateur et incarne le symbole du bon sens personnifié. Cet impressionnant chef d'œuvre marque durablement son époque (et celle d'aujourd'hui) en mettant l'accent sur les normes de sécurité pour la construction des immeubles de grande hauteur. Après avoir vu ce film, nous ne regarderons plus jamais un gratte-ciel de la même façon. Ce film sera aussi dédié à tous les soldats du feu, qui risquent chaque jours leur vie pour sauver d'autres vies.
Un opus catastrophe bien ficelé avec en prime la constitution le temps d'un incendie mémorable de quelques grosses pointures Hollywoodiennes imposantes en leurs temps puis laissées pour compte pour être enfin rapatriées temporairement dans le produit concept de référence de ces années soixante dix ou les cinéastes américains consacrent leurs pellicules à la destruction en tout genre.
Le récit tient bien la route en intégrant intelligemment une action soutenue formatée par le désastre d'une construction au rabais ceci alimentant parfaitement malgré sa virtualité le concept de la magouille élément bien présent dans nos sociétés.
Ceci permet malgré quelques clichés psychologiques un peu lourd d'adhérer pleinement à cette aventure dramatique pleine de suspense montrant tout près du ciel un catalogue humain hétéroclite comprenant entre-autres le pompier lucide et visionnaire des conditions de plus en plus déplorables de l'éxécution de son métier, l'architecte honnête, l'ingénieur alcoolique manipulé pour se terminer par le patron véreux et carriériste en rédemption.
Un bon film montrant nos chers contemporains dans une thématique leurs permettant de se vétir de tous les états.
Ah les films a grand spectacle des années 70, c'était quand même quelque chose, mais malheureusement aucun d'entre eux n'échappe aux coups de vieux et donc "La Tour Infernale" n'y échappe pas non plus. Le casting tout d'abord: McQueen, Newman, Dunaway, Holden et Astaire, ça fait rêver de voir tous ces grands noms réunis dans le même film. Nous sommes en 1974, le film dit "catastrophe" en est à ses balbutiements, l'année précédente en 1973, sortait "L'aventure du Poseidon" qui a obtenu un franc succès mais c'est bel et bien "La Tour Infernale" qui va devenir la référence du film catastrophe. Là où le film est réussi c'est sur l'intensité, en effet on suit de manière progressive l'embrasement de cette tour titanesque et les scènes "a grand spectacle" sont plus intenses les unes que les autres. Un film incontournable mais qui n'a pas échappé au coup de vieux.
Un des premiers films catastrophe de l'époque, et on voit que les films les plus récents s'en sont inspirés. Après L'Aventure du Poséidon et Tremblement de Terre, c'est un building extrêmement haut qui est en proie à une catastrophe: un incendie! Du coup, les occupants tentent de s'enfuir, et c'est le chaos. La première chose que l'on remarque, c'est l'incroyable casting réuni dans cette tour de verre. Paul Newman, Steve McQueen, William Holden, Fred Astaire, Faye Dunaway, Richard Chamberlain, Robert Vaughn, Robert Wagner, ... La liste est très longue, et rien que le fait de voir toutes ces légendes dans un même film est énorme. Ensuite, les effets spéciaux sont très réussis, surtout pour l'époque. Certaines séquences sont saisissantes (le mec qui s'enflamme en voulant sortir de sa chambre). Malheureusement, le scénario est très faible. Je suis conscient que pour ce genre de film, le scénario n'est pas très important, mais le minimum syndical n'aurait pas été de trop. Et puis, j'ai eu du mal avec les scènes de dialogue, on voit que c'est pour combler les trous entre les scènes spectaculaires. Pareil pour les petites histoires d'amour, elles sont de trop selon moi. Enfin, dans l'ensemble, ça reste quand même très sympa.
Très bon film catastrophe! De bons acteurs et de bons effets de feu, excellents pour l'époque. Ce film peut largement surpasser certains films d'aujourd'hui. Les différents acteurs et histoires sont bien gérés et la longueur du film ne se ressent même pas. Dommage que l'on ne voie pas beaucoup les réactions des personnes au pied de l'immeuble cependant.
Sur 2h45, il n'y a pas un seul moment d'ennui, grâce à de beaux moments de tensions bien filmés et une pléthore d'acteurs cultes que l'on retrouve avec plaisir : Paul Newman, Steve McQueen, William Holden, Faye Dunaway, Fred Astaire, plus d'autres seconds rôles pas désagréables.
Plusieurs histoires parallèles sont attachées à l'intrigue principale, chacune pas forcément indispensable mais enrichissant l'histoire sans la décridibiliser. Evidemment, il y a les moments de stupidité ou de lâcheté de certains personnages et ceux d'héroïsmes pour d'autres, à chaque fois pas forcément surprenants, mais plutôt bien amenés dans l'histoire. De plus, les effets spéciaux sont très crédibles, bien fabriqués.
Bref, un beau divertissement au service d'une petite morale de fin qui ne fait pas de mal, avec des acteurs d'une superbe présence. Sans être un chef-d'oeuvre, c'est un beau spectacle bien réalisé.
Déjà à l'époque on savait faire les films de cette envergure (petit clin d'oeil aux péplums d'antan) ! Etant l'un des rares films catastrophe cultes (dont L'Aventure du Poséidon), La Tour Infernale suit l'embrasement d'une tour avec minutie, et surtout avec beaucoup de panache et de scènes fortes (même assez dures pour cette décennie), permettant de suivre ces 2h45 de film sans que l'on s'ennuie une seule minute. Sans compter qu'un casting prestigieux est ici réunit! Mais ce qui est marquant dans ce film, ce sont les effet spéciaux, vieux mais au combien réussis, et ce statut d'hommage aux pompiers dans lequel le personnage de l'excellent Steve McQueen insiste bien sur le fait de l'impuissance des soldats du feu face à un incendie dans un lieu qui leur est pratiquement inaccessible. Culte !