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oneosh89000
45 abonnés
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3,0
Publiée le 27 septembre 2011
"The towering inferno" , un des premiers films catastrophes réalisé sur le sol américain par John Guillermin et Irwin Allen, ne m'a semblé ni plus ni moins qu'un blockbuster qui pétarade à grande échelle. Un divertissement pour le grand public qui les séduira par son happy-end. Malgré une distribution efficace( à contrario d'un Mc Queen généralement absent), quelques scènes explosives , un scénario tiré du bouquin de "l'Aventure du Poséidon", ce long métrage enflammé n'évite malheureusement pas certains clichés et beaucoup d'autres platitudes comme les pompiers qui n'ont pas de masques pour sauver les invités par exemple, ou les scènes faciles entre mille à deviner ce à quoi il va en retourner. Ce "film-dédicace" sur le métier de pompier m'a semblé peu efficace et rares sont les scènes qui démontrent aussi magistralement le dur métier de soldat du feu.
le seul grand film ou sont réunis ces 2 gros montres du cinéma hollywoodien de ses annéees 1970 un pur film catastrophe!! paul NEWMAN l'architecte de ce grand building et le merveilleux STEVE MC QUEEN le pompier qui aura le role du sauveur...
Je me faisais une joie de revoir ce film que je n'avais pas vu depuis très longtemps et ... j'ai vite déchanté. La VF sur le DVD que j'ai acheté n'est pas l'originale et c'est apparemment aussi le cas sur l'édition blu-ray. La voix de Steve Mc Queen ne passe pas du tout et c'est limite pour Newman et Holden. Il semblerait que ce film, ainsi que d'autres "classiques", aient été re-doublés pour avoir une bande son au (mauvais) goût du jour. La Warner se fout vraiment du public et des comédiens qui ont fait les doublages originaux.
La tour infernale impose les règles du film catastrophes. Scénario en quatre parties, la présentation des personnages, la catastrophe, la lutte pour la survie, et la fin heureuse. Des personnages stéréotypés. Un héros... Subjectivement mauvais.
Cette superproduction hollywoodienne de l'année 1974, voir même des années 70, avec sa pléiade de star, le casting de rêve de l'époque, tel que Steve Mcqueen, Paul Newman, william Holden, Fred Astaire, Faye Dunaway, Robert Wagner, Robert Vaughn, O.J. Simpson et Richard Chamberlain, est excellent. L'histoire de pompier héroïque dans la plus grande tour du monde prit par un accendit, ce film catastrophe culte bénéficie de moyen colossale pour remporter la palme. Tous les moyens sont employés pour vous passer un sale moment. Malheureusement les certains effets spéciaux, et surtout les plans arrière ont mal vieilli mais pour l'époque, cela devait être une prouesse. En plus d'être réaliste, il n'oublie les sacrifice héroïques des soldats du feu et des responsables de cette tour, qui ont eu des idées de grandeur, aussi grand que leur irresponsabilité. Et qui vont en payer le prix. Du suspens, de l'action pyrotechniques incroyable, morceau de bravoure, de quoi vous en mettre plein les yeux !
Longtemps considéré comme LE film catastrophe de référence, "La Tour infernale" a particulièrement vieilli. Certes, on retrouve avec une certaine nostalgie cette Amérique des années 70 où l'on craignait davantage les promoteurs véreux que les terroristes. Et force est d'admettre que le film devait être particulièrement impressionnant lors de sa sortie en salles notamment en raison des moyens pyrotechniques mis en oeuvre et du casting de stars déployées. Une vitrine clinquante qui a visiblement servi de prétexte aux producteurs pour ne jamais développer leurs personnages. On a ainsi droit à une galerie monochromatique avec l'éternel héros, aussi innocent que naïf, qui prévient tout le monde de l'imminence de la catastrophe sans jamais être entendu (Paul Newman), au promoteur qui met tout le monde en danger pour des raisons bassement financière (Willem Holden), à la femme pot de fleur (Faye Dunaway), au gendre cupide et veule (Richard Chamberlain), au vieil escroc qui tombe amoureux (Fred Astaire) ou encore à des 2nds rôles sans intérêt avec OJ Simpson en chef de la sécurité, Robert Vaughn en sénateur ou Robert Wagner en séducteur. Seul Steve McQueen apporte de l'épaisseur à son personnage de pompier râleur et déterminé. Question scénario, rien de bien original puisqu'on a droit aux fameux avertissements dans le vide suivis par la catastrophe et sa succession de morts (en général assez peu traumatisantes) et de sauvetages (dont celui des enfants et du chat bien sûr !) pour s'achever par un happy end et une morale à peine démago. Un modèle peu glorieux (et une absence de suspens) qui est pourtant suivi, aujourd'hui encore, par de nombreuses productions similaires. Idem pour la mise en scène qui ne brille par son originalité et encore moins par son rythme. Reste un classique du cinéma hollywoodien que j'aurais sans doute jugé différemment au moment de sa sortie.
Pour monter ce film au budget titanesque, les deux plus grands studios hollywoodiens de l'époque – la Twentieth Century Fox et la Warner Bros – enterrèrent la hache de guerre et produisirent ensemble ce qui allait devenir le prototype du film-catastrophe. Le résultat est à la hauteur des moyens déployés : absolument impressionnant. Ce long-métrage au suspense haletant, bénéficiant d'un casting énorme – Steve McQueen et Paul Newman en tête – se construit comme une succession de séquences à couper le souffle, qui fonctionnent toujours aujourd'hui. Si le scénario n'est pas sans évoquer involontairement la tragédie du World Trade Center, plusieurs scènes brillantes sont filmées comme des terribles ballets de feu, conférant à ce film une atmosphère très particulière. Avec en prime, un discours interrogateur sur la nécessité des avancées techniques et de leurs potentiels dangers pour l'homme – ici sur la course à la grande hauteur des gratte-ciel. Superbement mis en scène, un régal de tous les instants.
Précurseur du film-catastrophe avec "L'aventure du Poséidon","La Tour infernale" impressionne encore 35 ans après.1974.San Francisco.Une tour de 138 étages.300 convives.Un court-circuit qui se transforme en incendie incontrôlable.Tous piégés.L'architecte concepteur du bâtiment(Paul Newman,tout en self-control)s'allie au brigadier-chef des pompiers(Steve Mc Queen,royalement laconique)pour sauver ces vies humaines.Un scénario imparable pour créer de la tension,du suspense et une pyrotechnie spectaculaire.On est même étonné que les effets(genre maquette et figurines)fassent encore illusion.C'est dire la qualité du film.Une catastrophe qui n'est pas d'origine naturelle,mais bien une résultante de la rapacité humaine.Sous couvert d'empocher un copieux pot de vin,le promoteur(William Holden,en pleine incrédulité)et son gendre(Richard Chamberlain,en parfait salaud)n'ont pas jugés utile d'ignifuger les câbles ou d'installer des portes coupe-feu...Se greffe par dessus des histoires secondaires comme celle du gentleman-mythomane(Fred Astaire,aérien comme de coutume)ou de la maîtresse courageuse de Newman(Faye Dunaway,l'élégance 70's personnifiée).On n'oubliera pas de sitôt la descente des escaliers en rappel ou l'inondation torrentielle finale.En dépit de longueurs logiques et d'un montage pas toujours heureux,"La Tour infernale"remplit son devoir de spectacle éducatif.
L'un des premiers films catastrophes à gros budget et au casting énorme. Un beau duo McQueen/Newman, de beaux effets spéciaux et une belle B.O. malgré une histoire assez simple. A voir en VO ou dans son premier doublage.
« La Tour Infernale » est un film catastrophe mémorable, aux effets spéciaux classiques mais époustouflants. Je l’ai vu, la première fois pré ado, au cinéma sur grand écran. Ce qui frappe, c'est son réalisme saisissant dans la représentation de l'incendie et les difficultés rencontrées par les pompiers face à un tel désastre, résultant d'un laxisme dans la construction d'un édifice aussi colossal. Le casting, composé de grandes stars de l'âge d'or d'Hollywood, apporte une dimension supplémentaire au film, renforçant les intrigues captivantes du scénario. Le film, bien documenté et haletant, conserve son pouvoir de fascination malgré les années. Les performances de Paul Newman et Steve McQueen sont impeccables, encadrées par des acteurs de renom comme Fay Dunaway, Jennifer Jones, Fred Astaire, William Holden et Richard Chamberlain. Le suspense est bien géré, avec des effets liés à l'incendie crédibles et une montée dramatique efficace. L'histoire intègre une dimension morale pertinente, illustrant les conséquences de la vanité et de l'appât du gain. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un classique du film catastrophe. Même si il faut avouer que l'on pouvait s'attendre a encore mieux, c'est tout de même un grand spectacle, avec une mise en scène très efficace et d'excellents effets spéciaux. De plus, ce film contient une galerie d'acteurs impressionnante (MCqueen, Newman, Holden...) Un vrai bon film tout de même.