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Votre avis sur Le Choix d'aimer ?
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Clémentine K.
Un beau film, triste, le theme de la maladie est toujours aussi émouvant.
bsalvert
Un drame pénible, qui traine en longueur, même si l'Actrice de l'époque joue dedans.
Un bon film jouant sur les sentiments, bien joué , film dur , vraiment pas façile de vivre avec un cancer même si on a des sous , bien que celà aide quand même à apporter un meilleur confort de vie
Et encore 4 étoiles pour un film avec Julia Roberts ;-) vraiment j'adore cette actrice, et dans ce film une fois de plus elle nous colle sur la peau sa sensibilité, sa popularité et son talent. L'histoire est très bien traitée et l'émotion n'est pas non plus omniprésente (heureusement ;-))...
Ayant vu ce film de nombreuses fois je peux dire honnêtement que ce film n'est pas pour les personnes qui recherchent un bonheur éternel. Le Choix d'aimer est aussi réaliste qu'un film sur un tel sujet (le cancer) peut l'être. Mais ce qu'il y a de mieux dans ce film c'est la relation qu'entretiennent les personnages. Les acteurs Julia Roberts dans le rôle de l'infirmière et Campbell Scott dans celui du jeune homme très malade sont tous deux excellents et crédibles dans leurs rôles. Il met en évidence le fait qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre et que c'est la façon dont on choisit de vivre sa vie qui est importante. L'histoire se termine d'une manière qui permet au spectateur de choisir le chemin qu'il veut suivre. Si vous voulez une fin heureuse vous pouvez dire qu'ils sont partis ensemble et qu'il a été guéri mais si vous êtes réaliste et que vous savez combien de vies le cancer tue vous savez qu'ils ont eu leur temps ensemble et qu'il finit par mourir. On ne sait pas quand on va mourir personne ne le sait. Alors vivez avec Victor vivez avec Hillary (Julia Roberts). Ces mots sont la base de cette histoire vivre le temps que vous avez vivre le jour pour le jour...
Une histoire à l'eau de rose dans laquelle on retrouve tous les clichés du genre: un personnage riche et un autre pauvre, un cultivé et un fêtard,... les deux tombent amoureux l'un de l'autre, mais un événement tragique (ici la maladie) perturbe quelque peu leur relation et permet ainsi de faire larmoyer le public sensible, mais bon, c'est le but de ce genre de film.
Ce film ne m'a pas émue, sans doute à cause du côté romance à l'eau de rose et musique trop mélo à mon goût. Beaucoup de clichés des années 90 donc, mais ça se regarde, surtout grâce à Julia Roberts, très jolie et juste. Film prévisible et vite oublié.
Romance entre un patient et son aide à domicile. Cliché : Il est riche, elle est pauvre. Il aime l'art, est intelligent, raffiné, etc. Elle n'y connaît rien et se laisse séduire par ce jeune homme... La maladie rapproche les âmes comme on dit. Blindé de clichés, quelques scènes romantiques, des espoirs, des colères et une musique toute en émotion classique. Peu de surprise, trop de clichés.
Un très joli film, trés touchant et réalisé avec beaucoup de justesse. La musique est superbe de mélancolie. Julia roberts est parfaite, mais Cambell Scott Michael son partenaire à l'écran l'est encore plus. Il est juste brillant dans son rôle de jeune malade, tout en finesse et en subtilité, une vraie performance. Merci Julia pour ce beau souvenir du passé : 1991.
Le Choix d'aimer, c'était avant tout le choix de faire ce film. Du sur mesure avoué de la part de Schumacher pour Julia Roberts. C'est un film qui n'est pas nul et qui a quelques idées, mais il est évident que ce n'était pas le genre du réalisateur de faire une telle création. Preuve principale : c'est un film clairement fracturé en deux, la première partie ne servant qu'à préparer - médiocrement - le terrain à la seconde, qui contient le propos ciblé par le film, lequel réussit l'exploit d'être inattendu (parce qu'il sort de nulle part) tout en étant prévisible dès qu'on est dedans.
Le personnage de Julia Roberts est campé en vitesse. Celui de Campbell Scott (connais pas), encore plus. En fait, les deux personnages se rencontrent par le biais d'une entrevue qui est bien pratique pour faire tenir plein de choses en peu de place, ainsi que pour se débarrasser au plus vite de la question posée par Roberts : « pourquoi m'avez-vous choisie ? » Machin Scott ne répond pas et la question restera posée pour le spectateur.
L'impulsivité et la naïveté de Roberts sont malvenues dans son rôle, et jurent avec l'aisance de l'actrice. Elle représente la jeune femme qui trouve un travail mêlant chance et désillusion (à savoir s'occuper de Machin Scott, dont le personnage est leucémique) et doit illustrer un choc des mondes ; elle vient d'un milieu ni modeste ni rupin (donc chiant à mourir) et lui est fils d'un grand industriel. Sur cette base absolument pas réchauffée et absolument pas cliché, un montage hâché va essayer de nous faire comprendre - en vain - que là n'est pas l'intérêt de l'œuvre. Je dis « en vain », car cette partie du film est très longue et, rappellez-vous, la suite est inattendue.
Le film se reprend en main par la force de nous faire oublier ses erreurs. Une fois le vif du sujet lancé, la tendresse s'installe. Machin Scott semblait bizarrement mieux jouer sans cheveux (question de charisme ? Le bandana lui allait bien...) mais le couple qu'il forme avec Roberts est agréable, faute de nous faire vibrer. On aura l'impression, tout de même, que quelque chose émane de ces contrées nord-nord-américaines, et l'ambiance nous baignera le temps de reprendre nos repères. Mais quand le générique arrive, le bain est déjà froid - heureusement que D'Onofrio apporte du bain moussant comme cadeau de Noël (aussi bien dans l'histoire que métaphoriquement) -, ou bien l'on verrait encore les erreurs du film flotter à sa surface.
septiemeartetdemi.com
Le personnage de Julia Roberts est campé en vitesse. Celui de Campbell Scott (connais pas), encore plus. En fait, les deux personnages se rencontrent par le biais d'une entrevue qui est bien pratique pour faire tenir plein de choses en peu de place, ainsi que pour se débarrasser au plus vite de la question posée par Roberts : « pourquoi m'avez-vous choisie ? » Machin Scott ne répond pas et la question restera posée pour le spectateur.
L'impulsivité et la naïveté de Roberts sont malvenues dans son rôle, et jurent avec l'aisance de l'actrice. Elle représente la jeune femme qui trouve un travail mêlant chance et désillusion (à savoir s'occuper de Machin Scott, dont le personnage est leucémique) et doit illustrer un choc des mondes ; elle vient d'un milieu ni modeste ni rupin (donc chiant à mourir) et lui est fils d'un grand industriel. Sur cette base absolument pas réchauffée et absolument pas cliché, un montage hâché va essayer de nous faire comprendre - en vain - que là n'est pas l'intérêt de l'œuvre. Je dis « en vain », car cette partie du film est très longue et, rappellez-vous, la suite est inattendue.
Le film se reprend en main par la force de nous faire oublier ses erreurs. Une fois le vif du sujet lancé, la tendresse s'installe. Machin Scott semblait bizarrement mieux jouer sans cheveux (question de charisme ? Le bandana lui allait bien...) mais le couple qu'il forme avec Roberts est agréable, faute de nous faire vibrer. On aura l'impression, tout de même, que quelque chose émane de ces contrées nord-nord-américaines, et l'ambiance nous baignera le temps de reprendre nos repères. Mais quand le générique arrive, le bain est déjà froid - heureusement que D'Onofrio apporte du bain moussant comme cadeau de Noël (aussi bien dans l'histoire que métaphoriquement) -, ou bien l'on verrait encore les erreurs du film flotter à sa surface.
septiemeartetdemi.com
N'évitant pas les clichés et stéréotypes du genre, ce film parvient toutefois à nous émouvoir, notamment grâce aux jeux de ses acteurs. Le sujet est propice à nous faire verser une petite larme, donnons-nous en à coeur joie. Je l'avais d'abord vu très jeune et il m'avait bouleversée. En vieillissant, j'ai apparemment dû apprendre à me durcir. Cela reste une belle comédie romantico-dramatique.
Probablement l'un des meilleurs rôles de Julia Roberts et l'une des plus belles histoires d'amour. Beaucoup d'émotion, impossible de ne pas être touché. A voir et à revoir.
Film plutôt émouvant et plutôt travaillé pour un film des années 90 !! Alors certes les personnages et le scénario sont un peu stéréotypés (comme bien souvent dans les vieilles comédies dramatiques !!) mais ce qui est plaisant dans ce film c'est que la maladie est très bien représentée et certaines scènes sont très dures et très prenantes et cela aide à s'attacher aux personnages et prier que leur romance perdure !! La fin est émouvante et pas trop clichée et franchement j'ai beaucoup apprécié ce film alors que j'avais des à priori !! Comme quoi il faut toujours tenter...
Un très beau film sur la compassion, l'amour, le partage et l'échange que nous offre ici ce magnifique duo composé de l'une des meilleures actrices au monde, Julia Roberts et du touchant Campbell Scott. La réussite du film est justement du à leur émouvante et magistrale interprétation. Un an après le grand Pretty Woman, on retrouve ici une Julia Roberts, tout aussi rayonnante, ayant quelques points communs avec le personnage de ce dernier, tant physiquement qu'au niveau du caractère ben trempé. Le Choix d'aimer décrit simplement une rencontre inattendue mais magnifique de deux êtres qui auront autant à s'apporter à l'un qu'à l'autre... l'un est malade et cherche à vivre ces derniers instants avec l'amour, l'autre cherche désespérément l'homme de sa vie. C'est donc avec des yeux ébahis que l'on suit la naissance de leur histoire démarrant par un accord professionnel qui ira jusqu'à l'éclosion d'une profonde et sincère histoire d'amour, non sans traverser de nombreux obstacles principalement du à la maladie. C'est sincère, c'est beau et c'est émouvant sans l'être trop... Malgré une fin un peu trop brutale et qui laisse place à une trop grande liberté d'interprétation, donc un tantinet décevante, Le Choix d'aimer reste un magnifique film, basé sur des sentiments remplis de sincérité, qui ne peut qu'éblouir.
A l'image de la vie, un film très émouvant mais juste ce qu'il faut d'émotion pour ne pas tomber dans le mélodrame trop sirupeux. Julia Roberts se révèle une fois de plus surprenante ; Superbement réalisé par Joel Schumacher.
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