Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Une émotion brute de décoffrage, assenée sans finesse spéciale, mais sans roublardise aucune. Ouvrier enthousiaste et consciencieux, Kominsky témoigne d'une énergie étonnante à exploiter la matière première du scénario (trauma, adolescence) et tient perpétuellement à la faire partager avec son public.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
par Philippe Piazzo
Tiré d'un best-seller de Janet Fitch, ce film réunit quelques actrices formidables (dont la jeune Alison Lohman particulièrement remarquée en fille de Nicolas Cage dans le récent Les Associés)... et une accumulation de situations mélodramatiques déconcertantes (...) Trop... c'est parfois vraiment trop.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Ce ne serait qu'un mélo surchargé d'effets appuyés, typiquement hollywoodien, sans ce couple singulier de mère et fille, sortes d'amazones captivantes.
MCinéma.com
par Camille Brun
Il faut dire que les différents épisodes et les familles qui accueillent Astrid sont l'occasion pour l'équipe du film d'amasser les clichés et surtout d'énoncer, sans en avoir l'air, quelques théories fumeuses et rances (...) On sait tout de même gré au réalisateur de ne pas en avoir rajouté dans le tire-larmes alors que le sujet s'y prêtait terriblement ! Même chose pour les actrices.
Positif
par Grégory Valens
(...) je pense avoir vu assez de portraits d'adolescence (ratés ou réussis) pour affirmer que Laurier blanc n'offre pas le moindre intérêt narratif ou cinématographique. Ce qui peut intéresser se limite à l'épaisseur de trois des personnages et à la performance des comédiennes les interprétant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Mathieu Caratier
Laurier blanc est un concours de poisse réglé au millimètre près pour inonder les yeux et susciter d'édifiants débats télévisés de deuxième partie de soirée. Mais au milieu de cette débauche de pathos, ce sont les actrices qui font (remarquablement) passer la pilule (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Sous ses dehors de mélo féminin un rien mollasson, "Laurier Blanc" se révèle une eau-forte psychologique (...) Outre Michelle Pfeiffer ressuscitée en monstre de froideur et la poignante silhouette de fausse potiche sacrifiée dessinée par Renée Zellweger, c'est la cruauté presque sans appel des rapports humains qui justifie la découverte de ce film assez éprouvant (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
Peter Kosminsky n'est pas Douglas Sirk mais, malgré ses lourdeurs et une crédibilité discutable, son mélo familial parvient à maintenir l'attention de bout à bout. En grande partie grâce à une nouvelle venue du nom d'Alison Lohman (...) Mais la plus grande surprise vient de Michelle Pfeiffer, dont on ne connaissait guère la facette vénéneuse.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Laurier blanc est un drame élégant et singulier, émouvant, bien que trop dilué. Kosminsky ne cherche pas la facilité et laisse ses personnages dévoiler progressivement leurs cartes. Si les joueurs sont bons, on regrette qu'en définitive, la partie n'ait pas été plus serrée.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film se veut moderne, voire branché, filmé caméra à l'épaule, multipliant les flash-backs chicos et mettant en scène des héroïnes (trop) sublimes (dont Michelle Pfeiffer en artiste criminelle). Mais l'accumulation de situations tragiques, le déterminisme mécanique du récit, sent la recette, l'esbroufe hollywoodienne propice au numéro d'actrice.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'utilisation récurrente d'une technique pseudo moderne, la caméra à l'épaule, ne suffit pas à masquer la grossière accumulation de désastres qui émaillent ce mélo accablant et accablé, dont l'unique originalité est de nous démontrer que beauté et blondeur ne sont pas forcément synonymes d'insouciance et de plages de sable blanc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Ce mélo sans goût a manifestement été aménagé tout exprès pour ses trois actrices-stars (...) A chacune son rôle à performance. L'intrigue, digne de la plus larmoyante chanson réaliste, semble n'être que prétexte à une série de sketches sur mesure (dont certains sont réussis, mais ne suffisent pas à réveiller l'intérêt) (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Une émotion brute de décoffrage, assenée sans finesse spéciale, mais sans roublardise aucune. Ouvrier enthousiaste et consciencieux, Kominsky témoigne d'une énergie étonnante à exploiter la matière première du scénario (trauma, adolescence) et tient perpétuellement à la faire partager avec son public.
Aden
Tiré d'un best-seller de Janet Fitch, ce film réunit quelques actrices formidables (dont la jeune Alison Lohman particulièrement remarquée en fille de Nicolas Cage dans le récent Les Associés)... et une accumulation de situations mélodramatiques déconcertantes (...) Trop... c'est parfois vraiment trop.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce ne serait qu'un mélo surchargé d'effets appuyés, typiquement hollywoodien, sans ce couple singulier de mère et fille, sortes d'amazones captivantes.
MCinéma.com
Il faut dire que les différents épisodes et les familles qui accueillent Astrid sont l'occasion pour l'équipe du film d'amasser les clichés et surtout d'énoncer, sans en avoir l'air, quelques théories fumeuses et rances (...) On sait tout de même gré au réalisateur de ne pas en avoir rajouté dans le tire-larmes alors que le sujet s'y prêtait terriblement ! Même chose pour les actrices.
Positif
(...) je pense avoir vu assez de portraits d'adolescence (ratés ou réussis) pour affirmer que Laurier blanc n'offre pas le moindre intérêt narratif ou cinématographique. Ce qui peut intéresser se limite à l'épaisseur de trois des personnages et à la performance des comédiennes les interprétant.
Première
Laurier blanc est un concours de poisse réglé au millimètre près pour inonder les yeux et susciter d'édifiants débats télévisés de deuxième partie de soirée. Mais au milieu de cette débauche de pathos, ce sont les actrices qui font (remarquablement) passer la pilule (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sous ses dehors de mélo féminin un rien mollasson, "Laurier Blanc" se révèle une eau-forte psychologique (...) Outre Michelle Pfeiffer ressuscitée en monstre de froideur et la poignante silhouette de fausse potiche sacrifiée dessinée par Renée Zellweger, c'est la cruauté presque sans appel des rapports humains qui justifie la découverte de ce film assez éprouvant (...)
Zurban
Peter Kosminsky n'est pas Douglas Sirk mais, malgré ses lourdeurs et une crédibilité discutable, son mélo familial parvient à maintenir l'attention de bout à bout. En grande partie grâce à une nouvelle venue du nom d'Alison Lohman (...) Mais la plus grande surprise vient de Michelle Pfeiffer, dont on ne connaissait guère la facette vénéneuse.
aVoir-aLire.com
Laurier blanc est un drame élégant et singulier, émouvant, bien que trop dilué. Kosminsky ne cherche pas la facilité et laisse ses personnages dévoiler progressivement leurs cartes. Si les joueurs sont bons, on regrette qu'en définitive, la partie n'ait pas été plus serrée.
L'Humanité
Le film se veut moderne, voire branché, filmé caméra à l'épaule, multipliant les flash-backs chicos et mettant en scène des héroïnes (trop) sublimes (dont Michelle Pfeiffer en artiste criminelle). Mais l'accumulation de situations tragiques, le déterminisme mécanique du récit, sent la recette, l'esbroufe hollywoodienne propice au numéro d'actrice.
Les Inrockuptibles
L'utilisation récurrente d'une technique pseudo moderne, la caméra à l'épaule, ne suffit pas à masquer la grossière accumulation de désastres qui émaillent ce mélo accablant et accablé, dont l'unique originalité est de nous démontrer que beauté et blondeur ne sont pas forcément synonymes d'insouciance et de plages de sable blanc.
Télérama
Ce mélo sans goût a manifestement été aménagé tout exprès pour ses trois actrices-stars (...) A chacune son rôle à performance. L'intrigue, digne de la plus larmoyante chanson réaliste, semble n'être que prétexte à une série de sketches sur mesure (dont certains sont réussis, mais ne suffisent pas à réveiller l'intérêt) (...)