Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Qui plus est, Fanny Ardant, qui incarne le personnage, s'avère infiniment convaincante, troublante, notamment dans quelques scènes décrivant le désarroi et la déchéance de la diva, où Zefirelli prouve qu'il a retenu quelques-unes des leçons de son maître Luchino Visconti.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Aden
par Philippe Piazzo
La grande chance de Franco Zeffirelli, spécialiste de films aussi creux que décoratifs (...), s'appelle Fanny Ardant. L'énergie qu'elle met à interpréter le mythe Callas tout en restant elle-même est proprement étonnante et réjouissante. Ni le scénario (...) improbable (...), ni la mise en scène ampoulée n'atteignent son courage et sa flamme.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
On comprend que Zeffirelli (...) ait voulu éviter la biographie plate, toujours approximative. Malheureusement il s'est fourvoyé dans le mélo. Reste l'ardente Ardant (...).
Le Parisien
par Alain Grasset
La comédienne, qui a mis dans ce rôle toute sa fougue et sa sensibilité, n'est pour rien dans le peu d'émotion qui transparaît.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Rémy Batteault
En choisissant de lui rendre hommage via cette fiction poussive, et dont la morale prête à sourire par sa candeur, le réalisateur rate son coup. Les seuls moments bouleversants du film sont ceux qui mettent en lumière l'immense solitude de la diva, bien mal entourée, et minée par la trahison d'Onassis, l'amour de sa vie qui lui préfèrera Jackie Kennedy.
Première
par Olivier De Bruyn
Seule la subtile prestation des comédiens - et en premier lieu celle de Fanny Ardant, remarquable - sauve l'ensemble du ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Bernard Génin
Il faut se forcer pour y croire. Il est difficile d'oublier l'actrice sous le personnage. Reste une approche qui peut intéresser ceux qui ignorent tout de la cantatrice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Olivier Rohe
On l'aura vite compris, il n'y a strictement rien à retenir de ce navet si ce n'est sa bande originale, si ce n'est surtout qu'on espère ne plus jamais revoir de variations biographiques sur un personnage peut-être impropre aux adaptations cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
De cet épisode passionnant, Franco Zeffirelli ne tire rien, si ce n'est une série de clichés sur la diva au tempérament exacerbé, aux exigences illimitées, aux caprices d'enfant et à l'intégrité irréprochable. Tout cela est peut-être exact, mais n'aboutit jamais à la mise en place d'un personnage de cinéma. C'est une figure caricaturale de l'artiste démiurge qui, au lieu de cerner l'individu Maria Callas, lui devient étrangère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Et l'on est malheureux pour Fanny Ardant, grande comédienne, qui fut déjà Callas au théâtre (dans " Masterclass "), et qui s'est, à l'évidence, prêtée ici avec flamme au jeu impossible de l'identification. Il reste les enregistrements, authentiques. On en entend des bribes. Mieux vaut, dès lors, écouter l'intégralité des disques, en rêvant à la vraie Callas !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Franco Zeffirelli exploite ce passé glorieux à l'occasion du vingtième anniversaire de la mort de la diva en évoquant les dernières années de la recluse, dans un Paris de studio qu'on croirait tout droit sorti de "La Bohème".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
Mais la lourdeur du scénario n'est rien, ici, en regard de celle de la mise en scène, si vieillotte qu'elle paraît elle aussi dater de 1977. Seule Fanny Ardant, émouvante dans les quelques moments où le réalisateur lui concède un peu de naturel, sauve le film d'un ratage total.
L'Humanité
Qui plus est, Fanny Ardant, qui incarne le personnage, s'avère infiniment convaincante, troublante, notamment dans quelques scènes décrivant le désarroi et la déchéance de la diva, où Zefirelli prouve qu'il a retenu quelques-unes des leçons de son maître Luchino Visconti.
Aden
La grande chance de Franco Zeffirelli, spécialiste de films aussi creux que décoratifs (...), s'appelle Fanny Ardant. L'énergie qu'elle met à interpréter le mythe Callas tout en restant elle-même est proprement étonnante et réjouissante. Ni le scénario (...) improbable (...), ni la mise en scène ampoulée n'atteignent son courage et sa flamme.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
On comprend que Zeffirelli (...) ait voulu éviter la biographie plate, toujours approximative. Malheureusement il s'est fourvoyé dans le mélo. Reste l'ardente Ardant (...).
Le Parisien
La comédienne, qui a mis dans ce rôle toute sa fougue et sa sensibilité, n'est pour rien dans le peu d'émotion qui transparaît.
MCinéma.com
En choisissant de lui rendre hommage via cette fiction poussive, et dont la morale prête à sourire par sa candeur, le réalisateur rate son coup. Les seuls moments bouleversants du film sont ceux qui mettent en lumière l'immense solitude de la diva, bien mal entourée, et minée par la trahison d'Onassis, l'amour de sa vie qui lui préfèrera Jackie Kennedy.
Première
Seule la subtile prestation des comédiens - et en premier lieu celle de Fanny Ardant, remarquable - sauve l'ensemble du ridicule.
Télérama
Il faut se forcer pour y croire. Il est difficile d'oublier l'actrice sous le personnage. Reste une approche qui peut intéresser ceux qui ignorent tout de la cantatrice.
Chronic'art.com
On l'aura vite compris, il n'y a strictement rien à retenir de ce navet si ce n'est sa bande originale, si ce n'est surtout qu'on espère ne plus jamais revoir de variations biographiques sur un personnage peut-être impropre aux adaptations cinématographiques.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
De cet épisode passionnant, Franco Zeffirelli ne tire rien, si ce n'est une série de clichés sur la diva au tempérament exacerbé, aux exigences illimitées, aux caprices d'enfant et à l'intégrité irréprochable. Tout cela est peut-être exact, mais n'aboutit jamais à la mise en place d'un personnage de cinéma. C'est une figure caricaturale de l'artiste démiurge qui, au lieu de cerner l'individu Maria Callas, lui devient étrangère.
Les Echos
Et l'on est malheureux pour Fanny Ardant, grande comédienne, qui fut déjà Callas au théâtre (dans " Masterclass "), et qui s'est, à l'évidence, prêtée ici avec flamme au jeu impossible de l'identification. Il reste les enregistrements, authentiques. On en entend des bribes. Mieux vaut, dès lors, écouter l'intégralité des disques, en rêvant à la vraie Callas !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Franco Zeffirelli exploite ce passé glorieux à l'occasion du vingtième anniversaire de la mort de la diva en évoquant les dernières années de la recluse, dans un Paris de studio qu'on croirait tout droit sorti de "La Bohème".
Zurban
Mais la lourdeur du scénario n'est rien, ici, en regard de celle de la mise en scène, si vieillotte qu'elle paraît elle aussi dater de 1977. Seule Fanny Ardant, émouvante dans les quelques moments où le réalisateur lui concède un peu de naturel, sauve le film d'un ratage total.