Sincèrement, un film indémodable ! Il mélange à la fois l'humour, le fantastique, l'humour noir et même pour les plus jeune un peu d'épouvante... La bande son est vraiment bien choisie, l'histoire est bien-sur prévisible dès le moment où le petit fils de l'antiquaire dit qu'il ne faut que Gizmo (le mogwaï) ne doit pas manger après minuit, ni être au contact de l'eau ni du soleil, on sait très bien que cela arrivera mais l'enchaînement de gags (gizmo prit pour cible aux fléchettes...) ou de scènes cultes (scène de la cuisine) nous surprenne pour à la fin donner un résultat original pour petits et grands ! Puis bon soyons sincère, le petit Gizmo est pour grand chose dans l'appréciation de ce film, il est vraiment trop mignon !!!
Mais quel est le guignol qui a mis 0 pour se film ? A un pilier du monde fantastique ? il a mis 0 à ratatouille aussi... N'importe quoi. heureusement qu'il y a la majorité des gens qui ont les pieds sur terre ! Rein que gizmo en lui même vaut déjà 2 étoiles ! I.N.C.O.N.T.O.U.R.N.A.B.L.E !
Un classique! Steven Spielberg et ses effroyables Gremlins! Jouissif. Si les Mogwai sont d’adorables créatures, sa version démoniaque vous fera frissonner.
En 1984, Joe Dante sort « Gremlins »... un film de Noël au climat inhabituel, qui va devenir immédiatement un immense classique du genre. Dès les premières images, on se retrouve plongé dans l'univers douillet d'une petite ville américaine, endormie sous une bonne couche de neige. Un père de famille rentre chez lui après avoir trouvé un « Mogwai », dans la boutique d'un étrange antiquaire asiatique. Cet animal bizarre... adorable petite boule de poils réserve pourtant son lot de surprises et la nuit de Noël ne sera peut-être pas aussi calme que d'habitude. Entre tendresse, humour débridé et une surprenante touche de fantastique (parfois à la limite du film d'horreur), le scénario se déguste comme un gros gâteau au chocolat et révèle bon nombre de scènes devenues cultes avec le temps. La séance de cinéma est sans doute la meilleure mais les clins d’œils cinématographiques sont tellement nombreux qu'il serait bien difficile d'en faire toute la liste ici. Évidemment, ce film (très marqué « années 80 ») commence a ployer sous le nombre des années, notamment au niveau des effets spéciaux. Ceci dit, son capital sympathie et sa fraîcheur sont tels qu'il reste très agréable à visionner. Il faut donc impérativement le faire découvrir à nos chers enfants (pas trop jeunes tout de même) pour faire perdurer la magie. Donc, à vos magnétoscopes, je compte sur vous !
Œuvre la plus connue de la filmographie de Joe Dante, Gremlins est un film toujours aussi génial plus de trente ans après sa sortie. L’histoire est prenante de bout en bout que ça soit dans la première partiespoiler: montrant l’adoption du gentil Gizmo par Billy ou la secondespoiler: montrant les ravages que causent les gremlins . Joe Dante arrive à mélanger le conte pour enfants avec sa situation au moment de Noël, le personnage mignon qu’est Gizmo et une narration l’évoquantspoiler: (voix-off d’introduction et de conclusion dans l’esprit des "Il était une fois", certains personnages sont des archétypes comme Madame Deagle qui rappelle la méchante voisine de Dorothy dans Le Magicien d’Oz ou Monsieur Futterman qui est un râleur très patriotique et malgré tout sympathique) avec des éléments plus adultes comme certains thèmesspoiler: (expropriation, dépressions liées aux fêtes, évocation par M. Wing de l’aspect destructeur de l’Occident dans la séquence finale…) , l’aspect horrifique des Gremlins et surtout son humour totalement ravageurspoiler: (qui fait que l’on est plus excité que terrifié par les Gremlins) . Joe Dante offre un pur divertissement complètement maîtrisé et totalement décomplexé qui le transforme en une sorte de double de Steven Spielberg en version vilain garnement. En effet, Joe Dante est un féru de cinéma et parsème son film de références au réalisateur d’E.T. qui est ici producteur délégué et dont la société Amblin Entertainment est coproductrice du long métrage avec la Warner Bros.spoiler: : l’affiche de Rockn’ Ricky Rialto parodie la graphie et le personnage d’Indiana Jones, un cinéma affiche les titres A boy’s life (titre provisoire d’E.T. l’extra-terrestre) et Watch the skies (celui de Rencontres du troisième type), un gremlin arrache des câble téléphoniques en disant "Téléphone maison" (réplique célèbre d’E.T.) et même une apparition du maître passant dans un fauteuil électrique en train de regarder Poltergeist (qu’il n’a officiellement qu’écrit et produit mais dont la paternité de la réalisation, officiellement signée Tobe Hooper, lui est régulièrement plus ou moins attribuée )… L’aspect cinéphile de Joe Dante apparait aussi par l’omniprésence de la télévision et par la diffusion par ce biais d’une multitude de classiquespoiler: : La Vie est belle (film de Noël traditionnel aux États-Unis), L’Invasion des profanteurs de sépultures (avec ses les œufs annonçant l’état de chrysalide des gremlins), Pour plaire à sa belle (dont la séquence de conduite d’automobile inspirera Gizmo à la fin), Orphée… À tout cela s’ajoutent de multiples différences à divers filmsspoiler: (Planète interdite,La Machine à remonter le temps, Flashdance, James Bond, Massacre à la tronçonneuse, Star wars…) dont la plus visible est la séquence où les gremlins regardent au cinéma Blanche-Neige et les sept nains . En outre, l’aspect excitant du scénario de Chris Columbus et la réalisation de Joe Dante sont renforcés par des effets spéciaux extraordinaires (on croit dur comme fer, même de nos jours, à Gizmo et aux gremlins) et à la musique. Avec cette dernière, Jerry Goldsmith signe une de ses partitions les plus célèbres possédant plusieurs thèmes marquants comme celui de Madame Deagle et surtout ceux de Gizmo et des gremlins qui restent très longtemps en mémoire après la diffusion. Film très marquant pour tout enfant ayant grandi dans les années 80 et 90, Gremlins est un véritable chef-d’œuvre de la comédie horrifique et familiale (association assez rare) qui est toujours aussi plaisant après de multiples visions et dont l’efficacité est toujours aussi puissante de nos jours.
Un classique qui fait du bien à revoir, et aussitôt, tous les souvenirs d'enfance qui remontent à la surface. Un conte fantastique familial, avec le gentil Gizmo trop chou, et les méchants Gremlins qui sèment la pagaille dans toute la ville le soir de Noël. C'est rythmé, c'est fun, et... délicieusement "vintage".
Un horrible conte de Noel de la part de Joe Dante. Ca démarre comme un film enfantin avec la découverte de Guizmo le Mogwaï, un des personnage culte des années 80 et cela se transforme peu à peu en cauchemar quand ses rejetons les ignobles Gremlins vont semer la terreur dans une petite ville américaine. C'est drôle et foncièrement méchant, du coup j adore et cela reste toujours une bonne première expérience horrifique pour les enfants, pour le coup cela n'a pas pris une ride.
un super film je trouve une histoire simple mais on s'attache facilement aux personnages surtout a Gizmo ! un film qui plait au petit comme au grand je pense !
Gremlins commence comme un gentil conte de Noël. Le jeune Billy se voit offrir spoiler: une petite boule de fourrure, mi-écureuil, mi-koala, au regard tendre prénommée Gizmo. Il s’agit d’un Mogwai, spoiler: un animal venu de l’espace (?). Le pire peut arriver si on enfreint les règles : spoiler: nul contact avec l’eau, lumières tamisées et jamais de repas après minuit. Un spoiler: verre d’eau se renverse et c’est la catastrophe à savoir la naissance des Gremlins, des créatures diaboliques, farceuses et gloutonnes. Elles vont semer le désordre et la panique dans la petite ville tranquille de Billy. L’humour féroce vire à la satire de notre société. Selon moi, la seconde partie où le film côtoie l’horreur, sans jamais tomber dans le gore : public familial oblige, est la plus intéressante. Cependant, même là, ça manque un peu d’intensité, surtout comparé aux productions plus récentes. De plus, les créatures animatroniques ont assez mal vieilli. Dans certains plans elles semblent figées, insuffisamment ou maladroitement animées. Enfin, le personnage de Billy me paraît assez transparent, sans personnalité. Il n’en reste pas moins qu’avec ce film devenu culte, Joe Dante nous offre un beau cadeau de Noël. J’ai encore en tête la BO du film et l’affiche de l’époque assez mystérieuse (une boîte entrouverte laissant apparaître deux pattes en peluche).
Refusant le moralisme usuel du film familial, on se demande encore comment "Gremlins" a pu rester aussi populaire avec un tel souffle anarchique. Il faut croire que beaucoup de sales gosses aiment, comme Joe Dante, envoyer valser le conformisme.
On ne présente plus les gremlins : ces petites bêtes mignonnes qui deviennent assez dangereuse quand on ne respecte pas les règles. Une réalisation Joe Dante (L’aventure intérieur) et une production Steven Spielberg donne lieu à une succession des gags hilarants qui vont plaire au petit comme au grand.
surement le meilleur film fantastique de joe dante, qui créea non seulement un mythe du cinemas mais aussi une icone pour les enfants qui adorèrent la bouille de ce cher gizmo inoubliable.