Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Socias
OFNI (objet filmique non identifié) venu du froid, entre polar névrotique et fantastique freudien.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
Sleepwalker est un film trop long. La séquence superflue (...) s'avère d'autant plus frustrante qu'elle se situe après le générique de fin. (...) Néanmoins, le premier long métrage de Johannes Runeborg témoigne d'une maîtrise et d'une originalité qui mérite l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par F.Fa
Ne montrant que le strict minimum, refusant le paranormal facile, le film s'avère un polar totalement imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L'intérêt de l'intrigue se perd à mesure que cette froideur maniériste étouffe tout ce qui fait l'intérêt du cinéma, depuis l'incarnation de personnages jusqu'à son lien avec la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) par sa facture assez réaliste, son environnement, ses décors et ses personnages plaisamment médiocres, le film convainc presque de bout en bout. Il n'en va pas de même pour ce qui est des ressorts dramatiques ou angoissants, un peu sréréotypés et systématiques.
MCinéma.com
par Marc Arlin
Plus que dans le maintien du suspense, la réussite du film tient dans la maîtrise évidente du réalisateur. Indéniablement, Johannes Runeborg sait créer une ambiance, devant laquelle le scénario n'est pas toujours à la hauteur.
MCinéma.com
par Marc Arlin
Plus que dans le suspense, la réussite du film tient dans la maîtrise évidente du réalisateur. Indéniablement, Johannes Runeborg sait créer une ambiance, devant laquelle le scénario n'est pas toujours à la hauteur. (...) une bonne surprise et un honnête thriller.
Première
par Olivier De Bruyn
Gentiment parano et très suédois, ce petit film bizarre mâtine l'ambiance thriller de teintes neigeuses inédites. Hélas, le scénario est si maladroitement alambiqué qu'on ne frissonne jamais. Re-hélas, l'humour gore de la chose est pataud et les comédiens souvent bien mous.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Un polar suédois inégal mais joliment tordu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Baptiste Piégay
Sur ce scénario qu'on jurerait volé à X-files, le réalisateur semble inspirer sa mise en scène de Derrick : lumières glauques, acteurs monolithiques, intentions lisibles donc sans effet, aussi peu d'inventivité formelle que de sens dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) un médiocre thriller bassement manipulateur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) scénario épluché jusqu'à en être anéanti, coups de théâtre aux forceps accumulés sans grâce, trompes l'œil dévitalisés, fausses fins blafardes. L'attirail écœure, le film, à force de se vouloir plus malin qu'il n'est, devient arrogant (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) le film, à force de se vouloir plus malin qu'il n'est, devient arrogant, s'emploie de manière masochiste à gâcher tout ce qui tient du plaisir pur de construire et de participer à une histoire à clés, sans ironie ni arrières-pensées.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Ecran Fantastique
OFNI (objet filmique non identifié) venu du froid, entre polar névrotique et fantastique freudien.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Sleepwalker est un film trop long. La séquence superflue (...) s'avère d'autant plus frustrante qu'elle se situe après le générique de fin. (...) Néanmoins, le premier long métrage de Johannes Runeborg témoigne d'une maîtrise et d'une originalité qui mérite l'intérêt.
L'Obs
Ne montrant que le strict minimum, refusant le paranormal facile, le film s'avère un polar totalement imprévisible.
Le Monde
L'intérêt de l'intrigue se perd à mesure que cette froideur maniériste étouffe tout ce qui fait l'intérêt du cinéma, depuis l'incarnation de personnages jusqu'à son lien avec la réalité.
Les Inrockuptibles
(...) par sa facture assez réaliste, son environnement, ses décors et ses personnages plaisamment médiocres, le film convainc presque de bout en bout. Il n'en va pas de même pour ce qui est des ressorts dramatiques ou angoissants, un peu sréréotypés et systématiques.
MCinéma.com
Plus que dans le maintien du suspense, la réussite du film tient dans la maîtrise évidente du réalisateur. Indéniablement, Johannes Runeborg sait créer une ambiance, devant laquelle le scénario n'est pas toujours à la hauteur.
MCinéma.com
Plus que dans le suspense, la réussite du film tient dans la maîtrise évidente du réalisateur. Indéniablement, Johannes Runeborg sait créer une ambiance, devant laquelle le scénario n'est pas toujours à la hauteur. (...) une bonne surprise et un honnête thriller.
Première
Gentiment parano et très suédois, ce petit film bizarre mâtine l'ambiance thriller de teintes neigeuses inédites. Hélas, le scénario est si maladroitement alambiqué qu'on ne frissonne jamais. Re-hélas, l'humour gore de la chose est pataud et les comédiens souvent bien mous.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un polar suédois inégal mais joliment tordu.
Cahiers du Cinéma
Sur ce scénario qu'on jurerait volé à X-files, le réalisateur semble inspirer sa mise en scène de Derrick : lumières glauques, acteurs monolithiques, intentions lisibles donc sans effet, aussi peu d'inventivité formelle que de sens dramatique.
Chronic'art.com
(...) un médiocre thriller bassement manipulateur.
Urbuz
(...) scénario épluché jusqu'à en être anéanti, coups de théâtre aux forceps accumulés sans grâce, trompes l'œil dévitalisés, fausses fins blafardes. L'attirail écœure, le film, à force de se vouloir plus malin qu'il n'est, devient arrogant (...)
Urbuz
(...) le film, à force de se vouloir plus malin qu'il n'est, devient arrogant, s'emploie de manière masochiste à gâcher tout ce qui tient du plaisir pur de construire et de participer à une histoire à clés, sans ironie ni arrières-pensées.