Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dans La sixième victime, tout n'est que références à un inconscient culturel, mais le film s'en extirpe en proposant de nouvelles perspectives à un genre ultra-codifié. Ainsi un bon thriller devient un inattendu film existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Mélangeant les genres, alternant la froideur contenue des dialogues et le "lyrisme" débordant de certaines scènes de meurtre, cette chasse au serialkiller veut aussi nous entraîner dans un dédale sentimental et psychologique. Car l'enquête de l'inspecteur Cho lui fait croiser la route d'une belle jeune femme. Ça repose, même si l'on reste perplexe.
Quelques scènes visuellement splendides élèvent le film, également bien servi par ses deux interprètes, qui partagent de beaux moments d'intimité. Malheureusement, la fin sur le mode " vous n'aviez rien compris, on vous a bien eus " (...) nous rappelle que le film court après ses grands frères américains.
Novaplanet.com
Dans La sixième victime, tout n'est que références à un inconscient culturel, mais le film s'en extirpe en proposant de nouvelles perspectives à un genre ultra-codifié. Ainsi un bon thriller devient un inattendu film existentiel.
Aden
Mélangeant les genres, alternant la froideur contenue des dialogues et le "lyrisme" débordant de certaines scènes de meurtre, cette chasse au serialkiller veut aussi nous entraîner dans un dédale sentimental et psychologique. Car l'enquête de l'inspecteur Cho lui fait croiser la route d'une belle jeune femme. Ça repose, même si l'on reste perplexe.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Quelques scènes visuellement splendides élèvent le film, également bien servi par ses deux interprètes, qui partagent de beaux moments d'intimité. Malheureusement, la fin sur le mode " vous n'aviez rien compris, on vous a bien eus " (...) nous rappelle que le film court après ses grands frères américains.
Première
Plus calme mais aussi plus gore et plus sadique que ses modèles américains (...), le film y gagne en mystère ce qu'il perd en spectaculaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Les amateurs de viande froide et de suspense réchauffé (et néanmoins chic) passeront un affreux bon moment.