Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Sans nul doute, cette intense relation au cinéma s'apparente-t-elle à un jeu pour les jumeaux (Pang). Quoi de mieux qu'un objet se modifiant et se stratifiant en fonction d'une horloge humaine ? Le résultat, 80 minutes sur 100 sans dialogues, est proche d'une épure en apesanteur. Dans ce cinéma magico-lyrique, on sentirait presque l'air passer.
C'est ce mélange de polar dur sur fond de réalisme social et de romance, intégré à un développement profondément bouddhiste, qui en fait un film à part dans le monde pourtant chargé des néo-polars. A ne pas manquer donc.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Peu importe si l'histoire devient confuse lorsque les cinéastes décident de mélanger les sous intrigues entre elles, l'idée principale consiste ici à brosser le portrait pathétique d'un être irrécupérable dont la tentative de rédemption sera en fait un échec.
Banale intrigue que cette rédemption d'un mauvais garçon. Mais ce film tente de moderniser le genre en supprimant presque tous les dialogues - le héros est muet - et en se transformant en véritable exercice de style. Les scènes de violence sont spectaculaires, parfois pompées mais avec brio.
La vacuité du moindre effet fait écho à cette architecture sans horizon, où les réels enjeux scénaristiques -une fille, une vengeance- débarquant au bout d'une heure de métrage, font l'effet de graines de récit germées au hasard sur un terrain vague et cultivées bon gré mal gré par des réalisateurs davantage occupés à organiser un certain chaos visuel où, puisque tout reste à l'état informe, rien ne pousse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Sans nul doute, cette intense relation au cinéma s'apparente-t-elle à un jeu pour les jumeaux (Pang). Quoi de mieux qu'un objet se modifiant et se stratifiant en fonction d'une horloge humaine ? Le résultat, 80 minutes sur 100 sans dialogues, est proche d'une épure en apesanteur. Dans ce cinéma magico-lyrique, on sentirait presque l'air passer.
Mad Movies
C'est ce mélange de polar dur sur fond de réalisme social et de romance, intégré à un développement profondément bouddhiste, qui en fait un film à part dans le monde pourtant chargé des néo-polars. A ne pas manquer donc.
Obejctif-Cinema.com
Peu importe si l'histoire devient confuse lorsque les cinéastes décident de mélanger les sous intrigues entre elles, l'idée principale consiste ici à brosser le portrait pathétique d'un être irrécupérable dont la tentative de rédemption sera en fait un échec.
MCinéma.com
Un catalogue de possibilités pour raconter une bien mince histoire, un " book " qui impressionne mais s'avère finalement inoffensif.
Première
Le style assuré donne envie de voir ce que les rusés frères ont vraiment dans leur jeu. La réponse est pour bientôt.
Zurban
Banale intrigue que cette rédemption d'un mauvais garçon. Mais ce film tente de moderniser le genre en supprimant presque tous les dialogues - le héros est muet - et en se transformant en véritable exercice de style. Les scènes de violence sont spectaculaires, parfois pompées mais avec brio.
Chronic'art.com
La vacuité du moindre effet fait écho à cette architecture sans horizon, où les réels enjeux scénaristiques -une fille, une vengeance- débarquant au bout d'une heure de métrage, font l'effet de graines de récit germées au hasard sur un terrain vague et cultivées bon gré mal gré par des réalisateurs davantage occupés à organiser un certain chaos visuel où, puisque tout reste à l'état informe, rien ne pousse.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Obejctif-Cinema.com
Bangkok Dangerous ne parvient jamais à trouver le ton qui lui convienne.
TéléCinéObs
La réalisation choisit l'option léchée limite maniériste, (...) pour mettre en scène des scènes de gunfight moyennement originales.