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this is my movies
693 abonnés
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3,0
Publiée le 25 septembre 2016
Bon, ok, ce n'est pas la meilleure adaptation de comic-books de l'histoire (le personnage du film ayant un vague lien avec le héros Marvel) mais il reste 10 fois mieux que la version de 2004. Violent, sombre, à contre-courant des adaptation proprette de nos jours, ce film d'action ne s'encombre guère de psychologie ou encore d'une caution réaliste mais il dégage son lot de scènes fun et tordues, parsemées de morts sanglantes, d'explosions énormes, de tôle froissé ou encore de dialogues parfois très Z. Mise en scène solide mais peu imaginative, histoire qui part dans tous les sens, acteurs en roue libre (avec un D. Lundgren qui hésite entre un jeu intérieur et une rage explosive pas toujours convaincante) mais ça n'empêche pas de prendre son pied. A voir pour se détendre le cerveau ou pour faire des beaux rêves. D'autres critiques sur
Très kitch à souhait, dialogues et doublages vf bien nanardesques, malgré tout très sympa à regarder. Par contre le maquillage de Dolph est bien mauvais !
Un simple film de vengeance, mais surtout un vrai nanar de collection ! Les scènes de baston et d'action sont d'une grande laideur, d'autres seront d'un ridicule hors-norme, les dialogues sont également infectes, le doublage français est lamentable, "Punisher" est un genre de cinéma amateur et bâclé qu'il fait bon de voir par curiosité, pour rigoler ou par moquerie peut-être, mais en aucun cas pour le plaisir de s'immerger de façon réaliste dans un récit violent et sans pitié. On se demande comment des choses aussi grotesques peuvent voir le jour.
Dommage que les voix françaises soient aussi mauvaises... Mais de toute façon, je n'ai pas trop accroché à ce Punisher. Les acteurs ne m'ont pas convaincu ni permis de rentrer à fond dans l'histoire. Après, le film peu valoir le coup d’œil si on veut voir le 1er Punisher sorti au cinéma. Dolph Lundgreen était bien jeune. Normal, ce film date de 1989. A noter la présence d'un acteur ressemblant un peu à Jean-Paul Belmondo, celui qui joue Franco, le chef des mafieux, et de Louis Gossett Jr, incarnant ici un policier ancien ami de Frank Castle, que les fans de Stargate reconnaitront peut-être ici en plus jeune et plus mince que lorsqu'il incarnait Gerak dans la saison saison 9.
Quinze ans avant le navet de Jonathan Hensleigh avec Thomas Jane et John Travolta sortit une première adaptation du Punisher, comic-book mettant en scène Frank Castle, ex-flic devenu vigilante après le meurtre de sa famille par des truands. Et force est d'admettre que ce Punisher 1989 est une série B très réussie au scénario basique mais efficace, détournant certains codes du genre et assumant des références à James Bond et aux films des années 1960 tout en les incorporant dans une esthétique propre aux films d'action des années 1980. Mark Goldblatt, monteur ayant travaillé entre autres sur Piranhas, Terminator ou encore Rambo II, réalis efficacement ce polar violent et sombre résolument moderne tout en assumant son héritage et détournant certains codes, par exemple en faisant du grand méchant une femme. Dans le rôle de Frank Castle, Dolph Lundgren réalise une performance toute en intériorité et en violence retenue et révèle un véritable talent d'acteur au-delà de sa montagne de muscles. Les seconds rôles ne sont pas en reste et ont droit à des personnages plutôt bien écrits. Si le film est sombre sans avoir la noirceur poisseuse de la BD, il reste un thriller maîtrisé et un divertissement honnête avec tous les ingrédients du genre : suspense, violence, méchant, intrigue et action efficaces, et est en plus une adaptation libre mais réussie car fidèle à l'esprit du matériau d'origine. Bref, oubliez le navet de 2004 et essayez de découvrir cette version 1989 très réussie.
Dommage, le propos est bon mais le film est un nanar d'or........ c'est mauvais de bout en bout, du jeu d'acteurs au scénario d'une indigence rare et que dire des scènes de combat..... un gros navet
Première adaptation du célèbre comics, le Punisher version 1989 reste quelque peu oublié malgré la présence de Dolph Lundgren au générique. Cheveux noirs, carrure impressionante, arsenal qui a de quoi rendre jaloux John Matrix, le grand suédois n'a aucun mal à se glisser dans la peau du plus violent justicier de Marvel. Bien qu'il ne porte pas le t-shirt en forme de crâne, emblème du personnage (un oubli blasphématoire !), l'acteur campe avec conviction cet anti-héros meurtri et taciturne. Mis en scène par Mark Goldblatt, le film vaut surtout pour son interpête principal et sa violence plutôt jouissive. Si le scénario nous évite la genèse du héros (le film débute 5 ans après que Frank Castle soit devenu la terreur des hors-la-loi), il est toutefois regrettable que le récit soit orienté sur une banale affaire d'enlèvement d'enfants plutôt que sur un affrontement digne de ce nom entre le Punisher et un méchant charismatique. L'histoire avec les Yakuzas et le mafioso campé par Jeroen Krabbé s'avère bien trop lisse et pas assez développée. Un bilan en demi-teinte pour cette adapation sympathique quoique très anecdotique, le Punisher aurait mérité un projet plus ambitieux avec à la clé une intrigue plus intéressante et un héros davantage étoffé sur le plan psychologique. On ne pourra reprocher au film son esthétisme très eighties et sa durée extêmement courte (1h20 à peine), une caractéristique récurrente dans ce type de production.
Personnage très violent de l'univers Marvel et voué à l'extermination des criminels, le "Punisher" connu en 1989 cette première version, qui reste la moins mauvaise de toutes. Certes, avec une réalisation et un montage manquant parfois de punch, le film a vieilli, mais il reste regardable au premier degré. Et même si Dolph Lundgren n'est pas très expressif, il reste charismatique et crédible dans le rôle d'un vigilante de l'extrême. A noter aussi que le film aborde avec plus de subtilité que les autres la psychologie du personnage, et qu'il ne se veut pas (trop) réactionnaire comparé aux versions suivantes. Une série B appréciable.
Dans ma quête des films de superhero, j’ai du me heurter aux limites de mes ressources pour trouver ces films. Après avoir eu du mal à trouver Swamp Thing et sa suite (depuis ressortie en DVD Zone 2), j’ai du chercher les Punisher de 1989 et autres Captain America de 1990.
Ici, c’est The Punisher, avec le bourrin philosophe, Dolph Lundgren, jamais sorti aux USA et en Suède, dû aux problèmes financiers de la société de production. On est donc en droit de s’attendre à une bonne grosse daube bien bourrine. Quelle surprise de voir que ce film est plutôt réussi, grâce à un bon Dolph Lundgren, Louis Gossett Jr. bon aussi et surtout un excellent Jeroen Krabbé en méchant sans foi ni loi mais pleutre et lâche. En effet, ce sont les acteurs qui font de ce petit film d’action, jamais au second degré, une petite réussite. La réalisation de Mark Goldblatt est loin d’être efficace et le scénario recèle parfois de facilités un peu malvenues.
Cependant, les scènes d’actions ne sont plutôt satisfaisantes, le film est souvent amusant et comme en plus, c’est mené tambour battant, on passe un bon moment. Injustement décrié.
Héros maudit, le Punisher est quand même à sa troisième adaptation et il faut bien l'avouer c'est sans doute celle là la meilleur et la plus fun. Ancré dans la fin des 80's et le début des 90's, Punisher est un gros film d'action aussi bourrin que crétin réalisé par un tacheron ( pourtant monteur de prestige) avec ce gros taré de Dolphy Lundgren comme héros. Ca a vieillit, c'est n'importe nawac par moment mais c'est particulièrement divertissant sans avoir peur du pg-13 comme le démontre les nombreux f*ck et autre violences inèrent à ce personnage. Concernant ce brave et musculeux Dolph il reste un Punisher fun, violent et badass dans un univers peuplé de tueur et de ninja absolument comme dans le comic book ce qui a été oublié dans les 2 reboots futures en particulier celui avec Thomas Jane.
Une superbe adaptation malheureusement très méconnu mais que le réalisateur a réussit son coup en recréant l'univers du comics et surtout en choisissant le meilleur acteur pour interpréter se personnage tirailler par la haine et la vengance.
The Punisher est un film pas trop mal, qui se laisse regarder, même s'il ne procure finalement pas grand chose de neuf. De l'action assez rythmé, des acteurs convaincants, mais un scénario peu intéressant. Le passé du héros n'est pas vraiment exploité et celui-ci a très peu d'envergure. Pourtant, on ne crache pas sur le film, car il sait procurer ce qu'il faut pour nous tenir en haleine. La fin est satisfaisante.
La version des années 80 du justicier/vengeur de chez Marvel. Ici interprété par Dolph Lundgren, le Punisher est plutôt bien interprété même s’il a bien vieilli. Ca reste un bon souvenir des années 1980 que je n’avais pas vu depuis très très longtemps. Du action movie pur jus des années 80 avec un personnage noir et violent comme on se l'imagine avec les comics.