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    La grande illusion
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    180 critiques spectateurs

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    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2011
    Je pense que je n'ai pas très bien saisi d'importantes dimensions de ce film. Toujours est-il que "La Grande Illusion" m'a un peu barbé. Je me dois quand même de signaler que j'ai apprécié quelques gags et que le jeu des acteurs m'a parut bon.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 mai 2009
    Assez déçu par ce film, c'est peut-être un monument du cinéma français mais il n'en souffre pas moins d'un cruel vieillissement. En effet, on voit bien que le temps est passé par là, non seulement avec la qualité de l'image(et encore ça c'est normal) mais surtout à travers les dialogues et les intonations de voix dont la plupart sont totalement dépassés de nos jours. De plus j'ai trouvé ce film un peu trop lent. Toutefois, je considère que ça reste un film à voir car il a inspiré un bon nombre de films de genre par la suite, notamment "La Grande évasion" qui lui est très largement supérieur. Par ailleurs, les acteurs ne s'en sortent pas trop mal.
    Une très légère désillusion.
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    42 abonnés 1 212 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 décembre 2020
    J'ai trouvé ce film à des années lumières du chef d'œuvre annoncé. Est-ce le temps qui a fait son œuvre ? Toujours est il que malgré une interprétation de belle facture (mention spéciale à Pierre Fresnay), cette lutte des classes durant la Grande Guerre reste assez molle et peu passionnante. Certes, le film diffuse un message humaniste mais les camps de prisonniers paraissent plus proches d'une colonie de vacances. On est bien loin de l'horreur que fût cette guerre. Le plaidoyer pour le rapprochement entre les peuples est louable mais encore eut-il fallu y ajouter un soupçon de dramaturgie pour y captiver le spectateur.
    LE PASSIONNÉ
    LE PASSIONNÉ

    21 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2020
    alors pour moi je mettrai moyen. je l'ai trouvé Longuet avec trop de script facultatif et surtout ce violon grinçant languinolant qui m'a fait saigné les tympans. hormis cela les acteurs sont très bons, l'histoire est bien goupillée, mais longuette avec peu d'intrigue.
    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2017
    Un film sur la guerre sans la guerre, en filmant des gradés français fait prisonniers par les allemands pendants la première guerre mondiale Renoir filme les classes sociales mélangées dans le conflit. Il montre une guerre ou les soldats des différents camps n’éprouvent de haines les uns envers les autres mais sont juste des hommes que leurs dirigeants ont entraînés dans la guerre. Il montre qu’il y a même parfois moins de différents entre certains soldats ennemis qu’entre soldats du même camp venant d’horizons différents. Le film se veut aussi pessimiste quand à la répétition des conflits avec le terrible constat final fait par les personnages de Jean Gabin et Marcel Dalio. J’ai franchement préféré la seconde partie du film, la première dans le premier camp ne paraît que comme une longue introduction à celle ci. J’ai aussi trouvé que les différentes prisons faisaient un peu trop camp de vacances, même si les gradés étaient mieux lotis que les simples soldats j’ai du mal à les imaginer vivre dans ces conditions tout de même. Il n’empêche qu’il offre encore de grands moments, qu’au côté de Gabin on a un Pierre Fresnay formidable en capitaine aristocrate. Le film n’a pas vieilli mise à part le rôle de l’artiste et la vision des camps de prisonniers qui comme je le disais paraît désuète et il reste dans l’ensemble très fort.
    Backpacker
    Backpacker

    78 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2014
    D'abord, il faut être fan de Gabin et de films sur la résistance, ce qui n'est, heureusement, pas à la portée de tout le monde. En tout cas pas de moi. S'ajoute à cela le vieillissement avancé de cette oeuvre qui fait franchement un peu peur. Honnête bien que suranné. Mais de loin pas le chef-d'oeuvre que tant de gens s'amusent à répéter...
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    752 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2011
    Presque dix ans que je n'avais pas visionner " La Grande Illusion ", et je ne regrette vraiment pas de l'avoir revu tant cette nouvelle vision m'a fait totalement apprécier ( ou presque ) ce chef-d'oeuvre du cinéma français.
    Il faut dire que la réalisation de Jean Renoir est tellement aboutie que l'on ne peut prendre qu'un immense plaisir à suivre cette histoire se déroulant pendant la Première Guerre mondiale et qui parle d'un groupe de prisonniers français qui tentent de s'évader d'un camp en Allemagne, jusqu'a ce qu'ils soient transférer dans une forteresse à priori imprenable et qui est commander par un certain von Rauffenstein.
    Evidemment, pour ce genre d'oeuvre cinématographique, il faut un casting qui soit judicieusement choisi et tel est évidemment le cas ici. Jean Gabin nous propose une de ces performances les plus mémorables dans le rôle du lieutenant Maréchal, Pierre Fresnay est parfaitement crédible à travers son personnage qu'est le capitaine de Boieldieu, tandis que que l'acteur allemand Erich von Stroheim crève l'écran dans celui du commandant von Rauffenstein.
    Ajouter à cela la présence d'une magnifique photographie en noir et blanc de Christian Matras ( qui nous offre, pour l'occasion , quelques plans d'une grande beauté ) et des décors d'une grande richesse que l'on doit à Eugène Lourié, et l'on comprend aisémment pourquoi ce long métrage a reçu en 1937 le Prix du meilleur ensemble artistique au Festival de Venise.
    Un grand classique du cinéma français donc et que je conseil à tous les amoureux du 7ème art.
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2012
    Un très beau film, touchent et parfois drôle. GABIN est impressionnant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2012
    Un film qui souffre de quelque longueur, mais est tout de mème sympathique. La premiere raison est que tout les personnages sont attachant mème les gardiens. La deuxième est que la réalisation est splendide et la dernière est que Jean Gabin est super dans son role.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2012
    Sorti au cinéma en 1937, le film connu un immense succès à la fois critiques et spectateurs, avant de se voir interdit par Vichy en 1940. Le négatif original ayant été confisqué par les Allemands, puis pris par l’armée Rouge avant d’être emporté à Moscou, il aura fallut attendre que ce dernier soit remit à la Cinémathèque de Toulouse et que les technologies actuelles le permettent pour que le film puisse bénéficier enfin d’une restauration digne de ce nom, ce qui fut entreprit par le biais de StudioCanal en 2011. C’est ainsi qu’en 2012, une version entièrement restaurée a vu le jour, rendant ses lettres de noblesse à ce chef d’œuvre du cinéma français.
    Jean Renoir signe ici sans nul doute l’un de ses plus beaux films, La Grande illusion (1937) est un drame humaniste sur l’absurdité de la guerre durant la Première Guerre Mondiale. A travers un magnifique noir & blanc, on suit le quotidien de ces prisonniers Français dans un camp allemand qui comble de l’ironie, finissent par se lier d’amitié. Interprété avec beaucoup de justesse par Jean Gabin, Pierre Fresnay & Erich von Stronheim, le film de 110 minutes se regarde d’une traite et se savoure avec un réel plaisir.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2012
    Superbe ! Sans atteindre la flamboyance technique de La Règle du Jeu, ce classique du cinéma de l'Entre-deux-guerres installe déjà les codes du chef d'oeuvre de Renoir : ceux d'une mise en scène au service du langage. Obvieusement conçu pour le cinéma parlant La Grande Illusion réserve d'authentiques innovations linguistiques : jeux sur le langage donc, mais aussi sur les langues ( traductions, calembours, mises en parallèles...) et sur la diction du texte ( le phrasé gouailleur de Gabin, l'accent distingué d'Eric Von Stroheim...). Renoir n'oublie pas non plus de racer ses plans, composés dans la continuité pour la plupart ; le scénario et sa portée dignitaire font de La Grande Illusion un beau film fraternel, émouvant et folklorique : il en résulte un drame nostalgique à voir absolument sur un écran de cinéma, ne serait-ce que pour la magnifique séquence à travers laquelle on peut voir Von Stroheim venir demander pardon à son ami Pierre Fresnay, mourant à son chevet. Un grand film sympathique.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Oeuvre culte du cinéma français, "La Grande Illusion" n'est pas vraiment un film de guerre mais plutôt un film sur des hommes en temps de guerre et sur les valeurs qu'ils véhiculent pour survivre, à savoir l'amitié et la solidarité. D'ailleurs, la première heure ne fait que présenter ces soldats capturés, qui rient ensemble, qui se divertissent comme ils peuvent et qui mènent un astucieux plan d'évasion, une entraide que la mise en scène ne cesse de montrer en accumulant les plans de groupe et, par contraste, saisit aussi la solitude du lieutenant Maréchal (Jean Gabin dans l'un des ses plus grands rôles) quand il est puni et tenu éloigné de ses compagnons. Souffrir d'être seul, c'est l'autre grand idée qui parcourt le film, elle passe notamment à travers deux personnages; d'une part, le commandant Von Rauffenstein (Erich Von Stroheim), désespéré de mener une guerre qu'il hait et qui se prend d'amitié pour le Capitaine de Boeldieu (Pierre Fresnay), une relation touchante de par sa simplicité, qui est aussi celle des dialogues, et de la façon dont est témoigné leur respect mutuel (la fleur coupée, in fine, symbole magnifique d'une mort réciproque : physique pour l'un, morale pour l'autre); d'autre part, cette femme allemande qui élève seule sa petite fille et qui passe de la détresse au bonheur grâce à la compagnie des deux fuyards, dans un dernier tiers déchirant où l'amour et la reconnaissance passent moins par la parole que par des regards et des silences, moments d'une intensité émotionnelle qui finissent par nous faire chavirer. "La Grande Illusion" est un film qui parle d'abord beaucoup, aux personnages secondaires quelque peu caricaturaux mais tout de même attachants, mais qui sait aussi se taire pour mieux laisser exprimer la détresse et la joie de personnages qui se battent pour leur liberté et qui espèrent que la guerre de 14-18 sera la dernière : une illusion que Renoir aura pressentie mais dépassée, le temps d'un film, par un discours pacifiste des plus bouleversants.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2008
    Au cours de la Grande Guerre, celle-là même qui redistribua les cartes sociales dans la dorénavant vieille Europe, Jean Renoir relate l’intrigue de deux hommes, dissemblables en termes de classe sociale, qui partagent l’ambition de s’échapper des camps de prisonnier dans lesquels ils sont retenus. «La Grande Illusion» (France, 1937) peut très aisément satisfaire un public populaire grâce à la vivacité toute renoirienne des dialogues et de l’agencement des séquences. Rien ne sert de commenter un tel procédé puisque, deux ans plus tard, Renoir réalisera «La règle du jeu», bien plus enclin à développer ce discours. «La Grande Illusion» dresse le plateau de «La Règle du jeu» puisqu’il préfigure la grande thématique qui agit tous les actes du film de 39 : la lutte des classes. L’amitié liminaire d’un capitaine noble, de Boëldieu, et un lieutenant ouvrier, Maréchal, se brise au profit d’une sorte de «passation de pouvoir» entre l’aristocratie bourgeoise et le milieu prolétaire. Lorsque Maréchal s’enfuit avec son nouvel ami Rosenthal, un juif riche, de Boëldieu se sacrifie en se faisant tuer par un compagnon noble allemand. Au-delà des apparences authentiques qui habitent «La Grande Illusion», réside toute une pensée, toute la scénographie politique du monde selon Renoir. Cette dernière, à l’orée de la seconde guerre mondiale, rejoint les mouvements politiques qui s’y produisent. La moitié du XXème siècle, date pivot dans toute l’histoire de l’Humanité, réagit aux bouleversement sociaux que Marx avait déjà préfiguré. Renoir, dans une mise en scène aussi fluide qu’on peut lui connaître, organise ces flux sociaux et politiques au sein d’un film de guerre qui tend vers l’unique but de s’échapper, autrement dit vers un désir d’émancipation. Lorsque, dans le dernier plan, s’enfuient au loin, dans une neige immaculé, les silhouettes d’un ouvrier et d’un nouveau bourgeois, ce sont les figures de l’avenir de notre histoire qui se dessinent à l’horizon.
    CH1218
    CH1218

    200 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2016
    « La Grande Illusion » est une oeuvre incontournable du cinéma qui résiste plutôt bien à son grand âge. Jean Renoir prend le parti d’y montrer le respect et les affinités entre ennemis (et classes sociales) dans un film qui se veut indulgent et humain. Une sorte d’idéologie quelque peu utopique et déstabilisante vu la période traitée mais plus profonde qu’elle en a l’air, cachée derrière un esprit de fantaisie. Un choix pleinement assumé et parfaitement incarné par une galerie de personnages très attachants.
    givree_la_fee
    givree_la_fee

    27 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2013
    Je le conseille fortement à tous les amateurs de films en noir et blanc traitant la guerre comme sujet ! La grande illusion atteint la quasi-perfection avec un scénario grave et drôle à la fois, des acteurs merveilleux (comment Gabin pourrait-il jouer autrement que merveilleusement ?), en résumé, Jean Renoir nous mène dans un film plus qu'attendrissant et poignant, où l'amour et l'espoir sont les véritables vainqueurs de ce fléau qu'est la guerre !
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