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Cocobusiness
13 abonnés
382 critiques
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4,0
Publiée le 22 février 2007
Film certes naïf, mais on marche à lémotion devant litinéraire initiatique de Jim. Arraché à sa famille au cours dune violente manifestation de rue (1941, à Shangaï, les Japonais chassent les Anglais), lenfant gâté va faire le rude apprentissage de la vie et des hommes, dans le camp denfermement où il est retenu prisonnier. Il sinféode pour survivre à ce voyou de Malkovitch qui le trahira pourtant. Il court, il court, il troque, il vole, il aide, il apprend, il joue Moments démotion notamment par sa communication spontanée au delà des barbelés, avec un jeune japonais, futur aviateur kamikaze, et lorsquil entonne ce chant merveilleux, une berceuse galloise « Suo Gan », qui préfigure un peu « Les Choristes » ! Magnifiques images pour ce premier film américain tourné en Chine Populaire.
Refusant tous partis pris, Steven Spielberg montre la misère de la guerre à travers les yeux d'un jeune adolescent, remarquablement interprété par Christian Bale. Malgré la profusion de bons sentiments, ce n'est jamais mièvre ; juste beau, tolérant et optimiste.
L'empire du soleil ou comment faire l'un des plus beaux films de Guerre tout en étant unique ! Ce film est très différent des autres films de Guerre pour la simple et bonne raison qu'on nous montre tout à travers les yeux d'un enfant, un enfant nommé Jim joué par Christian Bale ( le futur Batman ) dont la prestation est extraordinaire. Ce film montre également tout le talent qu'à Spielberg quand il s'agit de nous émouvoir : les décors sont beaux, la mise en scène est magnifique, la musique est sublime ... Bien qu'il dure environ 2h30, le film entier nous délivre un message, une critique de La Guerre qui peut complètement changer l'esprit d'un enfant, en témoigne la magnifique scène finale où Jim retrouve ses parents. Un grand film de guerre loin des grosses productions d'Hollywood, L'empire du soleil c'est un film d'une profonde émotion !
Je n'ai aimé le film que pour une séquence qui, pour moi relève la totalité du film. Il n'y a que Spielberg pour pouvoir réussir un coup pareil. Merci de nous faire rêver...
La guerre vu à travers le regard naïf d’un enfant. Enfant gâté, qui va subir le chaos de la guerre et qui va devoir grandir bien vite pour survivre. L’évolution de l’enfant est bien travaillée, le jeune Christian Bale est excellant et Malkovich assure bien. La réalisation, les plans de Spielberg sont brillants. Ensuite l’histoire n’est pas forcément intéressante, ce qui crée quelque longueur et l’émotion est plutôt mal exprimé. Film tolérant et profond sur le courage, la mort et parfois de l’allégresse. Une fin grandiose.
Même si ce film n'atteint pas la perfection de beaucoup de films de Spielberg, c'est quand même un bon film, plein de bons sentiments et un peu fouillis (due à l'errance du jeune héros).
Il s'agit, je pense d'un des plus mauvais film de Spielberg qui n'est pas arrivé à me faire ressentir l'émotion qu'il voulait degager, peut être à cause d'un scénario longuet, d'un Williams peu inspiré, ou peut être même d'un Bale décevant.
L'Empire du Soleil, un des meilleurs films de Spielberg (bien que je dise ça pour tous ses films) où Christian Bale se montre très précoce et John Malkovitch très profond. Tout le long-métrage est fait avec ampleur, tant par les scènes à grand spectacles que les scènes intimistes. Spielberg a réussi à atteindre le niveau, voire le surpasser, de ses idoles Cecil B. De Mille et David Lean.
Un film de Spielberg trop méconnu, pourtant l'un de ses meilleurs. Un film dans lequel on retrouve toutes les qualités du réalisateur américain, il en deviendrait presque injurieux de toutes les rappeler. Malkovich est impeccable, et le tout jeune Christian Bale témoigne déjà d'un certain talent. C'est une étrange façon de parler de l'enfance, mais pourtant « L'Empire du Soleil » parvient à le faire avec un ton et une justesse qui moi m’ont bluffé. Dommage que, encore une fois, Spielberg se laisse aller à du sentimentalisme bon marché pour finir. Mais bon, c’est bien peu par rapport à la claque qu’il a pu me refiler.
L'un des trois films qui pour moi marquent de manière indélébile la carrière de Speilberg. Allez savoir pourquoi il s'agit de films se déroulant uniquement durant la seconde guerre mondiale, l'un décrivant l'existence de la shoah comme personne n'a su le faire mieux que lui, l'autre décrivant le front dans une dureté pourtant emprunte d'une grandeur que lui seul se sent encore capable d'insufler à l'humain en pareilles circonstances... et biensur, celui çi, ne dérogeant pas à la régle. Ou comment transformer l'horreur en quelquechose de beau... d'innocent. Biensur, rien ne saura transcrire mieux la chose que l'approche d'un enfant, incroyable Christian Bale pour qui on pleure lorsque separé de ses parents au sein d'un Hong-Kong envahi par les japonais, il doit faire son chemin seul, survivre au sein d'un camps d'internement où tous les ressortissants de l'Empire sont retenus. Là où, avec lui nous vivrons les instants les plus durs, les rencontres les plus étranges sans jamais nous séparer de l'innocence qu'il nous a transmi au travers de ses peurs d'enfant, sa curiosité... magique... tout simplement. Comme l'univers de Speilberg l'a toujours été, mais avec ici un paradoxe qui amène ce film au rang de récit fantastique tant par sa force que sa candeur.
Un écueil dans la filmographie de Spielberg. Des personnages caricaturaux avec dans le rôle du héros un jeune garçon blanc et blond au milieu des méchants japonais. Un film moraliste, simpliste et ennuyeux ou j'ai été très déçu...
Un merveilleux film. Une "belle" histoire pendant la 2de Guerre Mondiale, côté Asie. Des acteurs magnifiques, dont Christian Bale. Une jolie musique, des images spectaculaires, bref, un bon film à voir et à revoir.