Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Ce voyage initiatique car ce périple fut vraiment un événement déterminant dans la vie du Che est plutôt un superbe récit d'aventures, des plaines de l'Argentine aux rives de l'Amazone en passant par les neiges de la Cordillère des Andes. Une belle oeuvre humaniste, simple et généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-LucDouin
L'authenticité du film vient de ce refus délibéré des personnages de se prendre au sérieux, de leur sens de l'humour et de l'autodérision. Mais aussi de l'osmose qui s'opère entre la fiction et le message (...) L'empathie du cinéaste pour les populations rencontrées est communicative. (critique cannoise)
Positif
par Franck Garbarz
Formidable récit d'apprentissage, Carnets de voyage est également un hommage au continent sud-américain. On se délecte qu'un cinéaste oublie, le temps d'un film, le cynisme ambiant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
(pour) Le voyage initiatique d'Ernesto Guevara. Road-movie envoûtant. Une lumineuse odyssée
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Todd McCarthy
Carnets de voyages est le récit superbement conçu de la naissance de la conscience sociale de l'un des Révolutionnaires les plus idéalisés du XXe siècle. Le meilleur film de Walter Salles à ce jour (...) a de grandes qualités artistiques sans être branché, est politique mais pas didactique. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
Un road-movie en forme de prise de conscience. Le jeune Ernesto Guevara part à la rencontre de son destin, dans un film plein d'humanité.
Aden
par Philippe Piazzo
Le réalisateur (...) nous fait ainsi partager cette découverte d'un " continent " à la beauté imposante, avant de nous plonger au coeur des contradictions de ses deux personnages (...). En filigrane, se dessine un film politique qui pose les problèmes, d'abord, à un niveau humain et intime, mais ne renonce jamais à être un film d'aventures - soit un véritable voyage dans tous les sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
L'ensemble est plutôt réussi. Walter Salles est parvenu à boucler un film ambitieux (...) ses portraits ne manquent pas de relief et ses comédiens emportent la conviction. (critique cannoise)
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une quête d'identité personnelle (...) ouvre sur l'affirmation identitaire d'un continent. Confirmation au Brésil où le film suscite des débats enflammés. Plus que dans l'évocation de la figure de celui qui n'était pas encore le Che, l'enjeu du film est là. (critique cannoise)
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
La chevauchée initiatique et picaresque d'un futur héros nommé Ernesto Guevara. Pour mener son film à bien, Walter Salles doit se tenir en équilibre entre deux pièges : exagérer la banalité du voyage de Guevara et Granado ; faire planer sur tout son récit l'ombre lourde du martyre du Che. Plutôt que d'éluder ces tentations, il les assume crânement, passant de séquences comiques à des moments prémonitoires comme on en trouve dans les biographies de grands hommes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain et Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine de BAECQUE
Inspiré sans distance de l'autobiographie de Guevara, "Carnets de voyage" fait souvent vibrer.Mais il y manque l'étincelle qui mettrait le feu à la mythologie attendue.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Le récit est par moments un peu longuet, mais il transpire de bonne volonté. Il alterne avec justesse les scènes romanesques, les situations humoristiques, et les passages plus documentaires sur les conditions de vie des plus démunis, notamment la longue partie autour de la léproserie.
Synopsis
par Clarisse Vezin
(...) le réalisateur a fait le choix de montrer largement des paysages, sans négliger pour autant l'humanité et l'humanisme du personnage. Mais c'est aussi la nature, superbement photographiée par Eric Gautier qu'on retiendra. Le reste appartient encore au mythe.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
La réussite du film vient avant tout de l'absence de sérieux et de l'empathie communicative avec laquelle Salles se contente de suivre ses personnages.
Zurban
par Véronique Le Bris
Traitée sans emphase par un Walter Salles volontairement peu démonstratif (et c'est tant mieux), cette aventure brille grâce aux figures embématiques de ces deux héros, tous les deux magisralement incarnés par Gael Garcia Bernal (qui a toutefois notre préférence) et Rodrigo de la Serna. (critique cannoise)
Libération
par Didier Péron
(...) la personnalité de Guevara, la nécessité intérieure du film les raisons qui ont poussé Salles à prendre la peine de raconter cette histoire-là avec ces moyens-là aujourd'hui demeurent floues, sinon superficielles. Alors oui, ça crée de l'adhésion, mais comme en peuvent susciter les rassurantes hagiographies. (critique cannoise)
Première
par Christophe Narbonne
Focalisé sur la complicité fraternelle entre les deux voyageurs, le récit oppose d'abord schématiquement l'hédoniste Alberto au coincé Ernesto. La sujet ne prend sa véritable dimension, spirituelle et humaine, que dans le dernier tiers du récit (...). L'émotion affleure enfin. Tardivement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le cinéaste a réussi à nettoyer son biopic de toute trace de politique au seul prétexte de l'éceuil téléologique. Les documents réunis dans le générique de fin tentent de plaquer du "réel" sur l'enfilade de cartes postales qui précède, mais c'est peine perdue.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Oeuvrette très consensuelle sur une figure qui n'a pas vocation à l'être : quelque chose ne tourne pas rond dans Carnets de voyage, tandis qu'une autre ronronne, ronfle, et les pas feutrés du film font tout pour l'empêcher de se réveiller.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Récit cousu de fil blanc et mise en scène quelconque pour cette chronique de la jeunesse du Che.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
(contre) Une revue de bons sentiments. Un Che sans saveur
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
Ce voyage initiatique car ce périple fut vraiment un événement déterminant dans la vie du Che est plutôt un superbe récit d'aventures, des plaines de l'Argentine aux rives de l'Amazone en passant par les neiges de la Cordillère des Andes. Une belle oeuvre humaniste, simple et généreuse.
Le Monde
L'authenticité du film vient de ce refus délibéré des personnages de se prendre au sérieux, de leur sens de l'humour et de l'autodérision. Mais aussi de l'osmose qui s'opère entre la fiction et le message (...) L'empathie du cinéaste pour les populations rencontrées est communicative. (critique cannoise)
Positif
Formidable récit d'apprentissage, Carnets de voyage est également un hommage au continent sud-américain. On se délecte qu'un cinéaste oublie, le temps d'un film, le cynisme ambiant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(pour) Le voyage initiatique d'Ernesto Guevara. Road-movie envoûtant. Une lumineuse odyssée
Variety
Carnets de voyages est le récit superbement conçu de la naissance de la conscience sociale de l'un des Révolutionnaires les plus idéalisés du XXe siècle. Le meilleur film de Walter Salles à ce jour (...) a de grandes qualités artistiques sans être branché, est politique mais pas didactique. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
Un road-movie en forme de prise de conscience. Le jeune Ernesto Guevara part à la rencontre de son destin, dans un film plein d'humanité.
Aden
Le réalisateur (...) nous fait ainsi partager cette découverte d'un " continent " à la beauté imposante, avant de nous plonger au coeur des contradictions de ses deux personnages (...). En filigrane, se dessine un film politique qui pose les problèmes, d'abord, à un niveau humain et intime, mais ne renonce jamais à être un film d'aventures - soit un véritable voyage dans tous les sens du terme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
L'ensemble est plutôt réussi. Walter Salles est parvenu à boucler un film ambitieux (...) ses portraits ne manquent pas de relief et ses comédiens emportent la conviction. (critique cannoise)
L'Obs
Une quête d'identité personnelle (...) ouvre sur l'affirmation identitaire d'un continent. Confirmation au Brésil où le film suscite des débats enflammés. Plus que dans l'évocation de la figure de celui qui n'était pas encore le Che, l'enjeu du film est là. (critique cannoise)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La chevauchée initiatique et picaresque d'un futur héros nommé Ernesto Guevara. Pour mener son film à bien, Walter Salles doit se tenir en équilibre entre deux pièges : exagérer la banalité du voyage de Guevara et Granado ; faire planer sur tout son récit l'ombre lourde du martyre du Che. Plutôt que d'éluder ces tentations, il les assume crânement, passant de séquences comiques à des moments prémonitoires comme on en trouve dans les biographies de grands hommes.
Le Point
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Libération
Inspiré sans distance de l'autobiographie de Guevara, "Carnets de voyage" fait souvent vibrer.Mais il y manque l'étincelle qui mettrait le feu à la mythologie attendue.
MCinéma.com
Le récit est par moments un peu longuet, mais il transpire de bonne volonté. Il alterne avec justesse les scènes romanesques, les situations humoristiques, et les passages plus documentaires sur les conditions de vie des plus démunis, notamment la longue partie autour de la léproserie.
Synopsis
(...) le réalisateur a fait le choix de montrer largement des paysages, sans négliger pour autant l'humanité et l'humanisme du personnage. Mais c'est aussi la nature, superbement photographiée par Eric Gautier qu'on retiendra. Le reste appartient encore au mythe.
TéléCinéObs
La réussite du film vient avant tout de l'absence de sérieux et de l'empathie communicative avec laquelle Salles se contente de suivre ses personnages.
Zurban
Traitée sans emphase par un Walter Salles volontairement peu démonstratif (et c'est tant mieux), cette aventure brille grâce aux figures embématiques de ces deux héros, tous les deux magisralement incarnés par Gael Garcia Bernal (qui a toutefois notre préférence) et Rodrigo de la Serna. (critique cannoise)
Libération
(...) la personnalité de Guevara, la nécessité intérieure du film les raisons qui ont poussé Salles à prendre la peine de raconter cette histoire-là avec ces moyens-là aujourd'hui demeurent floues, sinon superficielles. Alors oui, ça crée de l'adhésion, mais comme en peuvent susciter les rassurantes hagiographies. (critique cannoise)
Première
Focalisé sur la complicité fraternelle entre les deux voyageurs, le récit oppose d'abord schématiquement l'hédoniste Alberto au coincé Ernesto. La sujet ne prend sa véritable dimension, spirituelle et humaine, que dans le dernier tiers du récit (...). L'émotion affleure enfin. Tardivement.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste a réussi à nettoyer son biopic de toute trace de politique au seul prétexte de l'éceuil téléologique. Les documents réunis dans le générique de fin tentent de plaquer du "réel" sur l'enfilade de cartes postales qui précède, mais c'est peine perdue.
Chronic'art.com
Oeuvrette très consensuelle sur une figure qui n'a pas vocation à l'être : quelque chose ne tourne pas rond dans Carnets de voyage, tandis qu'une autre ronronne, ronfle, et les pas feutrés du film font tout pour l'empêcher de se réveiller.
Les Inrockuptibles
Récit cousu de fil blanc et mise en scène quelconque pour cette chronique de la jeunesse du Che.
Télérama
(contre) Une revue de bons sentiments. Un Che sans saveur