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    Surexposé
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    Estonius
    Estonius

    2 742 abonnés 5 315 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2022
    Déjà le scénario est absurde, mais on est au cinéma e on aurait pu éventuellement en faire quelque chose. Ici nous avons droit à des dialogues pompeux, à des situations absurdes (le pompon étant atteint avec la scène où spoiler: Noureev promène son archet sur le corps de Nastassja
    , plus ridicule tu meurs) De plus le récit s'encombre d'ellipses malheureuses ce qui fait qu'on a du mal parfois à comprendre la logique du récit. Faut-il parler de l'interprétation ? Keitel fait du Keitel, Noureev n'est pas un acteur et Nastassja Kinski se contente la plupart du temps d'exposer son joli minois. Un film brouillon. Ou un brouillon de film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 589 abonnés 12 258 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juin 2011
    Un top model, un terroriste internationnal, un musicien, un trio au bord de l'explosion...Peintre de la rèalitè de la sociètè amèricaine et de toutes ses frustrations, le cinèaste James Toback nous entraîne avec ce thriller dèdalèen entre Paris et New York! La prèsence et le magnètisme de Nastassja Kinski sont spècifiques, d'une poignance sourde et insoutenable, avec le mystère de Garbo, l'esprit de Carole Lombard et l'èrotisme innocent de Marilyn Monroe! il suffit juste de la voir sourire, pleurer, danser ou se tourmenter, pour comprendre son talent! Dans le reste de la distribution on retrouve l'ènigmatique Rudolph Noureev, immense danseur dans l'une de ses rares apparitions au cinèma (ne vous attendez surtout pas à une chorègraphie endiablèe, Noureev ne danse pas, il joue du violon), Harvey Keitel en terroriste international (se saouler de westerns est l'une de ses prioritès), Pierre Clèmenti en petite frappe homo amoureux de Keitel et même une petite figuration de Bibi Andersson! Dans un scènario pour le moins insolite où Toback joue sur la fascination du spectateur, le monde de la mode et du terrorisme se confondent pour ne faire qu'un! Sans rien rèvolutionner, la mise en scène est virtuose avec des plans sèquences qui laissent souvent place à l'improvisation des comèdiens! La B.O est très diverse avec quelques tubes de vieux Rock'n Roll et même le "Felicità" de Al Bano & Romina Power qu'on entend à l'intèrieur - aussi incroyable soit-il - d'un MacDonald! Si le final est inabouti, le brio de la mise en scène et la beautè de Nastassja Kinski emportent l'adhèsion! A noter la belle musique de Georges Delerue...
    Marc V.
    Marc V.

    18 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 octobre 2007
    Entre New York et Paris, un violoniste (Rudolph Noureev) ayant perdu sa maman dans un attentat veut se venger du méchant terroriste (Harvey Keitel) en utilisant comme appât une jeune gourde du Wisconsin (Nastassja Kinski) devenue par hasard mannequin vedette.
    C’est sur cette trame fumeuse que James Toback cherche à nous entraîner dans un thriller qu’il veut labyrinthique tout en dénonçant la branchouille attitude des années 80.
    Malheureusement, le réalisateur lui-même semble s’être perdu dans son dédale et fini par se vautrer dans cette branchitude qu’il voulait critiquer.
    La pauvre Nastassja Kinski, si belle au naturel, se voit affublée d’horribles brushings choucroutés ou de cheveux gominés rehaussés d’un maquillage - à faire peur - typique de ces années là. Une époque où le fin du fin gastronomique était d’aller manger au... McDonald !!! (Le film à au moins le mérite, certes involontaire, de nous le rappeler).
    Bref, tout cela ne devait pas avoir grand intérêt à l’époque mais avec le temps, le film est carrément devenu insipide et ridicule. A l’image de cette scène où le musicien, interprété par un Rudolph Noureev insipide, joue un long morceau sur son violon pour le mannequin fascinée par sa virtuosité.
    "Vous ne jouez rien d’autre avec autant de passion ?" lui dit-elle.
    Pour toute réponse, le violoniste se met à passer son archet sur le corps de la jeune femme qui se pâme (on se demande bien pourquoi !) sous la "caresse". S’en suit une improbable empoignade où Nastassja Kinski joue tant bien que mal la fougue amoureuse tandis que son partenaire semble être autant attiré par elle qu’un camionneur par un fer à friser.
    Ajoutez à cela un Harvey Keitel qui cachetonne, un final bâclé et vous obtenez certainement un des plus gros navet de l’année 1983.
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