Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
MCinéma.com
par Hendy Bicaise
Cumulant les flash-back sur différentes périodes, les surprises du scénario et les vraies motivations des personnages se dévoilent peu à peu. Classique et (très) tordu à la fois, LES LARMES DU TIGRE NOIR est une véritable perle. Déjà culte !
Mad Movies
par Julien Sévéon
Film fou, bariolé et très, très haut en couleurs, Les Larmes du tigre noir nous offre un cocktail détonnant de cinéma de quartier 60's, type westerns et films d'action, servi par un cinéaste bien actuel. La révélation !
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Mieux qu'un film : un cadeau.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Moins drôle que mélancolique finalement, il reste, esthétiquement, super réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Plastiquement superbe, ce film est tellement artificiel qu'on ne parvient pas à se passionner pour l'histoire d'amour impossible entre jeunes gens de classes opposées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Forcément, sur de telles bases, le récit s'enlise vite. Mais le plaisir est à chercher ailleurs, du côté de la surenchère plastique. Les teintes pastel de bonbons anglais, à la limite du chromo, rouges presque roses, bleu clair irréels, évoquent ces réclames naïves que le voyageur aperçoit encore en Asie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
Il émane donc de ces Larmes rigolardes une permanente sympathie néanmoins minorée, sporadiquement, par de vénielles petites complaisances esthétiques.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le réalisateur court trop vite après les couleurs, s'épuise, s'essouffle à vouloir les attraper toutes, et fabrique un arc-en-ciel moribond et ranci.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
par Gérard Delorme
L'intrigue, exagérément niaise, sert à enfiler des situations lourdement symboliques à ppeine dissimulées sous une couche de fausse candeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
Cumulant les flash-back sur différentes périodes, les surprises du scénario et les vraies motivations des personnages se dévoilent peu à peu. Classique et (très) tordu à la fois, LES LARMES DU TIGRE NOIR est une véritable perle. Déjà culte !
Mad Movies
Film fou, bariolé et très, très haut en couleurs, Les Larmes du tigre noir nous offre un cocktail détonnant de cinéma de quartier 60's, type westerns et films d'action, servi par un cinéaste bien actuel. La révélation !
TéléCinéObs
Mieux qu'un film : un cadeau.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Moins drôle que mélancolique finalement, il reste, esthétiquement, super réjouissant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Humanité
Plastiquement superbe, ce film est tellement artificiel qu'on ne parvient pas à se passionner pour l'histoire d'amour impossible entre jeunes gens de classes opposées.
Télérama
Forcément, sur de telles bases, le récit s'enlise vite. Mais le plaisir est à chercher ailleurs, du côté de la surenchère plastique. Les teintes pastel de bonbons anglais, à la limite du chromo, rouges presque roses, bleu clair irréels, évoquent ces réclames naïves que le voyageur aperçoit encore en Asie.
Zurban
Il émane donc de ces Larmes rigolardes une permanente sympathie néanmoins minorée, sporadiquement, par de vénielles petites complaisances esthétiques.
Chronic'art.com
Le réalisateur court trop vite après les couleurs, s'épuise, s'essouffle à vouloir les attraper toutes, et fabrique un arc-en-ciel moribond et ranci.
Première
L'intrigue, exagérément niaise, sert à enfiler des situations lourdement symboliques à ppeine dissimulées sous une couche de fausse candeur.