Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
Un film qui vous happe dés les premières images et vous plonge dans son univers en une séquence et trente secondes. (...) En cela le réalisateur Marc Forster (...) a bien compris que la force du cinéma réside dans sa capacité d'évocation. Jamais Marc Forster ne cherche à influer le jugement du spectateur.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
L'atmosphère pesante de ces destins croisés est parfaitement retranscrite par sa mise en scène discrète : les pleurs, les crises, les remords mais aussi les espoirs des personnages nous sont livrés sur le vif et sans artifice. Mais Marc Forster n'aurait pu nous émouvoir à ce point sans d'irréprochables interprètes. Les deux acteurs principaux livrent une prestation complice et sans fausses notes.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Avec un duo d'acteurs étonnants (...). Halle Berry est particulièrement impressionnante en femme usée avant d'avoir vécu.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
Magistralement mis en scène, MONSTER'S BALL bénéficie également des exceptionnelles prestations de deux acteurs qui se répondent merveilleusement. Personnages que l'on comprend ou que l'on méprise, aime ou déteste, leurs profils hors-normes mais ô combien fragiles rendent grâce à une humanité que l'on croyait perdue.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Gwen Douguet
(...) un Billy Bob Thornton (...) avec une conviction à vous glacer le sang d'admiration. Une Halle Berry totalement habitée, se frottant sans complaisance à la noirceur du personnage - sans jeu de mots.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(Un) manque d'homogénéité finit par affaiblir le film. Pas au point d'empêcher A l'ombre de la haine d'être une des oeuvres les plus remarquables venues des Etats-Unis ces derniers mois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"A l'ombre de la haine" est une oeuvre puissante, qui frôle l'univers rugueux de grands romanciers américains comme Malcolm Lowry. Une scène d'amour très intense lui donne un mystère supplémentaire.
Première
par Gérard Delorme
La mise en scène, efficace et sobre, fait également confiance à l'intelligence du spectateur en laissant une large part au non-dit. Le registre émotionnel (...) est largement redevable à l'interprétation exceptionnelle d'Halle Berry et de Billy Bob Thornton, qui se mettent mutuellement en valeur dans un rare exemple de collaboration.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Stéphane Brisset
La caméra de Forster trouvant le juste équilibre entre attentisme et abstraction, A l'ombre de la haine explore adroitement le mélodrame. Genre ailleurs totalement insupportable, il devient ici, puisque proprement incarné, générateur d'émotions franches.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Olivier Bonnard
(...) dès que le noeud dramatique du scénario se resserre, la mécanique de la douleur se refroidit d'un seul coup et c'est avec un détachement inattendu qu'on observe les deux rescapés de ces tragédies tenter de recoller les morceaux.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Annie Coppermann
(...), autant de raisons qui peuvent ne pas dissuader de s'intéresser, malgré son sujet vraiment impossible, à ce deuxième long-métrage qui, en tout cas, annonce la naissance d'un réalisateur à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(...) le film, malgré sa mise en scène distante, manque totalement de subtilité, d'humour volontaire (...) et de point de vue réel sur ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
(...) le critique Jonathan Rosenbaum avoue avoir été touché par le film mais se demande si ce n'est pas pour de très mauvaises raisons, par exemple parce que le scénario dit ce que les Américains ont toujours eu envie d'entendre: que les péchés fondateurs du pays (esclavagisme, haine raciale) commis par la collectivité peuvent être lavés d'un coup d'un seul par la rencontre miraculeuse et rédemptrice de deux individus, par exemple un homme blanc et une femme noire. (...) A l'arrivée, non, tout n'est pas pardonné. Ou alors l'hostie a un drôle de goût...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
Il va sans dire que leur love story phagocyte le film ; mais la conviction que mettent Halle et Billy Bob à jouer le vieux standard du couple-imprévu-au-départ lui donne, à défaut d'un souffle, une seconde chance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Phiippe Piazzo
(...) des acteurs qui, à l'image de Billy Bob Thornton (...), pèsent tant leurs mots qu'ils semblent finir par les lâcher à contrecoeur. Et on étouffe bel et bien dans cette atmosphère à la Tennessee Williams, qui oscille entre l'hypnose et l'ennui.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Dans A l'ombre de la haine, les bourreaux sont des pères de famille esseulés qui recueillent de pauvres femmes, basanées mais pas trop, que leurs maris hors-la-loi ont laissé sur la paille. (...) On décerne par avance à A l'ombre de la Haine l'Oscar du film le plus hypocrite de l'année.
Chronic'art.com
par David Vincent
(...) on aimera toujours plus la beauté "monstrifiée" de la Gwyneth Paltrow du film des frères Farrelly que celle, au glamour faussement naturel, de la Halle Berry d'une telle daube fascisante et pompière.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film qui suinte l'hypocrisie par tous ses pores, tellement cette histoire de rédemption résulte d'un racolage sans bornes, sous couvert d'antiracisme et de dénonciation de la peine de mort.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Exercice pratique : dans la série "Sauvons la face des salauds", concoctez une rédemption en bonne et due forme pour Mr Grotowski (...) qui l'absoudra intégralement des tares citées plus haut et en fera un brave type aimable, comme on les aime.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cine Libre
Un film qui vous happe dés les premières images et vous plonge dans son univers en une séquence et trente secondes. (...) En cela le réalisateur Marc Forster (...) a bien compris que la force du cinéma réside dans sa capacité d'évocation. Jamais Marc Forster ne cherche à influer le jugement du spectateur.
MCinéma.com
L'atmosphère pesante de ces destins croisés est parfaitement retranscrite par sa mise en scène discrète : les pleurs, les crises, les remords mais aussi les espoirs des personnages nous sont livrés sur le vif et sans artifice. Mais Marc Forster n'aurait pu nous émouvoir à ce point sans d'irréprochables interprètes. Les deux acteurs principaux livrent une prestation complice et sans fausses notes.
Novaplanet.com
Avec un duo d'acteurs étonnants (...). Halle Berry est particulièrement impressionnante en femme usée avant d'avoir vécu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinopsis.com
Magistralement mis en scène, MONSTER'S BALL bénéficie également des exceptionnelles prestations de deux acteurs qui se répondent merveilleusement. Personnages que l'on comprend ou que l'on méprise, aime ou déteste, leurs profils hors-normes mais ô combien fragiles rendent grâce à une humanité que l'on croyait perdue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) un Billy Bob Thornton (...) avec une conviction à vous glacer le sang d'admiration. Une Halle Berry totalement habitée, se frottant sans complaisance à la noirceur du personnage - sans jeu de mots.
Le Monde
(Un) manque d'homogénéité finit par affaiblir le film. Pas au point d'empêcher A l'ombre de la haine d'être une des oeuvres les plus remarquables venues des Etats-Unis ces derniers mois.
Le Parisien
"A l'ombre de la haine" est une oeuvre puissante, qui frôle l'univers rugueux de grands romanciers américains comme Malcolm Lowry. Une scène d'amour très intense lui donne un mystère supplémentaire.
Première
La mise en scène, efficace et sobre, fait également confiance à l'intelligence du spectateur en laissant une large part au non-dit. Le registre émotionnel (...) est largement redevable à l'interprétation exceptionnelle d'Halle Berry et de Billy Bob Thornton, qui se mettent mutuellement en valeur dans un rare exemple de collaboration.
Zurban
La caméra de Forster trouvant le juste équilibre entre attentisme et abstraction, A l'ombre de la haine explore adroitement le mélodrame. Genre ailleurs totalement insupportable, il devient ici, puisque proprement incarné, générateur d'émotions franches.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) dès que le noeud dramatique du scénario se resserre, la mécanique de la douleur se refroidit d'un seul coup et c'est avec un détachement inattendu qu'on observe les deux rescapés de ces tragédies tenter de recoller les morceaux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Echos
(...), autant de raisons qui peuvent ne pas dissuader de s'intéresser, malgré son sujet vraiment impossible, à ce deuxième long-métrage qui, en tout cas, annonce la naissance d'un réalisateur à suivre.
Les Inrockuptibles
(...) le film, malgré sa mise en scène distante, manque totalement de subtilité, d'humour volontaire (...) et de point de vue réel sur ses personnages.
Libération
(...) le critique Jonathan Rosenbaum avoue avoir été touché par le film mais se demande si ce n'est pas pour de très mauvaises raisons, par exemple parce que le scénario dit ce que les Américains ont toujours eu envie d'entendre: que les péchés fondateurs du pays (esclavagisme, haine raciale) commis par la collectivité peuvent être lavés d'un coup d'un seul par la rencontre miraculeuse et rédemptrice de deux individus, par exemple un homme blanc et une femme noire. (...) A l'arrivée, non, tout n'est pas pardonné. Ou alors l'hostie a un drôle de goût...
Télérama
Il va sans dire que leur love story phagocyte le film ; mais la conviction que mettent Halle et Billy Bob à jouer le vieux standard du couple-imprévu-au-départ lui donne, à défaut d'un souffle, une seconde chance.
Aden
(...) des acteurs qui, à l'image de Billy Bob Thornton (...), pèsent tant leurs mots qu'ils semblent finir par les lâcher à contrecoeur. Et on étouffe bel et bien dans cette atmosphère à la Tennessee Williams, qui oscille entre l'hypnose et l'ennui.
Cahiers du Cinéma
Dans A l'ombre de la haine, les bourreaux sont des pères de famille esseulés qui recueillent de pauvres femmes, basanées mais pas trop, que leurs maris hors-la-loi ont laissé sur la paille. (...) On décerne par avance à A l'ombre de la Haine l'Oscar du film le plus hypocrite de l'année.
Chronic'art.com
(...) on aimera toujours plus la beauté "monstrifiée" de la Gwyneth Paltrow du film des frères Farrelly que celle, au glamour faussement naturel, de la Halle Berry d'une telle daube fascisante et pompière.
L'Humanité
Un film qui suinte l'hypocrisie par tous ses pores, tellement cette histoire de rédemption résulte d'un racolage sans bornes, sous couvert d'antiracisme et de dénonciation de la peine de mort.
Urbuz
Exercice pratique : dans la série "Sauvons la face des salauds", concoctez une rédemption en bonne et due forme pour Mr Grotowski (...) qui l'absoudra intégralement des tares citées plus haut et en fera un brave type aimable, comme on les aime.