Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
A l'image du récent Les Autres d'Amenabar, L'Echine du diable assume pleinement son classicisme et renouvelle avec brio le film d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
On sort de la projection malmené, brisé, écartelé, un peu mortifié par ce que l'on vient de subir mais plutôt ravi. Gage de réussite. Immoral, malsain, le genre fantastique acquiert là un style parfait qui le classe au sommet du cinéma de genre. Prouesse qu'il faut saluer à sa juste valeur.
Première
par Mathieu Carratier
Maîtrîsé d'un bout à l'autre, le scénario mêle avec aisance une multitude de thèmes et d'atmosphères.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Véronique Le Bris
Premier film espagnol du Mexicain del Toro, coproduit par les frères Almodóvar, L'Echine du diable est une surprise douce-amère, revenue bardée de prix du dernier Festival de Gérardmer.
Aden
par Philippe Piazzo
Avec un retournement final, bien dans l'air du temps, L'Echine du diable ne surprend pas beaucoup mais s'impose comme un excellent film d'atmosphère macabre (voire métaphorique) où règne, par ailleurs, un superbe couple : la femme unijambiste et son amoureux impuissant, magnifiques Marisa Paredes (l'interprète d'Almodóvar) et Federico Luppi (l'un des plus grands acteurs argentins).
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Avec L'Echine du diable, (Guillermo del Toro) réussit à replacer adroitement le cinéma de genre dans un contexte historique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Novaplanet.com
par Alex Masson
Guillermo Del Toro prend à rebrousse-chair de poule le concept en interrogeant la fonction des spectres, détenteurs malgré eux de la vérité qui entoure les vivants, gardiens de la frontière entre la réalité et l'au-delà.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
TéléCinéObs
par Grégoire Leménager
Le climat de cauchemar naît surtout d'un scénario qui, servi par d'excellents comédiens, mélange habilement film d'épouvante et film de guerre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Le dénouement est plus grand-guignolesque. L'ensemble est néanmoins de qualité avec deux excellents interprètes (...).
MCinéma.com
par Camille Brun
Le risque des films qui mélangent les genres est de finalement perdre leur intérêt dans la dilution des différentes histoires et effets. Ici, rien de tel. La recette, baignée d'une très belle lumière dorée, fonctionne, et le spectateur est constamment baladé dans les deux niveaux du scénario, grâce à des personnages attachants, bien décrits et parfaitement interprétés. On ne regrettera qu'une seule chose : la fin.
Télérama
par Pierre Murat
Certes, les deux adultes encombrent le récit. L'étrange professeur Casares et ses éprouvettes et la directrice à la jambe de bois (...) sont mal dessinés. Mais la lutte pour la survie de quelques gamins dépenaillés est intense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Les talents de mise en scène, la brillante utilisation des lieux (...), la qualité classique de la photographie et de la lumière (...) : tout se délite à mesure d'un scénario compliqué et fade.
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Histoire laborieuse et dénuée de mystère. Une déception venant d'un cinéaste plutôt doué.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
A l'image du récent Les Autres d'Amenabar, L'Echine du diable assume pleinement son classicisme et renouvelle avec brio le film d'horreur.
Cine Libre
On sort de la projection malmené, brisé, écartelé, un peu mortifié par ce que l'on vient de subir mais plutôt ravi. Gage de réussite. Immoral, malsain, le genre fantastique acquiert là un style parfait qui le classe au sommet du cinéma de genre. Prouesse qu'il faut saluer à sa juste valeur.
Première
Maîtrîsé d'un bout à l'autre, le scénario mêle avec aisance une multitude de thèmes et d'atmosphères.
Zurban
Premier film espagnol du Mexicain del Toro, coproduit par les frères Almodóvar, L'Echine du diable est une surprise douce-amère, revenue bardée de prix du dernier Festival de Gérardmer.
Aden
Avec un retournement final, bien dans l'air du temps, L'Echine du diable ne surprend pas beaucoup mais s'impose comme un excellent film d'atmosphère macabre (voire métaphorique) où règne, par ailleurs, un superbe couple : la femme unijambiste et son amoureux impuissant, magnifiques Marisa Paredes (l'interprète d'Almodóvar) et Federico Luppi (l'un des plus grands acteurs argentins).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Avec L'Echine du diable, (Guillermo del Toro) réussit à replacer adroitement le cinéma de genre dans un contexte historique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Novaplanet.com
Guillermo Del Toro prend à rebrousse-chair de poule le concept en interrogeant la fonction des spectres, détenteurs malgré eux de la vérité qui entoure les vivants, gardiens de la frontière entre la réalité et l'au-delà.
TéléCinéObs
Le climat de cauchemar naît surtout d'un scénario qui, servi par d'excellents comédiens, mélange habilement film d'épouvante et film de guerre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Le dénouement est plus grand-guignolesque. L'ensemble est néanmoins de qualité avec deux excellents interprètes (...).
MCinéma.com
Le risque des films qui mélangent les genres est de finalement perdre leur intérêt dans la dilution des différentes histoires et effets. Ici, rien de tel. La recette, baignée d'une très belle lumière dorée, fonctionne, et le spectateur est constamment baladé dans les deux niveaux du scénario, grâce à des personnages attachants, bien décrits et parfaitement interprétés. On ne regrettera qu'une seule chose : la fin.
Télérama
Certes, les deux adultes encombrent le récit. L'étrange professeur Casares et ses éprouvettes et la directrice à la jambe de bois (...) sont mal dessinés. Mais la lutte pour la survie de quelques gamins dépenaillés est intense.
Cahiers du Cinéma
Les talents de mise en scène, la brillante utilisation des lieux (...), la qualité classique de la photographie et de la lumière (...) : tout se délite à mesure d'un scénario compliqué et fade.
Les Inrockuptibles
Histoire laborieuse et dénuée de mystère. Une déception venant d'un cinéaste plutôt doué.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com