Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Shelby77
162 abonnés
1 532 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 9 décembre 2017
Dans son dernier souffle, cet opus discutable, pour le retour de Sean Connery, permet néanmoins à l'espion de ressurgir des bas-fonds de l'ennui. Un James bond à prendre avec beaucoup d'humour. 3/5
"Les diamants sont éternels est plutôt un bon film, bien qu'il ne soit pas vraiment à la hauteur des 4 épisodes précédents (depuis Goldfinger donc). Il est plutôt bien construit, il n'y a rien à redire là-dessus, mais au niveau de l'histoire, je trouve que c'est vraiment répétitif et c'est ce que je regrette le plus par rapport au potentiel qu'offrait la fin d'Au service secret de Sa Majesté. Donc, ça reste un bon film, mais je pense qu'il passe quand même à côté d'une grande partie de son potentiel."
Un chef d'oeuvre. Un très bon film d'espionnage. Sean Connery incarne brillamment James Bond. De très bons gadgets et de très belles femmes. Un Blofeld malchavelique et intelligent.
Après le tempêtueux passage de George Lazenby dans la peau de Bond, Connery revient sur un pont d'or, par ailleurs une des raisons pour lesquelles il ne reviendra pas jouer dans la série - mis à part pour le controversé Jamais plus jamais en 1983. Il va nous réintroduire dans la série à une époque où elle s'était faite oublier, peinant à renouer avec ses gadgets mais sans pudeur encore sur les démonstrations technologiques expérimentales : motos des sables, sous-marins de poche...
Et dans une volonté d'amadouer les Américains après le flop d'Au service secret de sa majesté, on n'oublie pas la référence impossible à rater sur la falsification du premier pas sur la Lune : les protagonistes arpentent allègrement un faux plateau qui en représente le supposé tournage. Pour la première fois dans la série, la "Bond girl" est Américaine. Sans oublier la déjà flambante et flamboyante Las Vegas qui sert de décor à des courses-poursuites pas mal bidouillées. Le tout non sans un esprit revanchard des Britanniques qui viennent ajouter avec bon goût le grain de sel de leur autodérision, sain contrepoids qui fait passer la pilule d'une post-synchronisation et d'effets spéciaux indécrottables de médiocrité.
Metteur en scène du génialissime « Goldfinger », Guy Hamilton entame, avec ce 7ème opus, une série de trois missions successives de plus en plus mineures pour le matricule 007. D’Amsterdam à Las Vegas, le célèbre agent du MI6 traque une fois de plus Blofeld, incarné par un bon Charles Gray. Action, humour et cynisme même sont au rendez-vous mais rien n’enflamme véritablement l’écran. Divertissant "à la manière d’un James Bond", « les Diamants sont Eternels » est donc un retour en demi-teinte pour Sean Connery pour un plaisir de fan quelque peu bafoué pour le coup.
C'est pour moi le James Bond le moins réussi avec Sean Connery quoique faisant un peu oublier le résultat en partie décevant qu'avait été Au service secret de sa Majesté. Le film traîne avec une première partie monotone (tout en se rattrapant avec une seconde partie plus mouvementée). Blofeld n'est pas assez charismatique et menaçant. Certaines scènes frôlent le ridicule comme cette scène de poursuite avec un engin lunaire. Mais le pire demeure quand même Jill. Cette James Bond girl n'est ni attachante, ni même vraiment séduisante (enfin, peut-être est-ce à cause du fait que je préfère les filles aux cheveux longs). En plus, je crois qu'il s'agit d'une des James Bond Girls les plus idiotes qu'on ait vu dans la série. Mais au moins, les scènes de combat sont cools, le scénario sympa et Sean Connery correct. Et le couple de tueurs homosexuels, Mr Wint et Mr Kidd, s'oublie difficilement (dans le bon sens du terme). Un film relativement drôle et sympa à voir quoique loin d'égaler les précédents volets avec Connery.
Les Diamants sont Éternels est un film pas mal, mais à mes yeux un des moins bons James Bond de la saga. Sean Connery est évidemment parfait en James Bond, rôle qu'il habite à la perfection. Son élégance, son humour et son flegme britannique marche à merveille. Jill St John est un James Bond girl très crédible. Charles Gray est très bon en Blofeld. Bref, le casting, à quelques exceptions près, est plutôt réussi. Par contre, le problème vient de l'humour, mal dosé qui rend les personnages plus ridicule que comique. À commencer par les personnages de Wint et Kidd, tellement caricaturaux en méchants avec un rire de sadique qui sonne tellement faux. spoiler: Même leur mort est consternante. Sans blague, brûlé au barbecue et éjecté d'un bateau avec une bombe entre les testicules, c'est une mort indigne pour des antagonistes de premier rang dans un film James Bond. Et je ne parle de la mort du double de Blofeld, tué parce qu'on lui a envoyé un chat dans la figure !!! Qu'est-ce que c'est que cette blague ? Je veux bien croire que le film cherche à adopter un ton léger, mais il y a des limites. Au-delà, de ce choix de tonalité très contestable, le reste est tout à fait digne d'un James Bond de l'ère Sean Connery. Les scènes d'action, si elles ont un pris un petit coup de vieux avec tout ce temps, restent de bonne facture et sont divertissantes. Diamonds Are Forever, chanté par Shirley Bassey, figure incontestablement parmi les meilleures chansons de James Bond. Comme tout James Bond, le film se regarde, mais si vous êtes un fan de la saga, c'est sans doute un de ceux qui vous décevra le plus.
Ah les bons vieux James Bond où un coup de pied dans le bras te sèche un homme lorsqu'il n'est pas évanoui après une chute d'un mètre de haut... Certains films de la franchise 007 ont assez mal vieilli, surtout en ce qui concerne les scènes de bagarres ou encore les dénouements à la con qui rendent la chose "légèrement" ringarde. Le style de l'époque est bien à sa place, James Bond se sort de nombreuses situations dangereuses par des techniques improbables et ridicules, et quand bien même celles-ci pourraient paraître crédibles, c'est la réalisation qui rendra la chose douteuse, mais c'est aussi cet aspect qui rendait ces anciens James Bond charmants. Et malgré le fait que l'on connaisse parfaitement la recette, chaque opus de cette franchise peut faire son petit effet en nous présentant, des environnements, des situations et des idées (même si certaines seront foireuses) bien différentes dans chaque enquête, avec toujours quelques passages ridicules, dont certains seront alimentés de punchlines. Hormis cela, Sean Connery a toujours la classe dans ce rôle qui lui va comme un gant. Les diamants sont éternels, le film pas vraiment, mais Sean Connery dans le costume de Bond le restera sans conteste.
Quelques scènes spectaculaires, une sympathique BO de John Barry et la présence de deux belles James Bond Girls (Jill-Saint John et Lana Wood) ne sauve pas cette septième aventure du célèbre agent secret. Le déroulement de l'intrigue est ultra prévisible, les trucages ne sont pas réussis, la réalisation bien peu séduisante et Sean Connery fait ici une interprétation bien fade. "Les diamants sont éternels" est donc pour l'un des plus mauvais opus de la saga.
1971, l'avènement de l'ère Connery. Étrangement, l'orientation apportée à cette réalisation la classerait aisément dans la décennie 80. La preuve d'un vieillissement positif, comme la saveur d'un bon vin et une BO De Shirley Bassey. Si les Diamants sont éternels, ce 7ème opus n'est cependant pas un 1er cru, car divertissant mais imparfait. La décadence outrancière de ces années folles transpire de chaque plan comme une évidence, cynisme dans l'humour, mustang mach 1 sur deux roues. Bond s'enrichira d'un court séjour au four crématoire, de quoi chauffer les étiquettes. Et puisque notre gourmandise n'est jamais satisfaite, quoi de mieux qu'une course poursuite loufoque dans le désert du Nevada au volant d'un véhicule lunaire. Cette dernière tirade de Sean Connery est à l'annonce d'une nouvelle ère plus décontractée et caricaturale où Roger Moore sera l’ambassadeur. Un bon popcorn movie. 3,5/5
J'ai vu un film... qui met James Bond au prise avec les années 70, la révolution sexuelle et la coquinerie qui s'expose au total... Et on vit une aventure d'espion qui doit arrêter le Spectre qui veut dominer le monde... La chanson, elle, est mythique et est restée dans l'histoire de James Bond, et cet épisode est le dernier de Sean Connery (enfin, avant qu'il ne dise "Jamais plus Jamais"). Les points positifs sont les suivants : une première partie pour poser l'histoire des diamants, les tueurs qui fonctionnent par paire cette fois-ci, Et puis, une fois l'histoire posée, on sombre dans une approche de totale platitude... mais que voulez-vous, c'est James Bond... alors on aime :) !!! Sacré James !
7 ème opus de la saga et dernier avec Sean Connery, "les diamants éternels" est un bon James bond. Les méchants sont bien représentés avec Blofeld et les surtout les deux tueurs homosexuels. On y retrouve tous les ingrédients (gadgets, femme, et scène finale). Sean Connery commence à vieillir et joue plus sur l'humour que l'action.
Un grand plaisir de retrouver Sean Connery pour ce film.Tout est mis en place pour nous tenir en haleine jusqu'à la toute fin.Le casting est bon avec une nouvelle tête pour incarner le personnage de Félix. L'histoire est entraînante et si les scènes d'action sont présentes on a également le droit à quelques gadgets. De plus la bande originale est magnifique avec la chanson principale interprétée par Shirley Bassey.
Quelle déception ce dernier de Sean Connery...un film très plat, parfois ennuyeux et une James bond girl très potiche malheureusement. J'ai cependant bien aimé les passages enfin digne de J-B c'est a dire beaucoup d'infiltration et espionnage. Il fait pas partie des meilleurs de S-C mais faut reconnaître qu'il a fait un très grand James-Bond. Maintenant place a Roger Moore
Après le magnifique et unique opus de George Lazenby, Sean Connery est de retour pour un sixième dernier épisode (officiellement)! Autant le dire maintenant, il est toujours excellent dans le rôle de l'agent secret, même après 4 ans sans l'interprété. Là ou j'avais décelé un léger désintérêt de sa part pour le personnage dans "On ne vie que 2 fois", je n'ai pas ressenti ça ici. Pour la première fois, la James Bond Girl est une américaine. Mais autant dire maintenant qu'elle est légèrement stupide et qu'on a vite fait de l'oublié, notamment après l'excellente Diana Rigg. Les personnages secondaires sont convaincants dans leurs rôles respectifs. Le méchant, Blofeld à nouveau, est sans doute le moins bon de la série. Il n'est pas mauvais, mais bien moins convaincant que les autres. Le scénario est simple mais nous garde éveillé, il avance bien. Je ne me suis pas ennuyé une seule fois. Tout comme Bond 6, les combats sont très bien réalisés mais sont moins nombreux il me semble. Quelques nouveaux gadgets sont de sortie dans cet opus et sont assez sympathique et pratique pour l'agent secret. La BO du générique est très bonne elle aussi. Malgré qu'il soit moins bon que le dernier opus, "Les Diamants sont éternels" dit au revoir à Sean Connery comme il faut !