Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Vador49
27 abonnés
8 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un excellent James Bond très bien mené par Sean Connery, le meilleur des 007 ! L'intrigue est bien tournée et les scènes d'action spectaculaires. La rencontre ouverte avec le chef du "spectre" est assez rare pour être mentionnée. Un bond'ivertissement en perspective !
En 1970, le franchise Bond est en difficulté. Le sixième opus n'a pas marché autant que ses prédécesseurs, et George Lazenby refuse de ré-endosser le costume de 007. Pour faire rebondir la franchise, les producteurs parviennent à ré-embaucher Sean Connery (avec un salaire mirobolant pour l'époque), et le tour semble joué... Toutefois, "Diamonds are Forever" n'a pas convaincu tout le monde, et demeure aujourd'hui quelques peu en désamour avec les fans. En effet, là où on s'attendait à une vendetta sombre après la fin uppercut de "On Her Majesty's Secret Service", le film expédie cette vengeance dans une courte séquence pré-générique (on relève néanmoins une violence plus prononcée qu'auparavant). S'en suit une intrigue autour d'un trafic de diamants, qui s'avère légère et souvent kitsch. Sans compter un humour au machisme plus marqué, la faute aux Bond girls particulièrement cruches de ce volet, et à un couple d'assassins homosexuels présenté comme aussi dangereux que maniéré ! Un dernier élément osé pour l'époque, qui apporte un peu d'originalité... Pour le reste, Sean Connery n'est clairement pas aussi motivé qu'on l'a connu, mais apporte toujours élégance, classe, et impertinence au rôle de James Bond. Malgré certains éléments artificiels du scénario, les séquence d'action sont sympathiques, et le dépaysement agréable (Bond visite Amsterdam et l'Ouest américain).
Un bon scénario , des scènes aux sous-entendus osés pour l'époque , le retour en fanfare de Connery , une Bond girl qui porte bien le bikini mais pas beaucoup de scènes anthologiques par rapport aux autres. Néanmoins beaucoup de victimes ce qui est rare dans les Bond. Une chanson lyrique...Bond is forever like diamonds !
Lazenby a remis sa veste au vestiaire, et pour le plus grand plaisir des fans, Sean Connery est de retour pour sa dernière venue dans les "James Bond", exception faite de "Jamais Plus Jamais". Dans ce dernier film avec Sean Connery, on assiste à la dernière représentation du Spectre, msi en déroute maintes et maintes fois par James Bond, qui s'acharne maintenant contre Blofeld, jusqu'à le tuer, pour se rendre compte que ce dernier a eu l'idée malsaine de se cloner, semblant alors invulnérable. Avec le retour de Sean Connery, le scénario, qui était un peu léger dans "Au Service Secret De Sa Majesté" est ici haut en puissance, avec un trafic de diamants international. Bond se retrovu ecette fois-ci aux Etats-Unis, avec de nouvelles scènes d'action en voiture ou avec des pistolets, qui raviront tous les films du genre. Personnellement, "Les Diamants Sont Eternels" reste pour moi l'un des meilleurs "James Bond" de la saga.
Un excellent James Bond !!! Des cascades extraordinaires, de l'action non stop, des gros retournements de situations, 2 chasseurs magnifiquement interprétés, de l'humour à tomber par terre, bref, j'ai adoré. Sean Connery est vraiment au top dans cet opus meme si les cheveux commencent a grisonner héhé. Un blofeld, toujours méchant. Mais, je trouve que le défaut du film est la pauvreté de l'histoire. On avance mais on n'a pas l'impression de suivre réellement la mission. Bref, à voir !!
Le pourtant superbe OHMSS avait fait un flop, Broccoli ne s'entendait plus si bien avec Saltzman, la série appréhendait son entrée dans les 70's, le cinéma ayant déjà pas mal mué à cette époque (les James Bond à Papa auraient-ils eu le même succès ?)... Il s'agissait de jouer la sécurité, avec le grand retour de Connery forcément. Et la magie est toujours là. Mené par l'une des meilleures partitions de John Barry, le film introduit un summum d'ironie dans une série qui jusque là ne la maniait qu'histoire de balancer quelques bons mots. On assiste donc à des scènes aussi ridicules que réussies étrangement (pas toujours non plus, faut pas déconner), et tout ça baigne dans une certaine noirceur, suggérée en partie par Connery, qui apporte un nihilisme impressionnant au personnage (annonçant déjà celui de "Jamais Plus Jamais"). Ou comment les Bond ont dérapé pour devenir de plus en plus marrants à voir. Ça tient peut-être à ça, la longévité.
"Les Diamants sont éternels" est un film qui vient à la rescousse d'"Au Service secret de sa Majesté", flop financier. Sean Connery ne nous offre pas une excellente prestation dans ce film, certes, mais il reste tout de même l'immense acteur que l'on connaît. L'histoire n'est pas franchement très palpitante, les cascades non plus. Hamilton nous offre ici un James Bond quelque peu ennuyeux et on se demande parfois si c'était vraiment si compliqué de faire un film légèrement meilleur.
Le choix des personnages, de la photographie et la truculence des dialogues sont beaucoup moins émoussés par le glamour et la légèreté ( cette dernière ressortant surtout dans les épisodes avec R. Moore ) que l'on trouve dans les autres 007 d'avant T. Dalton et donc avant l'ère du James Bond "sérieux - classe moyenne - glacial".
Ici la violence de la vie réelle, celle qui tanne la peau et creuse les rides de S. Connery, est présente derrière la légèreté.
C'est le seul James Bond qui en appelle aussi radicalement à la polémique en présentant la Bible comme simple accessoire criminel dans les mains-mêmes d'une personne qui professe l'enseignement des évangiles!
Tout cela confère une tension qui rend cet épisode particulier.
( À part la scène finale, qui me semble trop facile ... )
Sean Connery is back! Pourtant le scenario suit moins. Un james Bond plus américanisé et également plus noir et sans pitié ( remarquez, vu ce qu'il s'est passé dans l'épisode précedent on comprend qu'il soit furax, on va pas lui en vouloir à ce pauvre James). Reste tout de même des personnages interessants et amusants tels que les deux pédérastes tueurs Mr Wind et Kidd qui nous offrent une des plus belles et humoristiques fin de James Bond.