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faeriebandmetal
52 abonnés
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4,0
Publiée le 6 septembre 2007
Connery revient après avoir laissé son rôle à George Lazenby pour Au Service Secret De Sa Majesté, et bien j'aurais aimé que Connery revienne pour un Bond bien plus convaincant sachant que ce sera son Bond ultime (je ne compte pas Jamais plus Jamais...). Les diamants sont éternels reste un bon divertissement mais reste assez mou dans l'ensemble qui reste très long à démarrer et galère à nous apprivoiser. Heureusement que le tout s'améliore après 3 quart d'heure de film et nous offre de bonnes cascades et du bon temps.
Il faut l'avouer, Bond entame les années 70 sans trop savoir de quoi l'avenir sera fait : les producteurs ont été obligés de convaincre Sean Connery de revenir une dernière fois jouer le rôle de 007. Première surprise, Sean à pris un petit coup de vieux : les rides sont plus nombreuses, et le ventre plus aussi plat que par le passé... Pour la première fois, le film transporte le spectateur aux Etats-Unis. Le film est donc très américain par rapport aux opus précédents. Il y a peu de style, peu d'action, un scénario un farfelu et quelques scènes assez kitch. Sean assure le minimum syndical. Bref, le film n'est pas mauvais. Juste passable...
Si il est bien meilleur et bien plus intéressant que "Au service de sa majesté", ce Bond n'en demeure pas moins une petite déception. Déjà, c'est triste pour Sean Connery qui avait bien fait de prendre sa retraite après l'excellent "On ne vit que deux fois" et qui revient pour ce Bond plutôt bas de gamme. Mais bon, il est revenu que pour l'argent et pour sa carrière donc on ne va pas trop le plaindre non plus. Si l'intrigue part bien et se révèle intéressante au départ (l'homme au sommet de son Casino de Las Vegas que personne n'a jamais vu, plutôt intrigant comme début), cela tourne malheureusement rapidement au ridicule avec les deux tueurs à l'humour bien pourri qu'apparemment je suis le seul à ne pas avoir apprécié parmi les critiques. Les dialogues ont parfois un humour bien lourd si bien qu'on en vient à avoir du mal à les supporter à force. Et là où ce James Bond devrait être une apothéose avec l'affrontement final contre Blofeld, il ne parvient à convaincre que timidement tant certaines scènes sont pitoyables, notamment celle avec les rayons lasers et la fuite à bord de l'engin lunaire. Le final, si il nous offre un assez bon dialogue entre Blofeld et Bond est malgré tout très léger et le lieu choisi ne collait clairement pas pour que ces deux-là puisse en découdre. Il me semble qu'il y a une scène où le méchant essaye de s'enfuir en mettant son bateau à l'eau avec une grue et où James Bond prend le contrôle de la grue et n'arrête pas de le secouer et de le balancer contre le décor, c'est quand même assez ridicule comme fin. Mais bon, on est quand même content de revoir Sean Connery et le film se laisse suivre, donc 2 étoiles malgré tout. Tout juste moyen quand même.
J'adore décidément cette saga à part 2 ou 3 épisodes, c'est toujours du grand divertissement avec un acteur pour un personnage tous les deux cultes. La musique est envoutante et ce volet est un très bon crû.
Même si c'est le dernier James Bond avec Sean Connery, Les diamants sont éternels laisse un amer goût de déjà -vu. On retrouve le grand méchant Blofeld multiplié pour l'occasion sans qu'on en conaisse vraiment la raison impliqué comme de par hasard dans une histoire de diamants sur laquelle enquête Bond...Même si le film présente quelques scènes interessantes (la poursuite en voiture à Las Vegas notamment...), la plupart sont souvent confuse: le désordre de l'avant dernière scène sur la plate-forme pétrolière le confirme... Pourtant tout n'est pas à jeter dans septième opus: on retrouve un humour omniprésent et des scènes assez divertissantes qui rendent l'ensemble agréable à regarder...même si l'on est bien loin d'un opération Tonnerre. Et il est important de constater que la James Bond Girl retrouve son statut de potiche inutile, marque de fabrique des James Bond qui pourtant avait disparue dans l'opus précedent: il aurait été préferable de continuer dans la voie d'Au Service Secret de Sa Majesté car on a un peu l'impression que le James Bond "made by" sean Connery est un macho fini et que toutes les femmes qu'il rencontre sont des faire-valoir...c'est dommage qu'il est fallu attendre Casino Royale pour retrouver un personnage féminin un peu plus developpé.
Bref "Les Diamants sont eternels" est un James Bond honnete mais qui surfe un peu trop facilement sur la vague de popularité entammée avec les précedents James Bond de Sean Connery...à voir, sans plus...
Le film qui inaugura la première catégorie des mauvais Bond, les "Bond parodiques". Revenu plus pour l'argent que pour l'amour de 007, Sean Connery, valeur plus sûre que George Lazenby, s'amuse plus de son rôle qu'il ne le joue (impossible de ne pas éclater de rire en voyant sa tête quand il s'entend dire qu'il a "tué" James Bond alors qu'il s'agit d'un simple trafiquant). Son cabotinage reste toutefois plaisant, à ceci près qu'il commencait a se faire un peu vieux pour ces "conneries" (rions camardes). L'ensemble du film est d'une grande loufoquerie, à l'image de son acteur principal, ce qui le rend a la fois si faible (ce n'ets pas vraiment ce qu'on attend d'un Bond) et si fort (on ne s'ennuie pas a force d'attendre le prochain truc débile). Les dialogues sont assez à l'ouest ("C'est alimentaire mon cher Leiter !") de même que nombre de situations (la cassette planquée dans la culotte de Tiffany ou la fuite de Bond en buggy lunaire). Certains acteurs sont dans le même ton, l'impeccable Bernard Lee cabotinant étrangement et Jill St John voit son rôle s'affadir au fur et à mesure que le film avance. Malgré tout, cela ne suffit pas a nous faire fuir, le film comptant quand même plusieurs bons points: le couple de tueurs Wint/Kidd, immoral et inquiétant, la présence vivifiante de Lana Wood en Bond girl sexuellement agressive et le cadre luxueux de Las Vegas comme terrain de jeu (sans mauvais jeu de mots) de 007. En gros c'est un peu n'importe quoi mais ca reste amusant ! Enfin c'est juste mon avis !
En 1970,le schéma demeurait simple:James Bond=Sean Connery.Or l'année précédente le schéma n'était pas respecté.Donc que le film soit bon(très bon!)ou pas(faux!)peu importe,on s'en balance,c'est pas Sean,donc c'est pas un "James Bond".Pauvre George!Mais alors que faire lorsque Sean à rendu son costume?La réponse est simple,lui en acheter un nouveau.Et c'est ce qu'on a fait.Hélas,le costume était trop petit!Enfin,c'est l'impression que ça donne.Pareil pour la moumoute.L'avant dernière prestation de sir Connery dans la peau du grand James fait partie des plus décevantes.L'intrigue patauge et ne passionne à aucun moment,pareil pour Charles Gray qui se retrouve sans vraiment le savoir dans le rôle de Blofeld.Pour la dernière apparition du plus grand méchant que le monde ait jamais connu,la déception est de taille.L'humour assez discret dans les épisodes ultérieurs se révèle ici lourd(et encore ce n'est que le début!) tout comme les personnages extravagants.Le film souffre de ne pas se prendre au sérieux et on a du mal à croire que c'est Hamilton qui dirige tout ça.Toutefois,le film recèle quelques aspects intéressants comme le prégénérique court mais original ainsi que les décors de Ken Adam qui valent le détour.On a tout de même le plaisir de retrouver Sean qui même s'il parait plus vieux et fatigué qu'autrefois,garde le charme qu'il l'avait rendu célèbre bien des années plus tôt."Les diamants sont éternels" est donc un film distrayant(c'est le bon mot)mais qui a du mal à tenir la distance mais qui se rattrape grâce à certaines séquences réussies
1971. Retour raté dans la peau de l’agent secret pour le grand Sean Connery qui ne parvient pas à sauver le film du naufrage malgré son jeu et son charisme. Jamais plus jamais, dira t'il à l'époque... Alors que l’on avait pris un virage plus sombre et réaliste avec George Lazenby, on retourne en arrière avec un scénario plus fantaisiste et une bien mauvaise distribution, notamment les personnages de Blofeld (allié de 007 dans le 5ème film) et Tiffany Case. Une idée très novatrice tout de même : le clonage de Blofeld ! Dommage que Lazenby ait été détruit par le public et viré par la production en 1969…
"Les Diamants sont éternels" marque la fin de l'ère Sean Connery, considéré par beaucoup comme l'un des meilleurs acteurs ayant enfilé le costume de 007.Le 7ème épisode de la saga marque aussi un retour au source après l'échec commercial de "Au service secret de sa Majesté" avec le retour de Connery mais aussi du réalisateur Guy Hamilton ("Goldfinger").Les producteurs n'ont pas pris trop de risques et ont livré un James Bond classique et très peu novateur.Mis à part le couple de tueurs que forment les fabuleux Mr Kind et Mr Wind, les personnages manquent de relief ce qui n'est toutefois pas le cas de l'histoire.Après s'être attaqué à l'or avec "Goldfinger", Hamilton s'attaque aux trafiques de diamants avec une histoire complexe où l'on voit les diamants passés de main en main sans se doutés à qui ils sont destinés et dans quel but.Reste quelques scènes cultes comme la poursuite en voiture dans les rues de Las Vegas ou encore la fuite en engin spatial dans le désert, des choses que seul Bond peut réaliser.Shirley Bassey revient pour la chanson du générique et nous livre à nouveau une interprétation merveilleuse.Un épisode type qui n'a pas la prétention d'être un tournant dans la saga et qui ne se contente que de satisfaire les fans et les amateurs de films d'espionnage.
Si l'action n'est pas aussi omniprésente que dans les précédents opus, ce James Bond ne manque pas d'intérêt. Tout d'abord dans l'humour toujours second degré, mais aussi dans l'interprétation et la mise en scène. Ce Blofeld (Charles Gray) n'est pas mal du tout et Jill St John s'en sort à très bon compte.
Après un James Bond des plus banal, Sean Connery revient enfin dans la peau de 007 après avoir laissé sa place au très peu talentueux Lazenby. Les diamants sont éternelles est pour mois numéro 3 dans ma liste des dix meilleurs Bond de la saga. Tout y est, à commencer par le charisme et le charme de Sean Connery. Les James Bond girls sont magnifique: je fantasme à chaque apparition de Jill St.John, et les scènes d'action sont comme de coutumes à la hauteur des attentes de tout fan de 007. A ne manquer sous aucun prétexte.
Déçevant, mais ça reste quand même un très honnête divertissement. Le début laisse présager du pire, mais dans l'ensemble, ces "Diamants" se laissent admirer sans trop de peine. Je ne le considère pas comme un des meilleurs, mais plutôt comme un des moins bien estimés de la saga. A voir.
Pendant longtemps j'ai considéré Les Diamants sont éternels comme l'un des plus mauvais film de la saga 007, en revoyant tous les films je me dis que finalement il est pas si mal que ça. Même s'il est clair que c'est l'un des moins réussis de la saga or ce n'est pas un mauvais film pour autant et il reste divertissant. Contre un gros cachet Sean Connery accepte temporairement de rejouer pour l'agent 007 après l'abandon de George Lazenby qui n'avait pas convaincu le public même s'il n'a pas démérité. Et il a toujours autant de prestance dans la peau de James Bond et Jill St-John de superbes formes, sans oublier l'apparition de Lana Wood. Guy Hamilton revient à la réalisation et il insuffle du dynamisme à un scénario qui en manque. Le film débute très bien comme un vrai film de la saga, la partie à Amsterdam est sympa mais trop brève par contre elle comporte la meilleure scène du film : une bagarre brutale dans un ascenseur exigu. Le reste du film se déroule aux USA pour séduire les spectateurs américains, et ça passe au Nevada à Las Vegas ce qui donne un côté un peu kitch à ce film qui a presque un ton parodique. Connery est très décontracté dans ce film, il est nonchalant mais plus efficace que ses partenaires américains. Le méchant du film est encore Blofeld interprété cette fois-ci par Charles Gray peu menaçant dans le rôle. Il y a aussi un duo de tueurs homosexuels assez farfelus à défaut de faire réellement peur. Le final sur la plateforme pétrolière n'est pas la plus prestigieuse de la saga mais elle est quand même divertissante. L'ultime scène finale sur le paquebot est amusante. Donc si ce n'est pas le plus fabuleux James Bond qui a été tourné, ce n'est pas non plus le film raté que j'avais gardé en mémoire. Niveau musique John Barry est toujours inspiré et Shirley Bassey livre une belle chanson.