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🎬 RENGER 📼
James Bond enquête sur un vol de diamants en Afrique du Sud qui va l’emmener des Pays-Bas jusqu’au États-Unis où il devra faire face à nouveau à l’organisation criminelle SPECTRE.
Après On ne vit que deux fois (1967), Sean Connery avait décidé de quitter la franchise, ne souhaitant plus incarner l’agent 007. Après la seule et unique participation de George Lazenby dans le rôle de James Bond dans Au service secret de Sa Majesté (1969), finalement Connery accepta de reprendre le rôle une dernière fois (moyennant finance !). A la réalisation, on retrouve Guy Hamilton, à qui l’on doit l’excellent Goldfinger (1964).
Les diamants sont éternels (1971) déçoit à plus d’un titre, en dehors d’avoir affaire à un scénario des plus lénifiant, on ne pourra pas non plus compenser avec les scènes d’action qui s’avèrent toutes plus fades les unes que les autres (la séquence absurde du crématorium, la course-poursuite en véhicule lunaire pourchassé par des buggys dans le désert s’avère pathétique au plus haut point, sans parler de celle à Las Vegas qui répète inlassablement la même chose avant de tenter une pirouette sur deux roues totalement ridicule ou encore la scène de la plateforme pétrolière avec des pétards en guise d’explosions). Du côté des décors là aussi, cela ne relève pas le niveau, sans parler des problèmes de rythme, c’est tellement lancinant que cela ne fait qu’empirer les choses.
De la part de Guy Hamilton, on était clairement en droit de s’attendre à tout sauf à ça : un scénario qui part dans tous les sens et fini même pas devenir incompréhensible. Pour ce dernier opus de la franchise James Bond incarné par Sean Connery (en faisant abstraction de l’adaptation non officielle de 1983), c’est une sacrée déception.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Après On ne vit que deux fois (1967), Sean Connery avait décidé de quitter la franchise, ne souhaitant plus incarner l’agent 007. Après la seule et unique participation de George Lazenby dans le rôle de James Bond dans Au service secret de Sa Majesté (1969), finalement Connery accepta de reprendre le rôle une dernière fois (moyennant finance !). A la réalisation, on retrouve Guy Hamilton, à qui l’on doit l’excellent Goldfinger (1964).
Les diamants sont éternels (1971) déçoit à plus d’un titre, en dehors d’avoir affaire à un scénario des plus lénifiant, on ne pourra pas non plus compenser avec les scènes d’action qui s’avèrent toutes plus fades les unes que les autres (la séquence absurde du crématorium, la course-poursuite en véhicule lunaire pourchassé par des buggys dans le désert s’avère pathétique au plus haut point, sans parler de celle à Las Vegas qui répète inlassablement la même chose avant de tenter une pirouette sur deux roues totalement ridicule ou encore la scène de la plateforme pétrolière avec des pétards en guise d’explosions). Du côté des décors là aussi, cela ne relève pas le niveau, sans parler des problèmes de rythme, c’est tellement lancinant que cela ne fait qu’empirer les choses.
De la part de Guy Hamilton, on était clairement en droit de s’attendre à tout sauf à ça : un scénario qui part dans tous les sens et fini même pas devenir incompréhensible. Pour ce dernier opus de la franchise James Bond incarné par Sean Connery (en faisant abstraction de l’adaptation non officielle de 1983), c’est une sacrée déception.
(critique rédigée en 2011, réactualisée en 2022)
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Encore Mieux que les précédents, surtout celui avec Lazemby qui était plus que ridicule, Sean Connery est de retour. Il a un peu vieilli (et grossi), mais sa classe, son talent n'a pas changé !
Bons acteurs, surtout Bolfed et superbes effets spéciaux pour l'époque.
A ne pas manquer !
Bons acteurs, surtout Bolfed et superbes effets spéciaux pour l'époque.
A ne pas manquer !
Un James bond assez décevant (car muni d'un scénario plus que limite) mais qui se ratrappe par les cascades et les effets spéciaux, lien de toutes les films de 007.
Petite baisse de régime de la part de Sean Connery pour son avant-dernier film sous le smoking de l'agent 007.
Le dernier des James Bond interprété par Sean Connery est pluôt moyen. 007 s'enlise dans une histoire de diamants qui ne tient pas du tout la route. Pire encore, Blofeld, qui est pour moi mon méchant préféré est mal mise en scène (les différents Blofeld...). Seules les scènes d'actions et les poursuites (quoique la poursuite avec le module lunaire est pathétique...) sauvent le nauffrage...
Dernier film de la saga james bond avec sean connery et ou on le retrouve toujours aussi extraordinaire que dans les autres films bond qui l'a interprété.Un bond avec de très bons comédiens,une bonne réalisation,un bon scénario.Un bond a ne pas manquer
Très déçu par l'avant dernière participation de Sean Connery dans la série. les scènes d'action sont biens... Mais c'est long,long... J'ai failli m'endormir.
Après "l'intérim" de George Lazenby, Sean Connery est de retour... et c'est tant mieux ! Certes, le légendaire interprète de 007 a vieilli (sa moumoute ne s'est jamais autant vu) et s'est un brin empâté mais son charisme, sa classe so british et son sens de l'humour font toujours la différence. C'est d'ailleurs lui qui porte le film sur ces épaules car il faut bien reconnaître que ce 7e Bond est le moins bon de sa "période". La faute à un BO trop peu présente, un scénario un peu brouillon (Blofeld qui se multiplie, le trafic de diamants, le laser...), des scènes de poursuite pas terribles (que ce soit en voiture dans Las Vegas ou en jeep lunaire) et des effets spéciaux plus que datés. Pourtant, on retiendra de ce film un ton plus cru (avec d'excellentes répliques et des James Bond girls plus dénudées), un très amusant duo de tueurs (qui éclipse presque Blofeld) et quelques scènes réjouissantes (la bagarre dans l'ascenseur, le final sur le bateau...). A ne pas louper, la séquence pré-générique où Bond (qui ne dévoile pas immédiatement son visage) sillonne la planète à la recherche de Blofeld !
Ce james bond est sympathique, mais manque de punch. Il est plus basé sur "jte passe les diamant, tu meurs" que l'action. On assiste tout de même à un excellent sean connery parfait dans son rôle.
Le Dernier de Sean Connery (mise à part Jamais plus jamais), mais aussi le plus décevant.Sean Connery joue
a peine bien, les scènes d'actions sont limite excellente.
a peine bien, les scènes d'actions sont limite excellente.
Allez, dernier role pour Sean Connery on le sens un peu fatigué mais le film est superbe.Encores de bonnes scenes d'actions,bref toujours les memes choses mais c'est toujours un plaisir de decouvrir un nouvel opus,une nouvelle histoire...
Ti Nou
Sean Connery reprend le rôle du célèbre agent secret, malheureusement ce n'est pas vraiment une très bonne idée puisque cet épisode retombe dans tous les poncifs des précédents. Mais il est plutôt bien foutu.
NeoLain
Après le four du sixième épisode, Au service secret de Sa Majesté, Broccoli et Saltzman cherchent par tous les moyens à sauver leur juteuse franchise. Mettant tout ou presque sur le dos de George Lazenby, pourtant pas si mauvais, ils ne tardent pas à lui chercher un remplaçant de poids qui pourrait à lui seul reconquérir le public. Dès lors, le nom de Burt Reynolds circule. Seulement celui-ci finira par accepter judicieusement de tourner dans le Délivrance de John Boorman plutôt que d'endosser le costume de 007. Confrontés au choix de lancer un inconnu dans le grand bain ou de faire un pont d'or à Sean Connery pour son retour, ils optent pour la seconde option, qui, moyennant finance, s'avèrera payante puisque Diamonds are Forever est un grand succès. Côté réalisation, c'est également le retour de Guy Hamilton après Goldfinger. Résultat, aux oubliettes le Bond amoureux. Le nouveau 007 tue un homme à mains nues dans un ascenseur, étrangle une femme avec son maillot de bain pour la faire parler et expédie Blofeld ad patres dès les premières minutes du film. Le ton est alors donné. Malheureusement, le film n'a même pas les arguments pour convaincre en tant que blockbuster. Un comble. Au lieu de ça s'étire une intrigue mollassonne avec des scènes bien trop bavardes. Pas de grand méchant digne de ce nom à déclarer non plus. A croire que, comme semblaient le penser Broccoli et Saltzman, le succès de James Bond reposait uniquement sur la bobine de Sean Connery. Piège à doigts, pistolet à eau et autres modules lunaires viennent quant à eux compléter la collection de gadgets de 007. Une fournée plutôt faiblarde par ailleurs. Misant beaucoup sur l'humour de Bond, ayant toujours le bon mot pour commenter des situations surréalistes (la scène du cerceuil, le jeter « accidentel » d'Abondance dans la piscine, le combat avec Bambi et Perle Noire...), On croit rêver. Bref,ce septième opus,un James Bond très moyen, limite mauvais même car sans réel intérêt.
Une nouvelle aventure de l'agent 007, conduite sans temps morts.
Un retour avec Sean Connery qui n'aurait à mon gout pas du avoir lieu, tant l'esprit de "Aux Services..." était intéressant!
Il en reste donc une scène d'ouverture où l'on redécouvre le nouveau visage de Bond, vieilli, qui cherche à se venger, sans citer le pourquoi, comme si la production avait honte de quelque chose....
La suite, un Bond à la Sean Connery, avec un scénario qui au début reprend une histoire d'espionnage un peu plus terre à terre et crédible avec une interprétation féminine dès plus sexy, pour tomber ensuite dans l'esprit auquel on nous avait habitué: le repère du méchant et son bombardement final!
On se souviendra du couple homo de tueur qui du début à la fin use de tous les moyen pour tuer notre héros, de Jill St John en petite tenue, de la scène de bagarre dans l'ascenseur, du repère en plateforme pétrolière...
Un cru plus que correcte même si j'aurai préféré donner une nouvelle chance à Lazemby avec sa vengeance...
Il en reste donc une scène d'ouverture où l'on redécouvre le nouveau visage de Bond, vieilli, qui cherche à se venger, sans citer le pourquoi, comme si la production avait honte de quelque chose....
La suite, un Bond à la Sean Connery, avec un scénario qui au début reprend une histoire d'espionnage un peu plus terre à terre et crédible avec une interprétation féminine dès plus sexy, pour tomber ensuite dans l'esprit auquel on nous avait habitué: le repère du méchant et son bombardement final!
On se souviendra du couple homo de tueur qui du début à la fin use de tous les moyen pour tuer notre héros, de Jill St John en petite tenue, de la scène de bagarre dans l'ascenseur, du repère en plateforme pétrolière...
Un cru plus que correcte même si j'aurai préféré donner une nouvelle chance à Lazemby avec sa vengeance...
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