Derniers Avis : Les Diamants sont éternels - Page 12

Probablement l'un des plus nul de tous les James Bond. Seul exemple : à un moment, James Bond s'infiltre dans une usine de fabrication de matériel lunaire où des mecs font des simulations de scaphandres et de rovers dans un décor justement lunaire, avec rochers et la terre en orbite ; les types en combi font des mouvements très lents, qu'on peut supposer résulter de la création d'une attraction terrestre modifiée (balèze, mais après tout, ce sont des scientifiques …). En fait, non, puisque Bond traverse le décor à grandes enjambées alors qu'il est poursuivi par des gardes qui évoluent également rapidement. Ce qui veut dire que les types en scaphandre, ces scientifiques, simulent "à la main" le déplacement de la Lune sur terre, genre "ah ben on n'a pas réussi à tout simuler, alors on va faire comme si" ! Au secours. Le vice est poussé deux secondes plus loin où on voit ces types marcher au ralenti en tentant de faire barrage à James Bond !! Aie aie aie. Une étoile pour les décors et la meuf.

« Les diamants sont éternels », septième opus de la saga, marque le grand retour de Sean Connery dans le rôle de l’agent double, après George Lazenby et son service rendu. Connery a accepté car son salaire a été augmenté et qu’il a bénéficié d’un pourcentage sur les recettes.
Cette mission très spéciale du Commandeur Bond s’avère nettement plus réussie que son précédent pour plusieurs raisons.
La première, c’est que Guy Hamilton revient après son excellent « Goldfinger », qui, rappelons-le, fit installer la saga dans la durée.
La deuxième, c’est que Sean Connery, dorénavant veuf, connaît maintenant le style James Bond qui est toujours aussi déconneur, flegmatique et doté d’un humour so british.
La troisième, c’est que John Barry revient au plus haut après son passage à vide du service non rendue à Sa gracieuse Majesté. Ici, on a affaire à un John Barry excellent dans le fond comme dans la forme. De plus, Shirley Bassey est réengagée (elle avait chanté son tonitruant « Goldfinger » dans le film du même nom) et chante « Diamonds are forever » : ça ne peut que plaire !
Le scénario est la quatrième raison : l’ennemi juré de Bond, Ernst Blofeld, incarné ici par un Charles Gray (vu dans « La nuit des généraux ») nonchalant, s’empare d’une grosse masse de diamants pour fabriquer un rayon laser surpuissant sur un satellite permettant de raser Washington… .
La cinquième raison, c’est que la James Bond girl Jill St John (qui a notamment joué dans « Tony Rome est dangereux » aux côtés de Frank Sinatra et Gena Rowlands) illumine ces diamants de mille feux.
Autant de raisons pour ne pas manquer le dernier Bond avec Connery. Du grand spectacle, à qui veut…

Après l'échec cuisante au box-office pour au service secret de sa Majesté avec dans le rôle titre de JB,GL a été remercié il n'est pas parti de lui même. Les producteurs devaient réagir le plus vite possible. Ils commencèrent le casting. harry Saltzman voulait que James Bond a cause du succès international de Sean Connery dans l'interprétation de l'espion soit plus américanisé(John Calvin,Burt Reynolds etc...etc étaient en tête de liste,mais Broccoli n'était pas d'accord,JB est un sujet britannique et il dois rester britannique tel était la devise de Broccoli. Cette à ce moment la que commencera la mésentente des deux producteurs.Sean Connery acceptât d'interpréter une dernière fois le rôle de JB dans cette production à une condition que son cachet soit plus élevé car il voulait créer sa propre banque. Ce JB qu'il interprétât est le plus mauvais des six qu'il joueras , il est toujours à coté de la plaque ,Les diamants sont éternels à été écris bien avant Au service secret de sa Majesté et on ne vie que Deux fois.La Bondgirl dans le film a été trés mal exploitée on en fait une sotte pour les beaux yeux de Sean Connery alors que dans le livre elle est beaucoup plus intelligente que ça etc..etc Quant au personnage de Blofeld dans le film exsiste alors que dans le roman JB ne le connaissait pas encore etc ...etc Ce film avec Sean Connery à marché moyennement au Box office.L'acteur à la fin de son contrat avec les producteurs se consacra à sa banque et commencera à jouer des films médiocres (Shalako)et c'est 1975 qu'il commencera à jouer des rôles plus intelligents(L'homme qui voulait être roi d'après le romans de Rudyard Kipling,La rose et la flèche etc...etc. Les diamants son éternels est la septième aventure cinématographique de JB et la quatrième dans le roman.En conséquence l'acteur n'est pas vraiment le JB du livre sauf dans Goldfinger et opération tonnerre.lA production voulait que la première aventure cinématographique soit Opération Tonnerre.

"Diamonds are forever"(1971).Bond entre de plain-pied dans les années 70,rouflaquettes et col pelle à tarte à la clé!Trève de plaisanterie,ce 7ème opus suit la tendance de l'époque,légère et insouciante.L'humour,plutôt outrancier et décalé,n'a jamais été aussi présent.Sean Connery est revenu moyennant grosses finances,et il a envie de s'amuser,ça se sent.Rendu à Las Vegas,alors en pleine expansion,il doit de nouveau contrer Blofeld,plus ambitieux que jamais.Au royaume de l'apparat,Bond est dans son élément,et enchaîne les cascades dingues,comme rouler en Mustang sur 2 roues dans une ruelle,ou conduire un buggy lunaire dans le désert du Nevada.On rigole beaucoup,surtout avec des méchants tels que Mr Kidd et Mr Wint(un gros délire!).Pour l'esprit,on repassera en revanche.Fun avant tout,avec un soupçon d'irrévérence(voir le four crématoire)et un portrait à peine voilé d'Howard Hugues.Les diamants sont éternels comme la musique étoilée de Shirley Bassey.

Sean Connery revient après l’intermède George Lazenby et Guy Hamilton rempile, Ce « diamonds for ever » sent l’opération sauvetage à plein nez ! Dès le début Bond tue Bloefeld (mais en fait non) et puis l’intrigue se porte rapidement sur Amsterdam et ses revendeurs de diamants, puis Les USA et Las Vegas et une course poursuite sympa avec la police locale. Le final est original mais un peu cheap par rapport à « Opération tonnerre » ou « l’espion qui m’aimait ». A part la musique plutôt réussi, le reste est pas terrible : intrigue mollassonne, scènes trop bavardes, méchant à peine crédible, trucages bas de gamme, modules lunaires en plastique. Bye bye Sean…

Plus ça avant dans l'histoire, plus ça s'essouffle à en devenir longuet sur la fin...

Alleluia sean est de retour,mème s'il a vielli il vaut au minumun 2 lazenby,d'ou 4 étoiles.Sinon j'ai trouvé un peu "bizare" son approche de la plateforme pétroliere,c'était quoi le projet?coucou les gars c'est moi,mème pas d'arme!!! il devait certainement savoir qu'il ne serait pas tué et jeté dans une geole munit d'un puit pour s'echapper(comme par hazard).
Enfin lorsque l'on jete un mini sous-marin sur une salle remplis d'ordinateurs pourquoi tout explose?

Un James Bond insignifiant. Rien ne va. En premier lieu, l'intrigue est d'une grande faiblesse, malgré un sursaut de lucidité (le coup du chat, très bon). Certaines scènes sont tout simplement incompréhensibles. Le ridicule guette souvent et il s'invite même parfois pour certaines scènes d'une grande lourdeur. Les gadgets ont pris le pouvoir, et cela va malheureusement durer toute la période Moore. Vous me direz, reste Sean Connery qui est de retour après l'intermède Lazemby? Mais quand ça ne veut pas... même Sean semble en effet désintéressé, peut être conscient des limites du film.

Sean Connery restera éternellement LE Bond du cinéma. Ce film sur l'agent 007 est en revanche peu captivant...

Triste sortie pour Sean Connerie avec ces Diamants Eternels, véritable farce sur pellicule avant l'heure (qui a dit que la parodie commençait avec Moore ?) qui compte Laurel et Hardy en tueurs, Blofeld déguisé en femme, des poursuivants qui se foutent en l'air tout seul façon Taxi 8, un duo de sauvageonnes belliqueuses really too much, Abondance Delaqueue et j'en passe...
Comme le tout est léthargiquement réalisée par le terrible Guy Hamilton, c'est chiant.
Et Sean est gras.
Chronologiquement c'est le 1er film vraiment préjudiciable de la saga.

On est vraiment loin d'Opération tonnerre. Sean a pris un méchant coup de vieux.Quant au scénar, il est bidon. Il reste qlq scènes sympa, le cercueil, l'escalade et les rues illuminées. Maigre, vraiment maigre.

Bon début de film, super générique et Sean Connery interprète toujours aussi bien le personnage. Malheureusement, ça manque cruellement d'action, le scénario est moyen et l'histoire met du temps à démarrer, dommage.

Sean Connery revient... 4 ans de plus et 10 kilos en prime. Le pré générique laisse pourtant envisagé un tres bon film, il fait la chasse à blofeld et le tue (croit on), sa femme décédée est ainsi vengée. Puis... plus rien. Un film lent, sans envergure. Sean connery en plus de ne pas être tres motivé, béneficie d'un scenario sans queue ni tête. L'acteur incarnant Blofeld frise le ridicule. 1 étoile donc pour la sequence de pré-générique et le générique lui même avec la voix sublime de shirley bassey. Connery se retire définitivement de la franchise (il y reviendra encore dans jamais plus jamais 12 ans plus tard, mais ce film est un hors serie), une page se tourne et c'est roger moore qui fera traverser les années 70 à James Bond.

Après le renvoi de George Lazenby, qui n'avait convaincu ni le public ni les producteurs, c'est Sean Connery qui revient dans le rôle-titre et pour sa dernière apparition dans la peau de l'agent secret (excepté pour le remake officieux Jamais pour jamais). À nouveau réalisé par le Français Guy Hamilton, Les diamants sont éternels n'est pas le meilleur et pour cause, des acteurs peu convaincants, un scénario aussi atypique que peu passionnant et une réalisation grandguignolesque de mauvais goût. Les personnages deviennent des caricatures dignes d'un dessin animé (en particulier les loufoques et ambigus Mr. Wint and Mr. Kidd), le look de Blofled est tout simplement hideux et vraiment aberrant (on passe de Donald Pleasance à Telly Savalas, chauves tous les deux, et on enchaine par Charles Gray, cheveux gris et crédibilité zéro). Certains passages sont dénoué de bons sens, comme lorsque Bond se retrouve enfermé dans un cercueil en direction du crématoire, ou lorsqu'il s'échappe avec un buggy spatial. En bref, on n'y croit pas, et apparemment les acteurs non plus. Un Bond décevant voire même inutile.

Dodo.... Ah pardon, vous êtes là ? Je dormais. Faire revenir Sean Connery pour une telle bouse, c'est navrant. En parlant de Sean d'ailleurs, il a pris un sacré coup de vieux. Les effets spéciaux sont encore plus minables que d'habitude. La fille est mignonne, commme d'habitude, elle n'a aucune personnalité comme d'habitude. Et je me suis fait chier, comme d'habitude.