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134 abonnés
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3,0
Publiée le 2 novembre 2020
Une forme de classique du genre rediffusé à la mort de Sean Connery un peu moins de 50 ans après. Quelques idées amusantes dans le genre macabre avec en fil rouge les deux tueurs presque comiques. Difficile de juger de l'originalité du tout pour ce long film où l'on retrouve un peu tout les poncifs du genre et vu sur différentes décennies. Il est distrayant mais fini par être longuet car l'impression du toujours la même histoire s'infiltre insidieusement. On remarque par exemple le choix des acteurs pour mettre en valeur le James Bond et cela finit aussi par être surfait, quelconque, comme ses aventures féminine d'un autre temps. Il reste une distraction pour les inconditionnels ou à regarder évasivement car au juste il n'y a rien à en retenir.
Le retour de Sean Connery muni de son charme et son élégance naturelle en lieu et place de George Lazenby n'est pas pour déplaire, notamment sous la houlette de Guy Hamilton. Blofeld revêt un énième visage, en l'occurrence celui de Charles Gray, un acteur inconnu émanant de la télévision US. Comme trop souvent, il se retrouve fait comme un rat débutant … dans des situations impossibles mais, comme d'habitude, il s'en sort à chaque fois. Les trouvailles ne manquent pas, le cercueil, le réseau de buses … Et bien entendu, en dehors de nunuches godiches, il en est d'autres plus guerrières comme Bambi et Perle Noire qui affrontent Bond sans complexe. Presque tous les premiers James Bond ont le même défaut, une première moitié plutôt monocorde et une seconde partie nettement plus mouvementée avec de l'action et des effets spéciaux explosifs. L'humour et l'ironie sont de mise, en particulier avec les deux tueurs qui regorgent de fantaisie pour éliminer leur principal adversaire. La corde s'use mais procure toujours un moment de détente.
Pas le meilleur Bond de la série avec l'inégalable Sean Connery, mais un épisode malgré tout plaisant grâce notamment à de magnifiques décors et une bonne dose d'humour noir !
« spoiler: Mouton Rothschild EST un claret. Et j’ai déjà senti cet après-rasage, et les deux fois, j’ai senti un rat. »
La dernière apparition de Sean Connery dans un film Eon – il reviendra en 1983 dans "Jamais Plus Jamais", qui est l'un des deux films non-Eon de James Bond – avant de passer le relais à Roger Moore est un film typique des années 1970, qui est agréable à regarder. Notamment en raison de son humour plein d'esprit. D'excellents one-liners, qui s'enchaînent à un rythme soutenu jusqu'à l'exquis dîner final.
Après une excellente introduction, qui spoiler: suggère que le monde est enfin débarrassé du cerveau criminel Blofeld, James suit les traces d'un réseau de contrebande de diamants d'Amsterdam à Los Angeles puis à Las Vegas, où il retrouve finalement Blofeld et son deuxième et dernier sosie .
Les diamants étaient nécessaires, en grande quantité, pour spoiler: alimenter un satellite laser capable d’attaquer les superpuissances mondiales .
Dans une démonstration de force, spoiler: Blofeld détruit des missiles nucléaires américains et chinois, ainsi qu'un sous-marin nucléaire russe .
007 trouve finalement spoiler: la source qui contrôle le satellite et réussit à alerter son ami Félix, afin d’y donner l’assaut et empêcher SPECTRE de prendre le contrôle de la planète .
Alleluia sean est de retour,mème s'il a vielli il vaut au minumun 2 lazenby,d'ou 4 étoiles.Sinon j'ai trouvé un peu "bizare" son approche de la plateforme pétroliere,c'était quoi le projet?coucou les gars c'est moi,mème pas d'arme!!! il devait certainement savoir qu'il ne serait pas tué et jeté dans une geole munit d'un puit pour s'echapper(comme par hazard). Enfin lorsque l'on jete un mini sous-marin sur une salle remplis d'ordinateurs pourquoi tout explose?
1971. Retour raté dans la peau de l’agent secret pour le grand Sean Connery qui ne parvient pas à sauver le film du naufrage malgré son jeu et son charisme. Jamais plus jamais, dira t'il à l'époque... Alors que l’on avait pris un virage plus sombre et réaliste avec George Lazenby, on retourne en arrière avec un scénario plus fantaisiste et une bien mauvaise distribution, notamment les personnages de Blofeld (allié de 007 dans le 5ème film) et Tiffany Case. Une idée très novatrice tout de même : le clonage de Blofeld ! Dommage que Lazenby ait été détruit par le public et viré par la production en 1969…
Sean Connery reprend le rôle du célèbre agent secret, malheureusement ce n'est pas vraiment une très bonne idée puisque cet épisode retombe dans tous les poncifs des précédents. Mais il est plutôt bien foutu.
Afin de relancer la franchise, EON Productions fait appel à Guy Hamilton (réalisateur de GOLDFINGER), à Shirley Bassey (interprète du titre GOLDFINGER) et surtout au "seul et unique" James Bond à savoir Sean Connery. Mais ce dernier semble fatigué, il est bourssoufler, a pris du poids et sa moumoute et encore plus voyante qu'auparavant et même s'il affronte son pire ennemi pour la énième fois (Ernst Stavro Blofeld, qui change encore de visage), l'envie n'y est plus.
Un James bond assez décevant (car muni d'un scénario plus que limite) mais qui se ratrappe par les cascades et les effets spéciaux, lien de toutes les films de 007.
"Les Diamants sont éternels", la septième aventure de l'agent double-zéro s'avère être l'une des plus réussies. Se cachant derrière un scénario transparent (mais pour l'époque assez "original" et une première demi-heure assez faiblarde, le film suscite un réel intérêt dans sa partie se déroulant à Las Vegas et dans le désert du Nevada. Dommage que le dernier quart du film soit aussi banal.
Encore un James Bond assez moyen malheureusement. Et même Sean Connery semble moins incarner le rôle. L'histoire est assez originale avec le revenant Blofeld (joué par Charles Gray cette fois) qui veut détruire Washington à l'aide d'un énorme laser confectionné avec des diamants. Certes, on voyage encore dans cet opus en passant par Amsterdam, Londres ou encore Las Vegas (et le Golden Nuggets) mais beaucoup trop de choses sont moyennes dans ce film. En effet, toutes les explosions sont ridicules, les adversaires de Bond sont tous plus mauvais les uns que les autres (notamment les flics de Las Vegas ou les compères pathétiques M. Wint et M. Kidd), et enfin tout semble beaucoup trop simple pour l'agent 007 (spoiler: quand il est coincé dans le pipeline, la fuite sur 2 roues en voiture ou encore quand on le met dans un placard avec une issue évidente dans la plate-forme pétrolière ). A noter un étranglement avec un soutif ou encore une femme qui s'appelle Abondance Delaqueue ! (en français dans le texte)...Certainement le moins bon épisode avec le grand Sean pour sa dernière...
Le film qui inaugura la première catégorie des mauvais Bond, les "Bond parodiques". Revenu plus pour l'argent que pour l'amour de 007, Sean Connery, valeur plus sûre que George Lazenby, s'amuse plus de son rôle qu'il ne le joue (impossible de ne pas éclater de rire en voyant sa tête quand il s'entend dire qu'il a "tué" James Bond alors qu'il s'agit d'un simple trafiquant). Son cabotinage reste toutefois plaisant, à ceci près qu'il commencait a se faire un peu vieux pour ces "conneries" (rions camardes). L'ensemble du film est d'une grande loufoquerie, à l'image de son acteur principal, ce qui le rend a la fois si faible (ce n'ets pas vraiment ce qu'on attend d'un Bond) et si fort (on ne s'ennuie pas a force d'attendre le prochain truc débile). Les dialogues sont assez à l'ouest ("C'est alimentaire mon cher Leiter !") de même que nombre de situations (la cassette planquée dans la culotte de Tiffany ou la fuite de Bond en buggy lunaire). Certains acteurs sont dans le même ton, l'impeccable Bernard Lee cabotinant étrangement et Jill St John voit son rôle s'affadir au fur et à mesure que le film avance. Malgré tout, cela ne suffit pas a nous faire fuir, le film comptant quand même plusieurs bons points: le couple de tueurs Wint/Kidd, immoral et inquiétant, la présence vivifiante de Lana Wood en Bond girl sexuellement agressive et le cadre luxueux de Las Vegas comme terrain de jeu (sans mauvais jeu de mots) de 007. En gros c'est un peu n'importe quoi mais ca reste amusant ! Enfin c'est juste mon avis !
Un grand plaisir de retrouver Sean Connery pour ce film.Tout est mis en place pour nous tenir en haleine jusqu'à la toute fin.Le casting est bon avec une nouvelle tête pour incarner le personnage de Félix. L'histoire est entraînante et si les scènes d'action sont présentes on a également le droit à quelques gadgets. De plus la bande originale est magnifique avec la chanson principale interprétée par Shirley Bassey.
L’intrigue de ce septième opus de la saga, réalisé par Guy Hamilton en 1971, reste quelconque et sans surprise. En outre, pour sa dernière apparition dans le rôle de James Bond, Sean Connery semble vieillissant et peu concerné. Un scénario minimaliste, des cascades accompagnées d’effets spéciaux qui ont très mal vieilli, des James Bond girls lessivées au charme banal. Il n’y a pas grand-chose à retenir. Bref, l’un des plus mauvais opus sous l’ère de Sean Connery.