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cylon86
2 495 abonnés
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3,0
Publiée le 24 janvier 2014
Après l'épisode avec George Lazenby qui avait tenté d'approfondir le personnage de James Bond et de l'humaniser un peu, voilà le retour de Sean Connery dans une aventure rythmée et pleine de rebondissements. Ici, les producteurs ont voulu renouer avec la recette du succès de "Goldfinger" (même acteur, même réalisateur, même chanteuse pour le générique de début avec une excellente chanson) quitte à ce que le scénario soit parfois invraisemblable et riche en trouvailles à la limite de la parodie (deux tueurs toujours ensemble et présumés homosexuels, deux femmes en bikini qui mettent 007 au tapis et même un personnage féminin appelé Abondance Delaqueue en version française !). Ce que Bond perd en psychologie, il le gagne en charme et malgré quelques défauts, on ne va pas bouder notre plaisir d'autant que Sean Connery n'a rien perdu de son charisme. Et même s'il a désormais des cheveux, Blofeld est solidement campé par Charles Gray.
Après l’accueil peu chaleureux qu’a reçu Aux services secrets de sa majesté, qui tenta de s’éloigner des codes propres à la saga James Bond, la société productrice EON a ressorti, pour adapter le roman éponyme signé par Ian Flemming, quelques poids lourds des précédents épisodes. La réalisation est en enfin remise à Guy Hamilton (qui signa, avec Goldfinger, le plus gros succès commercial de la franchise), tandis que la chanson d’ouverture est interprété par Shirley Bassey (celle-là même qui avait justement rendue légendaire la musique de Goldfinger), mais surtout le chèque signé à Sean Connery pour le convaincre d’endosser une ultime fois le rôle de l’agent 007 qui s’avéra un investissement fructueux. L’intrigue complétement improbable est assez mal mise en place par la narration, qui pourrait finalement se résumer à une série interminable de scènes d’action et de courses-poursuites ponctuées de répliques se voulant amusantes et de petits jeux de séduction entre James Bond et la sulfureuse Tiffany Case (Jill St John y campe en effet la plus perverse des James Bond girl). Ce divertissement grand public qu’est Les diamants sont éternels est loin d’être parmi les aventures les intéressantes de James Bond, peut-être même un film imparfait dont on ne retiendra sans doute que l’envoutante musique.
Ah les bons vieux James Bond où un coup de pied dans le bras te sèche un homme lorsqu'il n'est pas évanoui après une chute d'un mètre de haut... Certains films de la franchise 007 ont assez mal vieilli, surtout en ce qui concerne les scènes de bagarres ou encore les dénouements à la con qui rendent la chose "légèrement" ringarde. Le style de l'époque est bien à sa place, James Bond se sort de nombreuses situations dangereuses par des techniques improbables et ridicules, et quand bien même celles-ci pourraient paraître crédibles, c'est la réalisation qui rendra la chose douteuse, mais c'est aussi cet aspect qui rendait ces anciens James Bond charmants. Et malgré le fait que l'on connaisse parfaitement la recette, chaque opus de cette franchise peut faire son petit effet en nous présentant, des environnements, des situations et des idées (même si certaines seront foireuses) bien différentes dans chaque enquête, avec toujours quelques passages ridicules, dont certains seront alimentés de punchlines. Hormis cela, Sean Connery a toujours la classe dans ce rôle qui lui va comme un gant. Les diamants sont éternels, le film pas vraiment, mais Sean Connery dans le costume de Bond le restera sans conteste.
1971, l'avènement de l'ère Connery. Étrangement, l'orientation apportée à cette réalisation la classerait aisément dans la décennie 80. La preuve d'un vieillissement positif, comme la saveur d'un bon vin et une BO De Shirley Bassey. Si les Diamants sont éternels, ce 7ème opus n'est cependant pas un 1er cru, car divertissant mais imparfait. La décadence outrancière de ces années folles transpire de chaque plan comme une évidence, cynisme dans l'humour, mustang mach 1 sur deux roues. Bond s'enrichira d'un court séjour au four crématoire, de quoi chauffer les étiquettes. Et puisque notre gourmandise n'est jamais satisfaite, quoi de mieux qu'une course poursuite loufoque dans le désert du Nevada au volant d'un véhicule lunaire. Cette dernière tirade de Sean Connery est à l'annonce d'une nouvelle ère plus décontractée et caricaturale où Roger Moore sera l’ambassadeur. Un bon popcorn movie. 3,5/5
Après "l'intérim" de George Lazenby, Sean Connery est de retour... et c'est tant mieux ! Certes, le légendaire interprète de 007 a vieilli (sa moumoute ne s'est jamais autant vu) et s'est un brin empâté mais son charisme, sa classe so british et son sens de l'humour font toujours la différence. C'est d'ailleurs lui qui porte le film sur ces épaules car il faut bien reconnaître que ce 7e Bond est le moins bon de sa "période". La faute à un BO trop peu présente, un scénario un peu brouillon (Blofeld qui se multiplie, le trafic de diamants, le laser...), des scènes de poursuite pas terribles (que ce soit en voiture dans Las Vegas ou en jeep lunaire) et des effets spéciaux plus que datés. Pourtant, on retiendra de ce film un ton plus cru (avec d'excellentes répliques et des James Bond girls plus dénudées), un très amusant duo de tueurs (qui éclipse presque Blofeld) et quelques scènes réjouissantes (la bagarre dans l'ascenseur, le final sur le bateau...). A ne pas louper, la séquence pré-générique où Bond (qui ne dévoile pas immédiatement son visage) sillonne la planète à la recherche de Blofeld !
"Les diamants sont éternels" est le septième volet de la saga des "James Bond". Un film plutôt divertissant avec le bonne scènes d'action, l'histoire n'est pas mal et je l'ai trouvé un peu long à certain moment.
On le pensait définitivement sorti de la saga mais le fiasco du précédent opus mettant en scène un certain George Lazenby aidant et l’unique Sean Connery fait son retour dans le costume parfaitement taillé du plus célèbre agent secret. En revanche on aurait préféré le retrouver en meilleur forme, en effet l’acteur a 41 ans à l’époque des faits et les scènes physiques se font plus rares et moins divertissantes. Dans cette 7ème mission, James Bond parcours une nouvelle fois le monde lors d’une mythique scène d’ouverture lors de laquelle il est à la poursuite de Blofeld, l’homme responsable du meurtre de sa femme. Le MI6 l’envoi néanmoins à la recherche d’un trafiquant de diamants à Amsterdam. Lors de son enquête il découvre que ces diamants vont servir à construire un gigantesque laser pouvant rayer de la carte n’importe quelle ville et que l’homme derrière ce plan machiavélique n’est autre que son pire ennemi. Aux manettes de cet opus on retrouve Guy Hamilton qui avait déjà dirigé "Goldfinger", ici sa performance derrière la caméra est quelconque jusqu’à la scène de la fuite en buggy lunaire. N’ayons pas peur de le dire, "Les Diamants sont éternels" est l’un des James Bond les moins intéressants avec Sean Connery dans le rôle-titre mais il reste pourtant un divertissement sympathique pour tout amateur de la saga.
Un James Bond qui manque d’originalité et de rythme. Les gadgets se font rares, quelques scènes reste sympa comme la scène d'intro, la bagarre dans l'ascenseur ou encore la poursuite en voiture à Las Vegas. Sean Connery reprend ici pour la dernière fois le rôle de James Bond et Charles Gray reprend le rôle de Blofeld avec moins de charismatique que Donald Pleasence. L’un des moins aboutis de la saga.
Septième film mettant en vedette les aventures de l'agent 007 James Bond, l'espion est à nouveau opposé à son ennemi de toujours, Blofeld, qui s'empare cette fois-ci de nombreux diamants pour construire un satellite capable de détruire des sources nucléaires en réfléchissant la lumière. Après une première heure laissant une lueur d'espoir puisque le film commençait pour une fois très bien, les choses se gâtent finalement et perpétuent la tradition selon laquelle un James Bond ne parviendra jamais à être bon. D'incohérences monstrueuses en indestructibilité de James Bond (sans aucun doute très favorisé par la chance), ce nouvel opus s'avère au final aussi plat que les autres.
Après une petite pause dans la saga James Bond, Sean Connery reprend du service pour incarner à nouveau avec brio le célèbre agent secret. Même si ce n'est pas le meilleur de la saga, cet épisode offre quelques bons moments avec des scènes se passant à Las Vegas plutôt réussies. On peut cependant regretter que le méchant ne soit pas assez charismatique.
Septième épisode de la saga Bond, cet opus marque surtout le retour de Sean Connery aux affaires après l'intermède George Lazenby. Pour sa dernière apparition dans le costume du plus célèbre des agents, Sean Connery se voit confier pour mission de pister un trafiquant de diamants. Son enquête l'amène inévitablement jusqu'à son ennemi juré : Blofeld. Scenario confus, peu d'actions quelques scènes qui paraissent ridicules aujourd'hui (James Bond est capturé au moins trois fois et s'évade à chaque fois avec une étonnante facilité...). Bref, vous l'aurez compris ce James Bond est loin d'être le meilleur d'autant plus que Sean a pris un coup de vieux !! Au final, le film se laisse regarder mais reste très moyen...
Un nouvelle épisodes par forcement réussi meme si Guy Hamilton repasse a la camera il ne nous émerveille pas comme dans goldfinger l histoire est un peu mollassonne on y retrouve Sean Connery qui reprend son style plus taquin , dandy , plein d humour... J arrive pas a savoir si on est vraiment dans la continuité du film précédent ?? L un des moins bon Sean Connery pour moi déjà il est vieillissant un peu rondouillet donc sur les scènes d actions on le ressent mais la encore au niveau des scènes de combats actions explosions on y est pas c toujours moches et depuis le premier volet on s améliore a peine le film est divertissant quand meme de beaux décors des scènes originales on est encore face a blofeld sympa mais hélas un faible James bond dans son scénario avec certains personnages dont on peut se poser des questions le couples de tueurs gays ??? Un bond normal dont on sent l essoufflement a force Enchainer les productions un par an presque....
Après un petit interlude réjouissant de surréalisme où James Bond était interprété par le musclé mais benêt George Lazenby, Sean Connery reprend ses droits et retrouve Guy Hamilton, le réalisateur de Goldfinger.
Le retour d’une telle équipe de choc ne pouvait qu’être bénéfique pour une saga qui commençait tout doucement à se répéter. Et pourtant, à première vue, ce Diamonds are Forever n’est pas très folichon. En effet, avec une bête histoire de contrebande de diamants, un méchant pas très charismatique et une James Bond Girl pas géniale, la première heure ne satisfait pas vraiment, si ce n’est la chanson de Shirley Bassey, évidemment. Heureusement, comme d’habitude chez 007, le film se décante dans sa deuxième partie, avec une deuxième James Bond Girl très fugace et adorable, Lana Wood, un humour ravageur, des scènes d’action un peu moins dantesque que celles des précédents films mais toujours aussi étonnante, des personnages caricaturaux mais très drôles et un arch-némésis toujours aussi présent. Les apparitions de Bernard Lee & Desmond Llewellyn sont évidemment réussies comme à l’accoutumée.
Les Diamants sont eternels et Sean Connery aussi, tant ce film est une réussite inattendue au vu de son synopsis.
Bond n'est pas loin d'être éternel comme ces diamants qu'il poursuit, mais après la parenthèse Lazenby il fallait visiblement rassurer le spectateur lambda pour garantir la pérennité de la poule aux œufs d'or. D'où le retour de Sean Connery, de Guy Hamilton derrière la caméra, de Shirley Bassey derrière le micro... En gros tout ce qui a fait le mythe de la saga dans les années 60 a été rassemblé ici, avec ce qu'il faut d'humour british pour l'assaisonnement. Ce nouvel opus fait toutefois lever un sourcil à plus d'une reprise, entre un pré-générique expéditif et sans réel intérêt, des scènes d'action pas toujours bien gérées (spoiler: entre un ascenseur qui avance à deux à l'heure et un véhicule lunaire sorti de nulle part, je ne sais que choisir... ) et un faux rythme dans la première partie du film qui agace un peu. En revanche, les Bond girls sont toujours sublimes et Sean Connery toujours aussi à l'aise pour faire passer la pilule. Un Bond qui se regarde mais qui n'ajoute que peu à la légende en marche.
Dans son dernier souffle, cet opus discutable, pour le retour de Sean Connery, permet néanmoins à l'espion de ressurgir des bas-fonds de l'ennui. Un James bond à prendre avec beaucoup d'humour. 3/5