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bobmorane63
191 abonnés
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4,0
Publiée le 19 mars 2013
Un film de Sydney Pollack des années 70 (sa meilleure période) qui dénonce sur un ton léger la société de consommation !! Un champion de rodéo qui a connu sa gloire fait de la publicité contre son gré devenant mème alcoolique. L'homme se rappelle de son passé de cowboy qui ne l'a jamais quitté et quand il voit qu'on mattraque un pauvre cheval qui vaut beaucoup d'argents et mal en point, le champion de rodéo le kipnappe et l'entretien dans les espaces et la nature hors de la police et du propriétaire. Une journaliste le suit pour avoir des scoops et s'attache à lui. J'ai passé un bon moment, peut ètre que le film n'est pas connu mais l'ensemble est sympathique. Sydney Pollack nous offre de belles images de Las Vegas coloré ou des montagnes et prairies bien filmés. Il offre aussi de bons roles à Robert Redford qui doit bien aimer les chevaux car des années plus tard, il réalisera "L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" puis Jane Fonda somptueuse. A voir .
Dans la grande tradition américaine du road movie, Le Cavalier électrique occupe plutôt le dessus du panier, sorte de mélange à la fois prévisible et charmant entre Sauvez Willy et Thelma & Louise. Dommage que le film dure un bon quart d’heure de trop, notamment à cause d’une mise en place qui traîne en longueur. Heureusement, l’alchimie entre Jane Fonda et Robert Redford fait passer tout le reste.
Le cavalier électrique est un film cool attitude qui a pour thématique principale l'apparence. Thématique que j'affectionne tout particulièrement mais qui s'avère légèrement trop contrastée dans ce film. On a droit a de la country, une romance à l'eau de rose (un peu trop rosée à mon goût mais qui se boit jusqu'à la lie), un cow-boy (un vrai) et une femme qui sert principalement à faire des reaction shot pour montrer au spectateur à quel point il faut admirer Robert. Malgré quelque procédés manipulatoires comme celui-ci on passe un agréable moment, on ressort avec le sourire, voire les larmes, de la salle de ciné. Et c'est ça qui compte après tout^^. Enjoy!
Sydney Pollack apparaît comme un réalisateur majeur du cinéma américain, spécialement de la période 70’s. Il n’est bien évidemment pas le seul, il est même en bonne compagnie! Arthur Penn, Sydney Lumet, Jerry Schatzberg, ou encore le trop méconnu Alan J. Pakula.
Ces réalisateurs ont en commun d’avoir pousser, à travers leurs films, l’Amérique à réfléchir sur elle-même: ce qui n’est pas une mince affaire. C’est peut-être pour cela que cette décennie (de 66 à 79 pour faire large) nous a donné tant d’excellents films de ces réalisateurs, hors studio, donc hors système.
Avec « Le Cavalier Electrique », Sydney Pollack ne fait pas autre chose en montrant cet ancien champion de Rodéo (Robert Redford) vendu aux puissances commerciales qui profitent de sa gloire en la lui rémunérant; le cow-boy éclairé à cheval brandit un paquet de céréales… Il en sera ensuite autrement. Sydney Pollack dénonce bien évidemment le penchant merchandising d’une société américaine prête à tout vendre, et peut-être pire: prête à tout acheter !
Et puis dans ce film s’est retrouvé sans doute le plus beau couple du cinéma américain des années 70: Fonda/Redford ! Ils en sont peu ou prou le symbole plus ou moins militant. Jane Fonda eut eu une plus belle carrière si elle ne s’était pas amouraché du tâcheron français Roger Vadim… Quant à Redford, il a tourné 7 fois avec Sydney Pollack, des films aussi importants que « Les 3 jours du Condor », » Nos plus belles années », « Out of Africa »… passant, à son tour à la réalisation avec le joli « Des gens comme les autres ».
Donc ici, le cavalier électrique -grassement payé- se rebellera puisqu’on attente à ce qu’il a de plus cher. Sydney Pollack montre cette rébellion -en choisissant son camp- la lutte de l’homme seul contre un système. Ce que firent tous les cinéastes pré-cités, ils sont une part importante, indispensable du cinéma mondial, leurs films sont à revoir de toute urgence.
Diffusé hier soir sur Arte,j'ai bien aimé cette histoire simple,écologiste et aux beaux paysages.De plus le tandem Redford/Fonda fonctionne bien et les dialogues sont pas mielleux!
Sydney Pollack et Redford ont fait bon nombre de grands films ensemble. Si ce n'est pas leur meilleure collaboration, "Le Cavalier Electrique" est néanmoins un très bon film, qui aborde une des passions absolues de Redford, le cheval. Jane Fonda est très bien elle aussi. Un peu mélo, certes, mais pas mal du tout !
Bon, y a quand même Jane Fonda toujours aussi jolie malgré les années qui s'additionnent et ce n'est pas donné à toutes les actrices, loin s'en faut. Et sans passer sur le billard, je vous prie !
Le Redford en ex-champion de rodéo (!) devenu épave alcoolique et réprésentant en corn-flakes fait la guirlande ambulante sur son canasson à Las Vegas, puis se carapate avec son canasson en criant "le dopage c'est mal !" et refuse que le percheron finisse en lasagnes.
De là, Jane le suit partout, en bonne journaleuse très appliquée tandis que le film déjà ridicule tourne en long-métrage du pauvre bourrin dans la prairie avec son cavalier bourré à la tequila.
Niais, le film de Pollack est également très lent, chiant, pontifiant, en un mot, la routine habituelle de ce branque de réalisateur dont la "carrière" est un enchaînement sidérant de daubes plus daubées les unes que les autres.
Même si on peut trouver le ton et le rythme de ce "Cavalier électrique" un peu lent, il faut tout de même lui reconnaitre de belles qualités. Que ce soit par les très beaux paysages qui nous sont offerts, ou la justesse et le talent de Robert Redford et Jane Fonda, Sidney Pollack signe ici une belle histoire, un bel hommage à la nature. Les personnages sont d'ailleurs joliment construits et leurs relations devient quasiment émouvante. Et on pardonnera donc ce léger manque de rythme qui touche à quelques reprises le film. Un beau moment.
Juste incroyable !!! Jane fonda et Bob sont incroyable dans ce merveilleux movie A voir au plus vite si vous ne l'avez pas encore vu ! moi au début j'était rétissente ( j'ai attendu 2semaine) mais quand je l'ai vu j'ai pleurer, rit, pleurer de rire. Mais je vais vous dire pourquoi je ne mais pas 5 étoile...
Attention ultra méga spoileur ne pas appuyer si vous n'avez pas encore vu ce film. spoiler: J'ai vraiment pleurer a la fin parce qu'il ne finissent pas ensemble.. j'ai vraiment était dégoutée quand il se quitte et j'ai verser ma petite l'arme...
Un joli film avec des beaux sentiments, deux acteurs formidables, des paysages magnifiques, une critique acerbe du consumérisme et du monde des affaires, mais des longueurs et globalement un peu mièvre. Une mention spéciale pour ce magnifique et gentil cheval.
Un film plein de bons sentiments à la morale saine et vertueuse
Une idylle Redford- Fonda sous fond de grands espaces avec un discour ecolo- animalier, dans la lignée des thèmes chers à Pollack et son interprête. (cf Jeremiah Johnson).
Une bleuette légèrement désuette au charme discret mais dont la sincérité du propos est louable à bien des égards.
Un très bon film de Pollack. Deux magnifiques acteurs (Fonda et Redford) et quelques scènes qui resteront en mémoire (la traversée du casino à cheval, la poursuite entre le cavalier et les voitures de police à la "Shérif fais-moi peur" ...). Une romance un peu à l'eau de rose mais une histoire sympa. Un film à revoir.
bons acteurs, superbes décors, bons sentiments ... de quoi passer un bon moment même si l'histoire est dans le très classique hollywoodien; Juste la fin est un peu bâclée à mon gout.