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    Gatsby le magnifique
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    74 critiques spectateurs

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    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    1 000 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mai 2013
    Pour la troisième adaptation du célèbre roman de Francis Scott Fitzgerald, c'est le fringant Robert Redford qui succède à Warner Baxter et Alan Ladd en incarnant le dandy amoureux. Scénarisé par Francis Ford Coppola, Gatsby le Magnifique version 1974 se voit offrir un gros budget idéal pour mettre en œuvre une telle adaptation, cette histoire d'amour tragique remplie de riches décors et de fêtes impensables méritant un traitement de faveur particulier. Malheureusement, si le casting est d'or et la mise en scène de Jack Clayton (Les Innocents, Le Mangeur de citrouilles...) plutôt réussie, on ne peut pas dire que le résultat final soit très brillant... Non pas que le film soit raté, loin de là, mais il contient bon nombre de défauts difficilement oubliables avec un premier lieu une direction d'acteurs pas vraiment soignée, quelques séquences peu impressionnantes (comparé au roman bien entendu) et une ambiance rose bonbon pas toujours bienvenue. Ainsi, couchers de soleil par dizaines, scènes de romance d'une mièvrerie déconcertante et autres légères séquences d'une même style en agaceront certains, plus encore face à la détestable performance d'une Mia Farrow ici énervante en héroïne pleurnicharde à la limite de l'imbécilité qui ose sortir en pleurs : « J'avais jamais vu une aussi belle chemise ». Une réplique censément touchante qui n'évitera pas les moqueries justifiées. On sera également légèrement déçu par la sobriété de mise en scène de Clayton qui n'osera pas grand chose et offrira une réalisation quasi-télévisuelle parfois. Pour le reste, le long-métrage reste fidèle au roman et demeure complètement happé par la présence d'un Robert Redford au sommet de son charisme, parfait en héros-titre aux côtés du convaincant Sam Waterston et de l'excellent Bruce Dern, ici épatant en mari volage possessif et violent. Se joignent également au casting la discrète Lois Chiles, le fantastique Scott Wilson et la déjantée Karen Black, tous ayant un rôle important dans cette histoire d'amour tragique où le capricieux destin va bouleverser leurs existences. Le rythme du film, langoureux au début puis haletant à la fin, s'avère dans l'ensemble soutenu, porté par des interprètes au top (excepté Mia Farrow, l'un des principaux points noirs du film), des décors luxuriants et la magnifique musique de Nelson Riddle. Ainsi, Gatsby le Magnifique est une adaptation imparfaite mais néanmoins globalement réussie.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 059 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2020
    Lorsque la caméra de Jack Clayton capte le journaliste Nick Carraway après la mort du protagoniste principal, c’est esseulé qu’il apparaît, figé dans une pièce centrale aux tonalités blanches et grisâtres : lui est en noir, immobile parmi les colonnes de marbre, regarde par la fenêtre aux nombreuses découpures un paysage qu’il comprend enfin, ce phare au loin et la lumière verte dont il colore, le soir venu, l’horizon. La voix off redouble efficacement l’amer constat : une vie devant soi pourtant gâchée par le passé, par cette ombre au tableau qui raccorde le journaliste à son milieu d’origine, modeste, tout comme Gatsby d’ailleurs. Le réalisateur a parfaitement compris la relation d’interdépendance qui unit ces deux personnages : l’un apparaît comme le regard critique de l’autre, disposant du recul nécessaire et surtout de la capacité à juger ce qu’il perçoit depuis un point de vue presque omniscient, le point de vue de l’écrivain, celui de l’auteur de fiction, à la fois engagé dans l’action et suffisamment en retrait pour la raconter. La mise en scène de Clayton réussit à mêler l’effervescence d’une époque avec le classicisme aristocratique de la caste investie, si bien qu’il donne vie à une œuvre magistralement composée et équilibrée dont le scénario, signé Francis Ford Coppola, respecte point par point le roman original de Fitzgerald. Au plus près du clinquant, la caméra s’avance, colle à la peau, saisit la sueur qui perle au front des protagonistes ; la lumière accentue jusqu’à leur paroxysme les contrastes entre clarté et obscurité, de sorte à produire une image aux allures suspectes, à la fausseté révélatrices de la calcification à l’œuvre dans ce microcosme anxiogène et détestable. Ce faisant, Clayton adapte véritablement la révolte inhérente au roman en la pensant par le prisme de l’esthétique : comme dans l’adaptation qu’en fera Baz Luhrmann, l’individualisme se pare de mille et une couleurs, saute, vibre au son du jazz, glisse d’un espace (confiné) à un autre espace (confiné lui aussi). Rien ne tient en place, et pourtant les échanges romantiques entre les amants sont interminables, la preuve avant l’heure que l’échange est biaisé d’avance. Et le beau Robert, perdu parmi ses rêves ternis et les reflets de ceux-ci dans le miroir de l’océan, adopte l’attitude d’un jeune premier que rien, en apparence, ne touche ; ce jeu ténébreux parvient à divulguer l’incertitude d’un cœur qui ne bat pas à l’unisson du milieu qu’il visite, à l’instar de ce regard lancé derrière lui avant que lui et son matelas pneumatique ne gagnent le fond de la piscine. Un coup d’œil sur ses arrières, comme confrontation inévitable avec ce que l’on est, avec son moi profond et immuable, et qu’un père endeuillé explicitera sur sa tombe. S’il souffre du manque d’alchimie entre les membres de son duo romantique central, s’il rend Daisy Buchanan plus insupportable que fragile et impitoyable, Gatsby le magnifique cuvée 1974 s’affirme telle une adaptation magnifique de Fitzgerald qu’il convient de reconsidérer aujourd’hui.
    kray
    kray

    53 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2011
    Une réussite de plus pour redford ,l'un des acteurs phares des années 70. Visuellement très beau, il peut parfois s'avérer ennuyeux. Un film à découvrir pour les amoureux de redford, avec en prime, la ravissante mia farrow.
    brunocinoche
    brunocinoche

    96 abonnés 1 107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2013
    Ressortie en salle de cette trop sage adaptation du roman de Scott Fitzgerald au moment où la version clinquante de Luhrmann est sur tous les écrans français. Malgré le charisme de Redford, parfait pour ce rôle, je me rappelle d'un film franchement ennuyeux.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2013
    Un film d'un ennui mortel, au sujet inintéressant, à la mise en scène plate et à la technique vieillote. Soporifique. Et dire que Baz Luhrmann en prépare un remake....
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 mai 2013
    C'est pas ce que je préfère. C'est une histoire d'amour qui met du temps à se mettre en place. Une fois mise en place, elle met du temps à évoluer. Une fois qu'elle a évolué, elle met du temps à se terminer. C'est le principal défaut de ce film. Il est trop long pour un scénario tel que celui-ci. J'aime bien Robert Redford et son côté perfectionniste. J'aime bien aussi ce que veux nous montrer ce film. Les riches détruisent ce qui les entoure et se cachent derrière leur argent. C'est un monde de tromperie et inconscient. Après, cette idée me fait penser à un film de Jean Renoir, donc il n'y a rien de bien extraordinaire là-dedans.
    halou
    halou

    123 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2014
    Cette version de Clayton reprend assez fidèlement le livre et le choix des acteurs ainsi que le décor et les costumes sont peaufinés. Le spectateur est parfaitement immergé et plongé dans histoire qui malgré tout ne fascine pas. Mieux vaut rester à sa lecture.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    40 abonnés 2 482 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 décembre 2024
    J'imagine mal que le fameux roman de Scott Fitzgerald se soit complu dans une description aussi superficielle de l'univers des riches américains. Jack Clayton, comme subjugué par le luxe déployé par des personnages que la fortune à rendus insouciants, artificiels ou arrogants, semble abandonner tout sens critique pour ne restituer qu'une insignifiance fastueuse.

    Blancheur des éclairages et photographie voilée entretiennent un romantisme clinquant qui élude trop souvent le sens social du propos et l'étude de moeurs. Le drame psychologique et social se transforme en un drame bourgeois, lequel, proche du roman-photos, met en scène des figures réduites à des expressions rudimentaires ou à de mièvres états d'äme.

    Il ne s'agit pas reconstituer fidèlement les Etats-Unis du début du siècle - Milos Forman le fera plus tard, pour "Ragtime", avec infiniment plus d'intelligence et d'acuité- pour justifier une telle adaptation du roman éponyme, et on peut reprocher au réalisateur de n'avoir pas su donner toute leur dimension aux personnages ni d'avoir su élever la tragédie au niveau qui était le sien. De sorte que Gatsby n'a rien de magnifique.
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    22 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    A l'image des bouquins de Fitzgerald, ça ne provoque qu'un ennui poli, c'est l'art de raconter....rien, ça parle, ça parle, il ne se passe donc rien de rien ! C'est joli, et ça n e va pas plus loin ! la version Noir et Blanc avec Alan Ladd, construite comme un film noir policier est nettement plus efficace !
    Guillaume182
    Guillaume182

    133 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2011
    Si vous êtes fan de Robert Redford ce film est pour vous!
    Une histoire simple, de jolies costumes.
    Une vf pitoyable.
    Aussitôt vu aussitôt oublier et dire que Dicaprio va jouer dans le remake.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 avril 2021
    Par où commencer Mia Farrow a complètement raté le personnage de Daisy. Elle est normalement une grande actrice mais elle est apparue trop superficielle et n'a pas montré la vraie personnalité de Daisy mais c'est juste mon opinion. Nick était bien trop vieux et Tom n'avait pas du tout l'aspect qu'il aurait du avoir dans de la pièce. Bon passons maintenant à l'intrigue. Tous ceux qui ont lu le roman savent que F. Scott Fitzgerald n'avait pas du tout l'intention d'en faire une histoire d'amour. Le thème principal du roman était l'attitude insouciante et arrogante des années 20 et non une relation amoureuse. De plus pourquoi ont-ils changé la façon dont Gatsby et Nick se sont rencontrés. Cette façon était trop ringarde et incroyable car le roman fait un excellent travail en montrant comment ils se sont rencontrés. J'ai apprécié la façon dont ce film a dépeint la plupart du symbolisme qui était dans le livre. C'est à peu près son seul aspect positif. J'ai aimé la musique pendant les danses mais la musique pendant les moments dramatiques était absolument terrible. Si vous cherchez une histoire d'amour sans intérêt celle-ci est faite pour vous...
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    305 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2008
    C'est vrai qu'il s'agit là d'une sorte de chef d'oeuvre, quoique légèrement aseptisé : N'oublions pas entre autres que Fitzgerald était un alcoolique presque né avec la bouteille dans le berceau...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2024
    Jack Clayton, réalisateur britannique né en 1921 à Brighton qui officia aussi comme producteur aura livré une filmographie plutôt parcimonieuse (sept longs métrages en 28 ans de carrière) mais ne contenant aucun film dispensable et même quelques films excellents comme « Les chemins de la haute ville », « Les innocents » ou encore « Gatsby le magnifique » qui nous occupe ici, produit par la Paramount qui agit pour l’occasion par l’intermédiaire de son bouillant et iconoclaste producteur des années 1960/1970, Robert Evans qui s’est entiché du roman culte de Scott Fitzgerald dont il entend confier le rôle de Daisy Buchanan à Ali MacGraw son épouse. Jack Nicholson et Warren Beatty initialement pressentis pour le rôle-titre de Gatsby ne se sentent pas très à l’aise avec l’idée de donner la réplique à Ali MacGraw. Marlon Brando qui s’est refait une santé avec son interprétation de Don Vito Corleone dans « Le Parrain » arrive alors dans le jeu pour presque aussitôt en sortir en raison de ses démêlés contractuels avec la Paramount. Robert Redford qui avait candidaté pour le rôle s’impose donc sans véritable contestation et même avec l’assentiment de Jack Clayton qui jugeait Marlon Brando trop âgé pour le rôle de Gatsby. Ali MacGraw filant le parfait amour avec Steve McQueen, c’est finalement Mia Farrow qui sera Daisy Buchanan. Le scénario initial écrit par Truman Capote en échange d’un cachet astronomique s’avère inutilisable. Francis Ford Coppola en attente du verdict du public à la suite de la sortie du « Parrain » et qui a besoin d’argent reprend le scénario en seulement trois semaines, reclus à Paris dans une chambre autrefois occupée par Oscar Wilde. Jack Clayton peut donc entamer le tournage dans la région de New York. Relativement fidèle à une intrigue ne reposant pas sur de nombreux rebondissements mais plutôt sur une atmosphère se dégageant d’une étude de caractères fouillée, Clayton secondé, par l’expérimenté Douglas Slocombe officiant à la photographie, va donc s’évertuer à rendre palpable l’ambiance des Années Folles à travers l’étude des mœurs de la haute aristocratie industrielle éclose au XIXème siècle dans le sillage de la Révolution Industrielle anglaise. Une pseudo-aristocratie oisive qui dans les somptueuses demeures qu’elle occupe au bord de l’eau à la périphérie de New York cherche à tuer l’ennui entre fêtes somptueuses et marivaudages sans conséquence concrète sur la pérennité des couples liés par un réflexe de classe indestructible. Le mystérieux Gatsby formidablement interprété par Robert Redford est certes très riche mais ses racines populaires semblent le laisser aux lisières d’un cénacle qui intègre très difficilement ceux qui n’en sont pas directement issus. Pour cette raison peut-être, Gatsby veut à toute force reconquérir Daisy Buchanan que jeune soldat il avait séduite au sortir de la Grande Guerre afin d’acquérir définitivement la légitimité qui lui fait défaut. Le pari tout aussi présomptueux que risqué se paiera très cher. Par une mise en scène épurée, Jack Clayton parvient à saisir avec sensibilité mais aussi justesse tous les enjeux qui se trament au sein d’un milieu qui derrière une désinvolture de façade sait toujours se rappeler où sont ses intérêts vitaux. Gatsby sans doute trop arrogant fonce droit dans le mur sans jamais en prendre conscience. Aux côtés de Robert Redford et Mia Farrow parfaitement raccords, les Bruce Dern, Sam Waterston, Howard da Silva, Scott Wilson et autres Kathryn Lieigh Scott sont parfaits dans des rôles secondaires dont il faut reconnaître qu’ils ne sont pas très développés. Une mention est toutefois à décerner à la toujours émouvante Karen Black qui n’a guère besoin de plus de deux scènes pour imprimer sur l’écran sa sensualité explosive si particulière teintée d’une angoisse existentielle à fleur de peau. Il a été reproché à Jack Clayton de ne pas avoir fait honneur à la musique jazz qui était alors à son apogée. La remarque est justifiée mais toute adaptation est une opération complexe qui implique des choix. Jack Clayton qui s’était montré encore plus brillant lors de l’adaptation de la nouvelle de Thomas Mann, « Le tour d’écrou », est malgré quelques possibles réserves très efficace et tout en nuances.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 avril 2020
    Troisième adaptation du roman de Francis Scott Fitzgerald, la version de Gatsby le magnifique réalisée par Jack Clayton en 1974 est visuellement très belle. Hélas, elle manque également de rythme et d’alchimie entre les personnages (qui, au passage, ne sont pas spécialement aimables) pendant sa très longue première partie. On peut donc parfois s’ennuyer un peu malgré une belle photographie de Douglas Slocombe. La mise en scène de Jack Clayton et le scénario de Francis Ford Coppola traînent effectivement trop en longueur, malgré la présence d’acteurs du calibre de Robert Redford, Mia Farrow et Bruce Dern. Heureusement, dans sa seconde partie (dès que Tom Buchanan devient réellement jaloux) et surtout dans sa dernière demi-heure (en particulier à partir de l’accident de voiture) l’intérêt remonte très fortement. Gatsby le magnifique est donc un livre d’images hélas trop académique pour être vraiment passionnant.
    Akamaru
    Akamaru

    3 134 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2013
    Cette version 1974 de l'œuvre de Fitzgerald est d'un classicisme désespéré,qui colle au plus près du texte du romancier en se concentrant sur les difficultés amoureuses de Gatsby,milliardaire au passé trouble et de Daisy Buchanan,son amour de jeunesse. Dans ces 2 rôles-titres,Robert Redford,gominé,impénétrable et Mia Farrow tour à tour à tour mielleuse et hystérique,ne créent pas une alchimie irréprochable. En ce qui concerne Redford,son interprétation en demi-teinte est le reflet de ses pensées d'alors:il était mortifié par le scandale du Watergate. Troublante coïncidence,puisque le film parle du déni de la réalité,de la recherche d'alternatives luxueuses pour fuir la vacuité de la vie. Les décors sont magnifiques,s'attachant au plus petit détail. On sent les origines littéraires du film,qui se concentre sur la passion amoureuse,sur le quintette de tête et sur le drame final,inévitable au regard du passif de tous les personnages. Contrairement à la version rococo de Luhrmann,il faut voir le film de Jack Clayton comme une adaptation fidèle,un peu ampoulée certes,mais très représentative du style dépressif de Fitzgerald.
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