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cris11
53 abonnés
970 critiques
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4,5
Publiée le 24 mars 2011
Un superbe film et quel duo d'acteurs: Paul Newman et Robert Redford!!! Un film qui a vraiment un charme particulier et l'élaboration et la découverte du plan de l'arnaque est réalisé de fort belle manière. Une scène culte parmi d'autre est inoubliable: la partie de poker dans le train avec Paul Newman!!! Un réel bonheur!!! Pas vraiment étonnant que ce film ait raflé 7 oscars.
Oublié depuis des années j ai eu l occasion de le revoir et quel plaisir de retrouver Paul Newman et Robert Redfortd. Bien rythmé et interprété le scénario assez fourni n a rien à envier aux Ocean Eleven et autres. Seul petit bémol pour ma part c est cette musique insupportable qui a pourtant fait ses preuves mais qui reste horripilante.
4 ans après le chef d'oeuvre "Butch Cassidy et the kid" Georges Roy Hill réunit de nouveau Paul Newman et Robert Redford pour un film d'arnaque, un genre en soi... Deux arnaqueurs s'associe pour se venger d'un caïd, et pour se faire rien ne vaut la bonne et vieil arnaque. Le film repose essentiellement sur le scénario efficace construit comme un puzzle avec une multitude de seconds rôles tous aussi bons les uns que les autres. On aurait aimé un face à face plus travaillé, plus frontal entre les deux stars. Mais le film est d'une minutie impressionnante, pas une scène en trop, pas une minute à s'ennuyer, on attend le dénouement avec gourmandise. Un très grand film du genre direct et sans chichi.
On voit et revoit ce film avec plaisir. Scénario magistral, superbe interprétation de Paul Newmann, un peu moins aboutie de Robert Redford à mon avis. D''excellents seconds rôles, une construction solide, une jolie musique, une reconstituion de Chicago des années 30 convaincante, le faux FBI auquel on se laisse prendre la première fois qu'on voit le film... Mais ma nième vision n'a pas permis de répondre à certaines questions : d'où vient l'argent utilisé par les arnaqueurs pour appater le faisan ? louer le local ? l'équiper ?
Chef-d’œuvre d'ingéniosité tant dans son écriture que dans sa mise en scène, "L'Arnaque" est un film comme on aimerait en voir plus souvent. Dirigé par George Roy Hill, qui réalise pour l'occasion son second classique en l'espace de quatre seulement, cette comédie policière américaine vous ramène au beau milieu des années 30 en compagnie de filous et vicelards aux caractères bien trempés. Représenté au casting par les anciens Butch Cassidy et Sundance Kid, je parle bien sûr de Paul Newman et Robert Redford, "L'Arnaque" peut se vanter de rassembler ce qui se révèlera être l'un des plus gros duos de l'histoire du cinéma. Rejouant exactement les mêmes cartes qui avaient fait le succès du western mythique de 1969, Roy Hill s'éclate. Que ce soit par le talent avec lequel il dirige ses comédiens ou par la classe qu'il imprègne dans chacune de ses prises de vue, le metteur en scène nous offre une véritable leçon de cinéma ; leçon qui lui vaudra d'ailleurs l'Oscar de meilleur réalisateur en 1974. De son côté Paul Newman amuse et enchante un spectateur ravi qui se plait à savourer l'humour virtuose et franc qui lui est si délicatement offert. Répondant à son aîné avec tout autant d'aise que par le passé Robert Redford pose le décor et impressionne par les multiples facettes de son personnage. C'est donc rassemblé que le duo d'enfer démarre sa diabolique machination dont la victime sera le foutrement sérieux Robert Shaw. Charismatique dans son interprétation et terrible dans sa présence, l'acteur victime des "Dents de la mer" compense à merveille la légèreté volontaire de ses compères en nous proposant un regard froid et dur que Paul Newman fera vite virer au rouge lors d'une partie de poker mémorable. Mais bien entendu, que serait "L'Arnaque" sans le travail d'écriture réalisé par David s. Ward ? Également récompensé aux Oscars, le scénario de "L'Arnaque" envoie du lourd de la première à la dernière minute des deux heures dix de sons et d'images. Enchaînant les rebondissements, les surprises, les rires et les tensions, cette vendetta pas comme les autres vous laissera sur les fesses. Immortalisé par "The Entertainer" de Scott Joplin qui marque de son air l'inconscient collectif de toute l'humanité, "L'Arnaque" continue d'inspirer de nombreuses productions qui tentent encore aujourd'hui de retrouver la classe de jours presque oubliés.
Un scénario béton pour un standard du film de mafia. On sourit souvent et on est suspendu à l'écran en suivant les pérégrinations de nos héros. Une distribution au poil finit de nous donner un sacré bon moment.
Steven Soderbergh n'a rien inventé... Cette histoire de gentlemen gangsters montant une gigantesque arnaque pour piéger un patron de la Mafia de Chicago est incontestablement une inspiration majeure des aventures de Danny Ocean et ses 10, 11 puis 12 acolytes. Ce sont ici les délicieusement élégants Robert Redford et Paul Newman qui mènent la danse parfaitement rythmée d'un coup monté exaltant s'achevant sur une forme de feu d'artifice de suspense. George Roy Hill (qui complète le trio reconstitué du fantastique "Butch Cassidy et le Kid") s'offre un jolie reconstitution des tripots des années 30 et quelques très belles idées de mise en scène (la scène du manège) ; on s'abandonne donc sans arrière-pensée au charme légèrement nostalgique de "L'Arnaque".
Summum de ce qui se fait de mieux à Hollywood, réunion de grandes stars devant la caméra, le tout dirigé par un artisan assez doué et profitant de tout le savoir-faire en matière de film d'époque. On a cette fois ci droit à un duo de légende : P. Newman et R. Redford (difficile de faire mieux, il faut l'avouer) et qui vont chacun jouer de leur charme, de leur regard perçant et de leur sourire ravageur (ah, Paul, on a guère fait mieux comme insolence teintée de malice mais je m'égare). Si les rabats joie trouveront le scénario assez convenu (c'est sûr qu'il faut être très, très, très malin pour deviner que le bien va triompher, vous êtes de vrais champions), il reste parfaitement écrit, recopié 20 fois depuis (notamment par la série des "Ocean" et tout les films traitant du même sujet), nous menant par le bout du nez, le tout dans une mise en scène assez correcte de G. R. Hill. Bonne musique, avec un scénario pas toujours au point (vers le début), des acteurs en forme, une reconstitution minutieuse et de qualité, un super divertissement, jamais ennuyeux, simple d'accès (mais pas simpliste) et stylisé juste ce qu'il faut. Un pur classique. D'autres critiques sur
Une gentille comédie policière où le tandem entre Robert Redford et Paul Newman fonctionne plutôt bien mais l'intrigue, aux rebondissements pour la plupart prévisibles, ne passionne pas et peine à tenir la longueur.
Comme quoi des films plus anciens que nous-mêmes peuvent nous réserver malgré le temps de belles surprises... Johnny Hooker (Robert Redford) va enflammer un Chicago des 30's avec Paul Newman dans le rôle d’Henry Gondorff pour sublimer une des meilleures arnaque du cinéma... La BO comme les répliques sont mythiques. La remise des Oscars était surement encore plus intègre en 1974...