Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un régal, ce nouveau film de Woody allen. Personne n'est plus à l'aise que lui dans l'atmosphère des annés 40, qu'il a recrée à merveille (...). Il sera difficile de trouver mieux pour les fêtes que cette comédie irrésistible.
(...) un pur divertissement qui pastiche le cinéma américain du milieu des années 1940 [...] mais cet opus décontracté n'a pas besoin de citer ses sources pour se laisser déguster : laissez-vous entraîner par les méandres de l'intrigue, tout en savourant des dialogues débités avec expertise par une troupe de comédiens visiblement aux anges.
Le sortilège du scorpion de Jade est loin d'être le meilleur film de Woody Allen. Certes, on y rit moins. (...). Certes, l'intrigue est un peu répétitive mais gardons-nous bien de toute férocité devant un film que beaucoup n'hésiteraient pas à qualifier de chef-d'oeuvre s'il était signé par d'autres...
(...) on peut bien regretter que par moments Woody allen écrive et filme un peu trop à sa main, se dire qu'il aurait pu ici ou là (se) creuser davantage, le plaisir que donne le film est unique.
Même un cru moyen de Woody Allen possède des qualités de scénario et de dialogues que beaucoup de productions américaines sont loin d'atteindre. C'est le cas de cette nouvelle comédie qui, sur fond de jazz, rend un bel hommage aux films noirs de l'âge d'or hollywoodien, avec légèreté et humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Le Sortilège..." abonde en dialogues qui tuent (...). Allen, avec le temps, s'est débarrassé de ses complexes d'auteur confit d'admiration pour ses pairs (....), moins torturé par le besoin d'accoucher coûte que coûte d'un grand oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Comédie très années 40, où Allen se voit en mi-Bogart, mi-Tracy, face à Helen Hunt pas si mal en Katherine Hepbum. Le scénario sur fond d'hypnose est abracabrant mais savoureusement croqué. Léger et délicieux.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Sans doute s'agit-il d'une oeuvre qui n'a pas les prétentions explicites d'un Harry dans tous ses états, mais le plaisir que procure Le sortilège du scorpion de jade est d'une qualité rare, parce que la comédie joue ici sur plusieurs registres (...) qui prolongent et modulent la jouissance du spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
C'est un syndrome de saison. Chaque fois que Woody Allen sort sa nouvelle comédie de fin d'année, il est désormais de bon ton de faire la fine bouche. (...). Mais, franchement, qui peut se targuer aujourd'hui de dérider le public avec la même constance, le même génie, la même légèreté ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Sortilège du scorpion de Jade a tout du film-squelette, par sa linéarité autant que son univocité, mais cette nudité est justement ce qui va le mieux au Woody Allen new age. On y rit toujours, et sincèrement, mais d'un rire qui ne fait que ramener à la fracture initiée par Deconstructing Harry (...).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Si le résultat paraît cette fois un peu planplan, c'est que Woody Allen joue les prolongations trop voyantes(...) . Bien sûr, faut-il quand même le préciser ? , ce "petit" Woody Allen vole tout de même sacrément plus haut que l'habituel toutvenant. -
L'envoûtement est peut-être au centre du film mais chez le spectateur le charme agit rarement. On s'agace d'un scénario peu inspiré, des fameux bons mots proférés toutes les deux secondes et surtout d'un réalisateur largement sexagénaire (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
On retrouve dans ce film, enfant joyeux d'Assurance sur la mort (...) et de la Dame du vendredi (...), tout ce qui plaît chez le cinéaste, à l'exception des blagues juives et des intellectuels tourmentés. Pour le reste, il y a bien les tons chauds et ocres d'une couleur saturée (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Depuis la fin des années 1990, le réalisateur new-yorkais a dû opérer une sorte de retraite stratégique, dont Escrocs mais pas trop et, avec beaucoup plus de panache, ce Scorpion portent les stigmates.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) ce n'est pas tant dans le miraillage d'insultes et la recherche permanente du bon mot que Woody Allen confirme sa maîtrise du genre, mais dans cette magie en coulisses qui s'immisce discrètement dans la vie de ces personnages, les plaçant en face de délectables contradictions (...)
Le film reste dans un registre exclusivement burlesque, mais pas assez débridé non plus : Woody Allen a perdu la main pour les cadres et le rythme de ses films, et a eu la plume un peu lourde avec ses dialogues, qui sentent trop souvent le bon mot.
La bonne nouvelle: c'est du pur Woody Allen. La mauvaise surprise : c'est encore du Woody Allen. Ce Scorpion... laisse la fâcheuse impression que le réalisateur new-yorkais patine dans les pantoufles taillées sur mesure sur un parquet ciré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Un régal, ce nouveau film de Woody allen. Personne n'est plus à l'aise que lui dans l'atmosphère des annés 40, qu'il a recrée à merveille (...). Il sera difficile de trouver mieux pour les fêtes que cette comédie irrésistible.
Zurban
(...) un pur divertissement qui pastiche le cinéma américain du milieu des années 1940 [...] mais cet opus décontracté n'a pas besoin de citer ses sources pour se laisser déguster : laissez-vous entraîner par les méandres de l'intrigue, tout en savourant des dialogues débités avec expertise par une troupe de comédiens visiblement aux anges.
Cine Libre
Le sortilège du scorpion de Jade est loin d'être le meilleur film de Woody Allen. Certes, on y rit moins. (...). Certes, l'intrigue est un peu répétitive mais gardons-nous bien de toute férocité devant un film que beaucoup n'hésiteraient pas à qualifier de chef-d'oeuvre s'il était signé par d'autres...
L'Obs
(...) on peut bien regretter que par moments Woody allen écrive et filme un peu trop à sa main, se dire qu'il aurait pu ici ou là (se) creuser davantage, le plaisir que donne le film est unique.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Même un cru moyen de Woody Allen possède des qualités de scénario et de dialogues que beaucoup de productions américaines sont loin d'atteindre. C'est le cas de cette nouvelle comédie qui, sur fond de jazz, rend un bel hommage aux films noirs de l'âge d'or hollywoodien, avec légèreté et humour.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
"Le Sortilège..." abonde en dialogues qui tuent (...). Allen, avec le temps, s'est débarrassé de ses complexes d'auteur confit d'admiration pour ses pairs (....), moins torturé par le besoin d'accoucher coûte que coûte d'un grand oeuvre.
Novaplanet.com
Comédie très années 40, où Allen se voit en mi-Bogart, mi-Tracy, face à Helen Hunt pas si mal en Katherine Hepbum. Le scénario sur fond d'hypnose est abracabrant mais savoureusement croqué. Léger et délicieux.
Positif
Sans doute s'agit-il d'une oeuvre qui n'a pas les prétentions explicites d'un Harry dans tous ses états, mais le plaisir que procure Le sortilège du scorpion de jade est d'une qualité rare, parce que la comédie joue ici sur plusieurs registres (...) qui prolongent et modulent la jouissance du spectateurs.
Télérama
C'est un syndrome de saison. Chaque fois que Woody Allen sort sa nouvelle comédie de fin d'année, il est désormais de bon ton de faire la fine bouche. (...). Mais, franchement, qui peut se targuer aujourd'hui de dérider le public avec la même constance, le même génie, la même légèreté ?
Urbuz
Le Sortilège du scorpion de Jade a tout du film-squelette, par sa linéarité autant que son univocité, mais cette nudité est justement ce qui va le mieux au Woody Allen new age. On y rit toujours, et sincèrement, mais d'un rire qui ne fait que ramener à la fracture initiée par Deconstructing Harry (...).
Aden
Si le résultat paraît cette fois un peu planplan, c'est que Woody Allen joue les prolongations trop voyantes(...) . Bien sûr, faut-il quand même le préciser ? , ce "petit" Woody Allen vole tout de même sacrément plus haut que l'habituel toutvenant. -
Chronic'art.com
L'envoûtement est peut-être au centre du film mais chez le spectateur le charme agit rarement. On s'agace d'un scénario peu inspiré, des fameux bons mots proférés toutes les deux secondes et surtout d'un réalisateur largement sexagénaire (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
On retrouve dans ce film, enfant joyeux d'Assurance sur la mort (...) et de la Dame du vendredi (...), tout ce qui plaît chez le cinéaste, à l'exception des blagues juives et des intellectuels tourmentés. Pour le reste, il y a bien les tons chauds et ocres d'une couleur saturée (...)
Le Monde
Depuis la fin des années 1990, le réalisateur new-yorkais a dû opérer une sorte de retraite stratégique, dont Escrocs mais pas trop et, avec beaucoup plus de panache, ce Scorpion portent les stigmates.
Les Inrockuptibles
(...) ce n'est pas tant dans le miraillage d'insultes et la recherche permanente du bon mot que Woody Allen confirme sa maîtrise du genre, mais dans cette magie en coulisses qui s'immisce discrètement dans la vie de ces personnages, les plaçant en face de délectables contradictions (...)
MCinéma.com
Le film reste dans un registre exclusivement burlesque, mais pas assez débridé non plus : Woody Allen a perdu la main pour les cadres et le rythme de ses films, et a eu la plume un peu lourde avec ses dialogues, qui sentent trop souvent le bon mot.
Première
La bonne nouvelle: c'est du pur Woody Allen. La mauvaise surprise : c'est encore du Woody Allen. Ce Scorpion... laisse la fâcheuse impression que le réalisateur new-yorkais patine dans les pantoufles taillées sur mesure sur un parquet ciré.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com