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Un visiteur
5,0
Publiée le 24 avril 2011
ROMY est magnifique dans ces deux rôle, amoureuse et femme qui sais ce qu'elle veut et femme aiment qui soutient son mari dans l'otre et que dire de sa beauter et de Piccoli homme de bonne foie et de parole mais des quond touche un sa famille se venge. Ainsi que le petite qui joue du violon on voie le regard de Romy remplie d'émotion. Mention spéciale a cette grande DAME du Cinema partit trop tôt a qui la vie ne lui a pas fait de cadeaux !!!!!!!!!!!!!
Beau casting, acteurs géniaux, mise en scène médiocre, du "sous-sautet" sur thèmes PCF année 1980 (Georges Marchais aurait il écrit le scrpit ?) avec révisionnisme à la clef. Le film tourne sur lui même sans aboutir .... difficile d'apprécier ce film plus que moyen qui voltige autour de thèmes polémiques et lourdingues, un film de plus sur l'allemagne nazie mais à mille lieux des grands chef d'oeuvre de Louis Malle, Visconti ou Chabrol ... Une déception, un grand gâchis que Piccoli et Schneider peinent à rehausser; à éviter.
LA DECHIRURE. Nous l'avons tant aimée. L'horizon s'obstrue. L'état de grâce de notre impératrice Romy est fini. Dernier regard humain, étrange étrangère, un monde qui ne rime à rien. Un petit jour gluant, signes indéfinissables, la tristesse.
Dommage que ce soit si mal joué... les acteurs crient et pleurent de façon excessives, ils ont l'air d'hésiter face à la caméra et la présence de Romy Schneider ne suffit pas à faire oublier la laideur des cadrages et des décors. Dommage encore car l'histoire est loin d'être sans intérêt !
Jacques Rouffio met en scène un sujet dramatique avec gravité . Après le geste vengeur de Max Baumstein, assassinant un diplomate sud-américain et ancien nazi, Rouffio revient sur l'enfance de Baumstein, laquelle se confond avec le drame des juifs allemands durant les années 30. Surtout, le cinéaste évoque, dans Paris encore insouciant, sa relation quasi filiale avec la belle Elsa Wiener. On s'est, à la sortie dufilm, pesamment extasié devant l'interprétation douloureuse de Romy Schneider parce qu'elle venait d'être touchée par un drame personnel. Il n'empêche que son rôle semble complaisamment mélo, et c'est parce que le sujet est développé de façon convenue qu'il ne m'a guère ému. La mise en scène manque de subtilité, voire de sincérité, et j'ai eu la désagréable sensation que Rouffio filmait davantage la performance de son actrice que le drame d'Elsa. Cette histoire qui aurait dû être poignante n'est plus, malheureusement, qu'anecdotique. En définitive, le film traite moins de la notion de vengeance tardive ou de vengeance légitime (de Max Baumstein, jugé pour son acte) qu'il n'exprime, à travers le personnage de Michel Piccoli, le souvenir indélébile et obsédant. Le théme de la vengeance, comparativement à l'action dramatique, méritait plus de place.
Dernier film de Romy Schneider, dédié à son fils tragiquement disparu et à son ex-mari Harry Meyen, c’est une adaptation du roman de Joseph Kessel. On y remarque la présence de Jacques Martin et une brève apparition de Jean Reno. La mise en scène de ce mélodrame est classique, solide (pour ne pas dire robuste) avec des dialogues moyens. A noter que l’acteur qui joue Piccoli jeune est devenu un éminent mathématicien… comme quoi le cinéma mène à tout.
LA PASSANTE DU SANS SOUCI n'aurait pas cette importance si le sort n'avait voulu qu'il soit le dernier film de Romy Schneider. Difficile aussi d'avoir un jugement tranché. D'un côté, cette adaptation d'un roman de Kessel, voulue par la comédienne disparue, est adaptée platement, voire amenuisée par un tour de passe passe scénaristique consistant à dédoubler l'intrigue par une autre se situant à l'époque contemporaine - choix qui offre au film ses scènes les plus faibles, pour ne pas dire plus (voir le procès vers la fin, caricatural). Cinéaste moyen, Jacques Rouffio se contente d'une mise en image académique, sans invention et à la limite du téléfilm. Par ailleurs, certains choix de comédiens se révèlent fâcheux (il est vrai que les dialogues ne les aident parfois pas), notamment Gérard Klein, égal à lui même, et Michel Piccoli, le Grand Piccoli, qui, ici, incarne un cliché. Voilà pour les (nombreux) manques. MAIS... mais il y a le roman de Kessel, la force de cette intrigue riche en émotion - et puis, surtout, évidemment, Romy Schneider. Le film est un écrin à elle seule dédié, et la comédienne, totalement investie, s'offre avec toute la sensibilité et le vécu qu'elle porte en elle. Alors grace à elle, ce film bancal décolle en de nombreuses scènes, notamment lors d'une mémorable séquence de déchéance où, livrée à l'alcool et au désespoir, elle laisse entrevoir le visage de celle qu'elle aurait pu devenir si la vie ne nous l'avait pas enlevée si tôt. A ce moment là, LA PASSANTE devient le film de l'actrice et de l'actrice seule, star inoubliable et comédienne née : presque un documentaire intime, bouleversant et inoubliable.
Un sublim et triste film qui vaut par la prestation exceptionnelle de la reine l unique Romy. Une femme que l on veut aimer une femme qui demande qu à être aimer. Ce dernier rôle met en lumière sa très grande et unique beauté. Touchante à en pleurer touchante elle nous retourne la tête l estomac. Un mot pour Michel picolli toujours aussi droit et juste... Un duo extraordinaire.
Le personage feminin du livre est different de celui de Romy Schneider dans la version film. Ça reste un très bon film et Romy Schneider aurais merite l'Oscar pour son rôle...