L'Affaire Pélican
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128 critiques spectateurs

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Laurent H
Laurent H

48 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 6 janvier 2011
Tirer d'un très bon livre, le film en suit le chemin .il est très bon
Stéphane D
Stéphane D

133 abonnés 2 157 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 24 novembre 2013
Bon petit thriller même si la réalisation un peu sobre manque de la dynamique que peuvent avoir des films plus récents et le fonds de l'histoire manque de profondeur
Cocobusiness
Cocobusiness

14 abonnés 382 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 12 janvier 2009
L’Affaire Pélican (The Pelican brief), 1993, d’Alan Pakula, avec Julia Robert, Denzel Washington, Sam Shepard. Thriller politique correct pour une soirée paresseuse. Ce Pakula est, qualitativement, a des années lumières de son haletant Les Hommes du Président, 1976 (affaire du Watergate) et de son beau et subtil Klute, 1971. Au fil temps, peut-être que plus rien ne nous surprend des basses manœuvres qui s’opèrent dans le bureau ovale du président des Etats-Unis ! Toujours est-il qu’en dépit d’une bonne réalisation, et d’une interprétation commercialement épatante, l’affaire Pélican n’est pas le fruit d’une grande créativité : une jeune et brillante étudiante (en 5 minutes, et dès le début du film, elle pond un dossier prouvant qu’elle a tout compris !) s’allie à un intègre et courageux journaliste pour dénoncer les actes criminels des politiciens, tous pourris, et sauver sa peau
AMCHI
AMCHI

6 119 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 6 mai 2013
Un début assez intriguant mais finalement L'Affaire Pélican s'enlise rapidement et le suspense est plutôt faible. Dommage qu'avec tous ses noms devant et derrière la caméra L'Affaire Pélican soit qu'un produit si formaté.
NeoLain
NeoLain

5 239 abonnés 4 743 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 9 janvier 2013
L'affaire qui fout le camp... Film qui eu un certain succès, la réussite qui prime est l'information que l'histoire est tiré du roman de John Grisham. De l'espionnage qu'Hollywood est fière d'adapté mais alors souvent avec une durée longue, soit plus de deux heures et franchement il en faut pas tant. Au bout d'un moment, cette affaire Pélican peut être largement traiter en une heure et demie. Faut toujours qui rallonge. Puis en réalité, l'intrigue de cette affaire on s'en cogne assez facilement. Là, ou L'affaire Pélican s'en sort admirablement bien, niveau structure de mise en scène est qu'il est bien monter, l'interprétation de Denzel Washington que dire, tout baigne, je pense que sans lui on ne resterai pas jusqu'au bout. Julia Roberts pas terrible mais parfois elle arrive à nous toucher. Mention excellente aussi pour l'acteur Stanley Tucci en tueur de service. Bref, malgré cela, le film est ne marquera pas mon esprit.
Fêtons le cinéma
Fêtons le cinéma

723 abonnés 3 174 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 20 février 2023
The Pelican Brief appartient à ce genre typiquement américain de l’enquête journalistique sur fond de scandale politique, acte de foi placé dans la presse engagée pour la défense de la vérité et du bien commun – pensons aux figures tutélaires de Katharine Graham pour l’affaire des Pentagon Papers ou de Bob Woodward et Carl Bernstein pour celle du Watergate. Néanmoins, son originalité réside dans la distance qu’il place entre l’étudiante en droit, à l’origine de la découverte, et le reporter en charge de l’enquête, puisqu’il faut attendre une heure avant de voir les deux personnages réunis à l’écran ; Alan J. Pakula préfère les perdre dans des foules venues festoyer ou militer, séparant ainsi deux villes parcourues par chats et souris : La Nouvelle-Orléans et Washington. Les nombreux plans filmés à la grue, en confondant Darby et Gray dans une masse en mouvement, expriment tout à la fois la force de l’anonymat, synonyme de liberté individuelle, et la précarité de cet état à l’ère d’une surveillance généralisée. L’un des derniers plans du long métrage orchestre d’ailleurs le passage des coulisses au devant de la scène : par un jeu sur l’image, le secrétaire part d’un bureau de surveillance pour ensuite entrer dans le bureau ovale et annoncer la nouvelle au président, actions retranscrites par l’intermédiaire des écrans. Dit autrement, la mise en scène participe à ce climat paranoïaque : pensons au traveling pirate le long des fenêtres éclairées d’un niveau d’immeuble, jusqu’à l’arrêt une fois la cible trouvée ; aussi à celui qui suit les pas silencieux du duo traqué par leur ombre, homme et femme infiltrés dans la banque et soucieux de les faire disparaître.
The Pelican Brief n’est que reflets, telle la réflexion de l’image de Darby et Gray dans l’un des rétroviseurs des véhicules garés dans le parking souterrain ; il s’intéresse au décalage entre les apparences et la réalité, entre la légère mais certaine dissonance qui fragilise la continuité logique du son et de l’image. Une séquence, la meilleure du long métrage, l’incarne remarquablement : par un parti pris de mise en scène, l’interview enregistrée sur le magnétophone du journaliste est diffusée à la place du son de la captation vidéo, occasionnant un doublage curieux qui invite le spectateur, comme peut-être les protagonistes, à se méfier des évidences.
Le film bénéficie de l’interprétation soignée de Julia Roberts et de Denzel Washington, duo attachant quoique inutilement romantisé à terme ; en effet, la clausule fait retomber la tension générale et mine la rigueur de réalisation de Pakula, au profit d’une guimauve pétrie dans la partition mielleuse d’un James Horner qui recycle ses thèmes – même si le travail sur les cordes pour obtenir des sonorités stridentes similaires au cri du pélican s’avère pertinent. L’ensemble souffre enfin d’un démarrage non pas laborieux mais trop lent, s’arrêtant par exemple sur la relation entre l’étudiante et son professeur alors que leur fil dramatique se voit rapidement cassé après l’explosion du véhicule. Reste une œuvre réussie qui prolonge l’intérêt du réalisateur pour le démantèlement des complots après All the President’s Men (1976).
Eowyn Cwper
Eowyn Cwper

132 abonnés 2 040 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 5 octobre 2018
Les producteurs étaient si enthousiastes à propos du livre de Grisham qu'ils en ont payé les droits avant même sa publication. Et le style tarabiscoté, me dit-on, est bien conservé. Je protégerai ma source comme Denzel Washington la sienne : une Julia Roberts qui se donne chevelure et âme pour la création de Pakula. Elle constitue un liant puissant de L'Affaire Pélican, un dossier criminel cossu dont la lenteur initiale laisse très mal deviner la densité. En ça, l'œuvre s'adresse nettement trop aux Américains, et elle est beaucoup trop complexe du point de vue législatif pour être qualifiée de tout public ; faut pas exagérer quand même.

Roberts, donc, apporte de la tenue à l'ensemble, crédible jusqu'au bout dans son rôle d'étudiante plongée malgré elle dans des sphères qu'elle comprend à peine. On lui donne malheureusement une dose de naïveté trop symbolique, et son bien-être d'actrice couvre mal le malaise obligatoire de son personnage ; ses pleurs et ses crises, qui arrivent pourtant à point nommé et qu'elle joue bien, nous semblent malvenues... Sans doute cela est-il le prix d'un scénario sans failles au rythme absolument constant ; il faut admettre que le divertissement est de bonne facture et qu'on n'a pas l'impression d'être pris pour des andouilles.

La musique de Horner est bonne mais terriblement encombrante. Un peu comme les artifices romancés dont les personnages font preuve au long de leurs pérégrinations, mais j'ai déjà à peu près tout dit : L'Affaire Pélican est un bloc taillé dans le bloc, un truc imposant auquel il ne faut pas chercher la subtilité des atours, mais de la finition.

septiemeartetdemi.com
pierrre s.
pierrre s.

466 abonnés 3 333 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 11 mai 2013
Malgré un scénario un peu tiré par les cheveux, ce thriller politique reste plaisant, notamment grâce à ses acteurs.
JulienAllard
JulienAllard

37 abonnés 387 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 2 mai 2013
Alan J Pakula est vraiment un specialiste du thriller politique. Un peu moins de 20 ans apres les Hommes du President, il remet ca en adaptant l oeuvre de John Grisham. Passionant et joue a merveille par D Washington et Julia Roberts !
Tedy
Tedy

265 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 9 novembre 2007
Un honnête thriller politique.
wesleybodin
wesleybodin

1 158 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 1 septembre 2009
Un thriller politique parfaitement maitrisé qui arrive à nous tenir scotché à notre fauteuil jusqu'à la toute dernière séquence.
kray
kray

55 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 27 octobre 2010
Pakula est à l'aise dans ce genre de film , l'affaire pélican le confirme. Julia roberts signe elle aussi une belle prestation , fort éloignée de celle de l'inoubliable prostituée de pretty woman.
Shaigan
Shaigan

96 abonnés 131 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 25 avril 2007
Un thriller banal au possible comme on en a déjà vu des milliers. Julia Roberts toujours aussi mauvaise.
xavierch
xavierch

50 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 8 septembre 2014
Un thriller un peu alambiqué, où comme dans beaucoup de film où il est affaire des arcanes du pouvoir, on nous propose une nébuleuse de personnages où il est parfois difficile de s'y retrouver.Malheureusement, le scénario est un peu tiré par les cheveux et les agents du gouvernement sont assez peu mordants. Julia Roberts & Denzel Washington ont des rôles un peu lisses, et tout leur paraît trop facile.un bon divertissement tout de même.
mistermyster
mistermyster

64 abonnés 1 314 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 février 2022
Il y a du génie dans le cinéma de Alan J.Pakula, il est l'homme des films qui traite du complot, alors quoi de plus logique qu'il nous offre cette affaire.
Un peu ambigu au départ, toute la cabale se met en place petit à petit, avec un de soucis de réalisme qui nous fait se dire: et si tout se passait comme cela, ça fait peur.
On est dans l'air post Reagan, le président à l'écran est à tout à fait son image, et le film prend une belle dimension, grâce notamment à ses acteurs principaux, avec une Julia ROBERTS en pleine ascension depuis Pretty woman trois ans plus tôt et un Denzel Washtington, que l'on peut aussi considérer au début de sa carrière, tant sa filmographie va s'étoffer au fil des années.
On comprend beaucoup mieux le film lorsque l'on a lu le livre de Grisham, d'ailleurs à quelques exceptions prêt, l'adaptation cinématographique reste fidèle au livre, bon dans le livre le journaliste est un homme blanc de 38ans, qui tombera indéniablement amoureux de Darby Shaw, on comprend un peu mieux les enjeux écologiques dans le roman car, on prend plus le temps de situer les enjeux, alors que pour garder un certain rythme, dans le film, on explique et on passe très vite sur les détails. Tout cela un intelligemment bien orchestré.
Alors, pour la nostalgie et le cinéma de complot.
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